(Minghui.org) L'an dernier, une pratiquante âgée, qui a déménagé dans notre région, a été trompée afin de signer les « trois déclarations » pendant la campagne du PCC « Plan zéro » visant les pratiquants de Falun Gong. Un agent de police lui a dit : « Vous pouvez continuer à pratiquer le Falun Gong après avoir signé les papiers. Ça ne nous dérange pas. Mais si vous ne signez pas, nous allons immédiatement vous emmener. »

La pratiquante a eu peur et les a signés. Elle a cependant été arrêtée plus tard cette année-là lorsqu'elle est sortie pour clarifier la vérité.

Elle a subi un procès en avril, et les pratiquants de toute la région ont émis la pensée droite pour elle. Certains pratiquants sont même allés près du tribunal le jour du procès pour émettre la pensée droite. Son fils est venu de l'extérieur de la ville pour la défendre.

Son fils a demandé au juge : « Votre honneur, ma mère est une ménagère qui est illettrée. Quand et comment aurait-elle pu aller à l'encontre de la loi ou faire obstruction à la justice [comme elle en est accusée] ? A-t-elle violé la constitution, une loi criminelle, une loi du mariage ou toute autre loi ? » Le juge était sans mot, tandis qu'il y avait des rires dans l'audience.

Son fils a continué : « Si vous ne pouvez l'indiquer, le crime n'existe pas, et elle est ici sous de faux prétextes. Par exemple, si je dis que vous avez tué deux personnes hier, mais que je ne peux indiquer qui vous avez tué, ne direz-vous pas que je fais de fausses accusations ?

« Je n'ai pu trouver aucune base légale qui dit que “ pratiquer le Falun Gong est contre la loi ” après avoir révisé toutes les lois chinoises pouvant s'y relier. En tant que juge, vous savez clairement que ma mère n'a commis aucun crime. Pourquoi voulez-vous la condamner ? Vous pourriez dire que vous êtes dirigé par de plus hautes instances. Alors qu'en est-il de votre obligation à suivre la loi et maintenir la justice ? »

« Vous et moi savons que la loi est la norme la plus basse à laquelle les gens doivent se conformer, tandis que la conscience est la plus haute. Vous savez très bien que ma mère et tous les autres pratiquants sont de bonnes personnes ; elles n'ont rien fait de mal. Mais vous les avez trompées en fabriquant des preuves pour les emprisonner. Comment pourriez-vous être en paix avec votre conscience? Ne le regretteriez-vous pas si vous ou des membres de votre famille rencontrait des malheurs dans le futur lorsque le Ciel vous punira ? »

La fille de la pratiquante a alors renchéri : « Ma mère a été paralysée et alitée pendant dix ans. Toute la famille était dans la détresse, mais personne d'autre ne s'en souciait. Maintenant, elle s'est rétablie après avoir pratiqué les exercices du Falun Gong. Notre famille est soulagée et vit maintenant bien. Mais vous voulez que ma mère soit emprisonnée. Dites-nous, quel crime a-t-elle commis ? Pourrons-nous la ramener à la maison si elle a une rechute ? »

Les officiers de justice se sont regardés et n'ont pas répondu. Le juge a finalement dit : « Vous pouvez ramener votre mère chez elle. »

Trois jours plus tard, quelqu'un du tribunal a livré un verdict qui condamnait la mère à trois ans et demi de prison. Lorsque la famille de la pratiquante a entendu cela, ils ont demandé : « Est-ce que vous plaisantez ? Comment pouvez-vous soudainement changer d'idée ? »

La personne a répondu : « Le juge avait tort cette journée-là. Notre chef a ordonné le changement. »

Un des membres de famille a répondu : « C'est notre responsabilité de protéger notre mère. Nous ne l'abandonnerons pas sous aucun prétexte. Nous irions même en prison à sa place ! »

La personne qui a livré les papiers d'accusation était confuse et a simplement dit : « Allons-nous-en et reconsidérons la situation. »

Le fils de la pratiquante lui a dit : « Veuillez dire à votre chef d'étudier attentivement les articles 35 à 39 de la Constitution et aussi les articles 251 à 254 de la loi criminelle.

Les pratiquants locaux ont continué à émettre la pensée droite durant le processus.

Le tribunal a informé la famille trois semaines plus tard : « Tout est correct maintenant. Elle peut rester à la maison et pratiquer ses exercices. »

C'est le premier exemple d'une pratiquante qui gagne un procès dans notre région. Cela démontre que :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel » (La grâce entre Maître et disciples, Hong Yin II)

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Traduit de l'anglais