(Minghui.org) Le 27 juillet 2021, des membres de la Chambre des représentants du Japon ont assisté à une réunion organisée par le « Comité d'examen des transplantations d'organes en Chine » dans le Bâtiment de la Diète nationale à Tokyo.

La réunion a porté sur la question des prélèvements d'organes à vif par le Parti communiste chinois (PCC) sur les prisonniers d'opinion. Les membres de la Chambre des représentants qui ont assisté à la réunion ont convenu de soumettre une demande à la Diète nationale, l'exhortant à prendre des mesures pour mettre fin à la persécution cruelle des pratiquants de Falun Gong par le PCC.

Des législateurs japonais ont participé à une réunion consacrée aux prélèvements forcés d'organes.

Le « Comité d'examen des transplantations d'organes en Chine » a été créé en 2018. Au cours des trois dernières années, 116 législateurs locaux et un membre de la Chambre des représentants ont soutenu l'organisation. Elle a également publié cette année un nouveau livre intitulé : « La vérité sur les transplantations d'organes en Chine » afin de dénoncer les prélèvements d'organes à vif et le génocide commis par le PCC.

Lors de la réunion du 27 juillet, des membres de la Chambre des représentants et de la Chambre des conseillers, ainsi que des législateurs locaux, ont parlé du crime des prélèvements forcés d'organes perpétré par le PCC. Mme Fu Weitong, une pratiquante de Falun Gong, le groupe principalement visé par le crime des prélèvements d'organes, a témoigné de la persécution de sa famille.

Mme Fu a dit que sa mère, Mme Mao Jiaping, également pratiquante de Falun Gong dans la ville de Dalian, province du Liaoning, a été arrêtée chez elle le 2 juin de cette année. Compte tenu de la censure des informations et de la surveillance des appels téléphoniques, son père ne l'a pas informée de l'arrestation de sa mère et elle ne l'a appris que par un article publié dans Minghui le 5 juin.

Mme Mao est actuellement détenue au centre de détention de Yaojia, à Dalian. Sa famille n'est pas autorisée à lui rendre visite, et elle n'a pas le droit d'engager un avocat. Mme Fu a déclaré qu'après que les autorités ont eu connaissance de ses efforts pour dénoncer les persécutions au Japon, elles ont exigé que son père la persuade d'arrêter, sinon elles obligeraient son employeur à le licencier.

Kazuo Nakamura, membre du conseil de la ville de Yamato

Les législateurs se sont succédé pour discuter des crimes contre l'humanité commis par le PCC en prélevant des organes sur des prisonniers d'opinion non consentants, et ont dit que la vérité devait être dite à davantage de gens et que la persécution effrénée à long terme des pratiquants de Falun Gong par le PCC devait être exposée au monde.

Kazuo Nakamura, membre du conseil de la ville de Yamato, a dit : « Des faits incroyables ! J'ai été franchement choqué d'entendre à nouveau les faits de la persécution directement des témoins eux-mêmes. Sachant ces choses, je ne peux pas les ignorer, et je dois m'efforcer de les faire connaître et dire la vérité sur la persécution à plus de gens. »

La réunion a également permis de faire la lumière sur la manière dont le PCC a mobilisé les prisons, les hôpitaux et l'armée pour perpétrer ce massacre systématique. Certaines de ces preuves ont été incluses dans le nouveau livre : « La vérité sur les transplantations d'organes en Chine ».

Masamune Wada, membre de la Chambre des conseillers

Masamune Wada, membre de la Chambre des conseillers, a déclaré : « Nous allons témoigner plus vigoureusement contre le PCC, et nous devons le condamner plus vigoureusement, tant sur le plan diplomatique qu'au Japon. Nous devons mettre un terme à ce génocide perpétré par le Parti communiste chinois. »

Une photo de groupe d'une partie des participants

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Traduit de l'anglais