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Deux courtes anecdotes : La pensée droite a un pouvoir formidable

24 septembre 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Dafa parlent aux gens de leur cultivation et pratique, sans peur d'être arrêtés ou harcelés.

« Chaque fois que les pratiquants émettent la pensée droite, nous avons des maux de tête et des vertiges »

Mme Zheng est sortie se promener le deuxième soir du Nouvel An chinois. Elle est passée devant le poste de police et a vu le chef de police debout à la porte. Il savait qu'elle pratiquait le Falun Dafa. Il l'a saluée : « C'est la nouvelle année, Mme Zheng. Pourquoi êtes-vous sortie au lieu de rester à la maison ? »

Mme Zheng a répondu : « Les enfants sont tous à la maison, alors j'ai décidé de sortir pour me promener. » Le chef l'a invitée à s'asseoir à l'intérieur du poste de police. Ils ont parlé informellement du Falun Dafa, et le chef a dit : « Chaque fois que les pratiquants émettent la pensée droite, nous avons des maux de tête et des vertiges. » Elle n'a rien dit et a seulement souri.

Mme Zheng a passé un certain temps à expliquer les bienfaits du Falun Dafa et la persécution. Le chef de police a démissionné du Parti communiste chinois (PCC) après l'avoir écoutée.

L'aspect pathétique des banderoles du centenaire du PCC a servi de signe de sa fin

Écrit par un pratiquant de Falun Dafa dans le nord-est de la Chine

Il y a eu du tonnerre et des éclairs, des orages de grêle et des rafales de vent dans la nuit du 30 juin 2021. Je savais que c'était le résultat de l'émission de la pensée droite par les pratiquants de Dafa. C'était aussi la manifestation de la puissance tonitruante des divinités droites contre les éléments pervers dans le monde humain.

Le PCC a accroché quatre grandes banderoles devant notre bâtiment pour célébrer son 100e anniversaire, dans sa tentative de donner une bonne image de lui-même.

Les banderoles avaient l'air pitoyables. Lorsque je me suis rendu au travail le 1er juillet 2021, j'ai remarqué qu'une banderole avait la forme d'un serpent, dont les deux extrémités étaient entortillées dans des cordes fragiles suspendues par un fil fin. La deuxième avait été projetée au sol par le vent. La troisième avait disparu. Et la quatrième gisait immobile, toute ratatinée, adossée sur le mur du bâtiment.

Peut-être est-ce un signe de la fin imminente du PCC.

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Traduit de l'anglais