« Pourquoi y a-t-il tant de bonté dans vos yeux ? »

(Minghui.org) Il y a quelque temps, alors que j'allais livrer des documents de Dafa à des pratiquants, la police m'a suivi et arrêté. Je ne pensais à rien à ce moment-là ; j'ai simplement continué à émettre la pensée droite et à nier la persécution des forces anciennes.

Sur le chemin du Département de police, j’ai continué à clarifier la vérité aux policiers à côté de moi. J’ai mentionné les mots du Manifeste du Parti communiste : « Un spectre hante l’Europe :le spectre du communisme. »

J’ai dit : « C’est cette possession. » Un agent a sorti son téléphone portable et a tout de suite vérifié en ligne.

Plus tard, j’ai parlé des raisons pour lesquelles il était nécessaire de démissionner du Parti communiste chinois et de la manière de le faire, et j’ai expliqué que de nombreuses personnes ont été bénies par la suite. J’ai ensuite parlé des personnes qui ont subi un châtiment pour avoir persécuté les pratiquants de Falun Dafa. J’ai donné de nombreux exemples, et je pouvais voir qu’ils écoutaient.

Au Département de police, ils m’ont laissé dans une pièce avec un agent qui me surveillait. Je me suis calmé et je n’avais pas peur. J’ai supplié Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) de m'aider dans mon cœur : « Maître, s’il vous plaît, sauvez-moi. Je ne me soumettrai jamais aux arrangements des forces anciennes. Je dois rentrer à la maison aujourd’hui. Ce n’est pas ici que je dois être. »

Ils sont revenus quelques heures plus tard. L’agent responsable m’a dit : « Je vais vous laisser rentrer chez vous aujourd’hui. Vous attendiez-vous à cela ? »

J’ai réfléchi à cela pendant un court moment. Lorsqu’il s’agit de sauver les gens, nous devons avoir un cœur pur, sans distraction, sans égoïsme et être résolus dans notre objectif. Nous devons également croire à cent pour cent dans le Maître et le Fa et ne pas avoir de ressentiment.

Juste à ce moment-là, l’agent responsable m’a demandé : « Pourquoi y a-t-il tant de bonté dans vos yeux ? »

Je n’ai pas pu lui répondre. Après être rentré chez moi, il m’a fallu plusieurs jours pour trouver la réponse.

Je ne pensais qu’à aider les gens — je n’avais aucune autre pensée — c’est pourquoi l’agent n’a vu que de la bonté dans mes yeux. Les yeux sont les fenêtres de l’âme, il a donc ressenti la gentillesse d’un disciple de Dafa.

Quelques jours plus tard, on m’a dit de me rendre au poste de police quand j’aurais le temps. J’y suis allé le jour suivant.

Ils ont dit : « Toute personne de moins de 70 ans doit passer un examen physique et être détenue pendant quinze jours. » Ma tension artérielle a été mesurée trois fois et chaque lecture était supérieure à la normale.

Les deux jeunes agents se sont impatientés et m’ont emmené au centre de détention. Une fois là-bas, je me suis dit : « Je vais tout donner au Maître et le Maître aura le dernier mot. »

J’ai abandonné mon inquiétude et j’ai eu la pensée suivante : « Peu importe où je vais, je peux sauver des gens. » On a repris ma tension artérielle, mais elle était toujours trop élevée.

Ils l’ont mesurée deux fois de plus jusqu’à ce que le capitaine dise finalement : « Cette pression sanguine est beaucoup trop élevée ; nous ne pouvons pas vous accepter. »

Il a demandé pourquoi j’étais là. En entendant que c’était parce que je pratique le Falun Dafa, il a dit : « Nous ne pouvons pas endosser la responsabilité — nous ne vous accepterons absolument pas. »

C'est ainsi que je suis rentré chez moi.

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Traduit de l'anglais