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Les gens de mon village me considèrent comme « l'ambassadrice pour démissionner du PCC »

28 septembre 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Avec la protection de Maître, j’ai avancé sans heurts sur mon chemin afin de sauver les gens. Spécialement depuis l’apparition du virus du PCC, j’ai avancé sans arrêt sur ce chemin, essayant de sauver davantage de gens. J’ai compris que ceci est ma seule responsabilité et mission.

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998, et Dafa m’a donné une nouvelle vie. Je me suis remise d’un cancer, et ma famille éclatée a été réunie. Tout ceci m’a fait prendre conscience que je ne devais pas me relâcher dans ma cultivation, spécialement quand il s’agit d’éveiller la conscience des êtres.

Les gens de mon village me considèrent comme « l’ambassadrice pour démissionner du PCC »

Depuis la publication de l’article du Maître « Dépêchez-vous d'expliquer », des compagnons de pratique et moi sommes allés de porte en porte pour clarifier la vérité à propos de Dafa. Après avoir clarifié la vérité à tout le monde dans les villages, nous nous sommes rendus sur les marchés. Les gens me considéraient comme « l’ambassadrice pour démissionner du PCC ».

À chaque fois que j’allais au marché, les gens disaient : « Voilà l’ambassadrice pour démissionner du PCC, dépêchez-vous et démissionnez du Parti communiste chinois (PCC). » Voyant que de si nombreuses personnes ont compris la vérité et pris leur distance d’avec le pervers PCC, je sens avoir bien fait dans mes efforts pour clarifier la vérité.

Après que ma famille a déménagé pour la ville, j’ai approché les inconnus et leur ai clarifié la vérité jour après jour, sous la pluie ou le soleil.

Traiter tout le monde comme une famille

Du fait des restrictions après l’apparition du virus du PCC, j’ai décidé de déménager de mon appartement pour prendre un bungalow. Malgré le froid et les conditions de vie spartiates, j’ai apprécié le fait de pouvoir aller et venir librement et échanger mes compréhensions avec mes compagnons de cultivation.

Nous avons créé un site de pratique, et encouragé plus de compagnons de cultivation à sortir pour clarifier la vérité, et les résultats ont été très bons.

En raison de la pandémie, les rues étaient vides, il faisait froid dehors, et presque tout le monde restait derrière leurs portes closes. Dès que je voyais quelqu'un, je le traitais comme s'il était de ma famille - je lui expliquais la vérité et lui donnais une amulette.

Certaines personnes ont accepté ces cadeaux avec un sourire reconnaissant, tandis que d'autres ont essayé de garder une certaine distance. Pour ces derniers, je me suis empressée de leur dire le secret pour être en sécurité – réciter sincèrement Falun Dafa Hao ! Zhen-Shan-Ren Hao ! peut les sauver. La plupart pouvaient l’accepter.

Un jour, j'ai clarifié la vérité à une femme devant un magasin de grains. Elle était très émue et m'a dit : « Vous m'avez dit le secret qui sauve la vie en ce moment difficile, merci beaucoup, vous êtes la meilleure personne au monde. »

Lorsque j’ai clarifié la vérité à un chauffeur qui avait garé son véhicule sur le bas-côté, il était très enthousiaste et a dit : « Le PCC est le pire. Je le hais tant. Je démissionnerai du Parti ! »

Ensuite, j’ai vu quelques travailleurs migrants qui prenaient une pause en bordure de la route. Je leur ai clarifié la vérité. Ils ont dit : « Nous démissionnons ! » et ont levé leurs mains et crié : « Falun Dafa Hao ! » Ils ont dit : « Merci de penser à sauver les gens durant ces temps si difficiles. » J’ai répondu : « Je vous en prie, ne me remerciez pas. Notre Maître nous a dit de sauver les gens. Vous devriez remercier Maître Li. Ils ont dit à l’unisson : « Merci, Maître Li ! »

Clarifier la vérité : Ne laisser aucun regret

Il y a eu également ceux qui refusaient d’écouter, menaçaient de me dénoncer et m’insultaient – mais, mon cœur n’était pas perturbé. J’étais triste de n’avoir pas pu éveiller leur conscience. Je regardais à l’intérieur, me demandant si ma vertu majestueuse était insuffisante puisque mes paroles n’atteignaient pas leur cœur. Je rentrais chez moi, j'étudiais le Fa davantage, émettais la pensée droite plus fréquemment, et je demandais au Maître de me renforcer pour sauver plus de gens.

Voyant que je parlais tous les jours à tout le monde, les gens m’ont demandé : « Vous parlez à toutes les personnes que vous voyez, prenez-vous au moins le temps de vérifier qui elles sont ? » J’ai répondu : « Tous les êtres sont égaux. Certaines personnes ont un regard méchant, mais leur côté conscient comprend clairement que je veux les sauver. S’ils manquaient cette occasion de milliers d’années à cause de leur choix, quel énorme regret ce serait. »

Je suis tombée de nombreuses fois sur des agents de police. Certains ont immédiatement accepté de démissionner ; certains ont dit : « Pas besoin d’en dire plus. Nous savons tous. Nous n’y pouvons rien, nous avons nos familles à nourrir. » Je leur ai dit avec sérieux : « N’obéissez pas aux ordres de Jiang Zemin en persécutant le Falun Gong (également appelé Falun Dafa), quel péché immense ce serait ! C’est un péché qui ne peut pas être remboursé. »

Un jour, j’ai rencontré un homme qui était pressé de rentrer chez lui, je lui ai donc clarifié la vérité tout en lui emboîtant le pas jusqu’à son jardin, et j’ai convaincu les deux personnes qui sortaient de chez lui de démissionner du Parti.

Mes compagnons de cultivation ont dit : « Exemple à suivre ! Ne pas rater une seule personne, et le poursuivre jusque chez lui pour en faire démissionner deux de plus. » J’ai dit : « Notre mission est de sauver les gens. » Peu importe le froid ou la chaleur, je persiste à clarifier la vérité aux gens.

Faire passer le salut des gens en premier

Durant cette pandémie, ma famille était un peu inquiète me voyant sortir tous les jours. Mon fils m’a dit : « L’épidémie est si grave que les gens s’enferment dans leur maison par peur de l’infection. Tu fais ça tous les jours. Et si tu étais infectée ? »

Je lui ai répondu : « Ne t’inquiète pas, les disciples de Dafa sont protégés par notre Maître. Nous avons de l’énergie dans nos corps, et nous éliminons les germes. Ma maladie a été guérie sans avoir dépensé un centime, n’est-ce pas une preuve ? Non seulement je ne serai pas infectée, mais mon énergie peut être bénéfique aux autres.

« Le Maître m’a sauvée, comment puis-je ne pas apporter la vérité aux autres ? Spécialement en ces moments critiques, quand l’épidémie cause du tort aux gens, je me dois de sauver encore plus de personnes et de dire au monde les “neuf mots de vérité” qui peuvent sauver leur vie. Si je restais à la maison en quête de confort, aurais-je une conscience ? »

Mon fils a compris et a dit : « Alors, va sauver les gens, mais fais attention à toi. »

Depuis lors, mon fils n’a plus essayé de m’empêcher de sortir. Il m’a également aidée à convaincre les gens de démissionner des organisations du PCC et à donner des amulettes.

Un de ses amis est tombé malade, et il lui a dit : « Tu devrais pratiquer le Falun Gong. Il peut guérir toutes les maladies. Ma mère a eu un cancer, et a été guérie en pratiquant le Falun Dafa sans prendre un seul comprimé. Elle est en parfaite santé à présent. »

Son ami a immédiatement récité : « Falun Dafa Hao, Zhen-Shan-Ren Hao. » Mon fils lui a donné une amulette. Son ami a dit qu’il continuerait de réciter les deux phrases à la maison.

Quelqu’un m’a demandé : « Vous en faites plus que ceux qui travaillent, à votre âge n’êtes-vous pas fatiguée ? » J’ai dit : « Non pas du tout. Je suis détendue et joyeuse chaque jour. Pour moi, c’est la chose la plus heureuse tant que je peux sauver les gens. »

Je garde à l’esprit l’enseignement de Maître qui est de prioriser le salut des gens en tout temps.

Quand ma belle-mère est décédée, plusieurs de ses enfants n’ont pas voulu payer pour ses funérailles. Mon mari a dit : « Prenons en charge les dépenses de l’enterrement. » J’ai dit : « OK. »

Je n’ai pas réfléchi sur tout le mal qui m’avait été fait. Ma belle-mère n’avait pas donné à notre famille un seul centime de son vivant, et à la place elle nous laissait une dette de 500 yuans (environ 75 dollars américains) qu’elle devait à d’autres. Au moment le plus difficile, je n’avais pas d’endroit où vivre et personne ne m’a hébergée. De même, quand mes enfants étaient petits, personne ne m’a tendu la main.

Je me suis rappelée : « Je suis une pratiquante et ne devrais pas entrer en compétition avec les gens ordinaires. Je dois aider la famille à connaître Dafa et à comprendre la vérité. » J’ai donc emprunté 5000 yuans pour payer l’enterrement, et me suis occupée également des autres choses.

Tout le monde dans la famille a été touché. Le deuxième frère aîné, qui était responsable de la famille, m’a demandé lors de la réunion de famille ce qui m’avait rendue si filiale. J’ai répondu : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa, et Maître Li nous a enseigné à être bons avec tout le monde. »

Cet épisode a eu un profond impact sur toute la famille, et je les ai tous aidés à démissionner des trois organisations du PCC. Ma plus jeune belle-sœur qui refusait d’écouter la vérité dans le passé a crié : « Falun Dafa Hao ! »

Le toit de la maison des parents de ma belle-fille fuyait tellement que les jours de pluie, sa mère (son père étant décédé) devait recueillir l’eau de pluie à l’intérieur avec une bassine. J’ai décidé de faire réparer sa maison.

J’ai dépensé 5000 yuans pour acheter des panneaux de couverture de toiture et du bois, j’ai engagé des travailleurs pour que le toit soit réparé. Nous sommes repartis aussitôt que le travail a été achevé, sans manger la nourriture qu’elle offrait. La mère a été très touchée. Même ses voisins ont dit : « Vous êtes si chanceuse d’avoir des proches qui pratiquent le Falun Dafa. »

Cet incident a eu un grand impact sur le village et depuis lors, les villageois disent : « Falun Dafa Hao ! » (« Falun Dafa est bon ! ») chaque fois qu’ils nous voient.

L’année dernière, j’ai eu un accident. J’ai été heurtée par une moto et me suis évanouie avec la tête en sang. Quand je suis revenue à moi, je me suis retrouvée étendue dans les bras du conducteur qui était un jeune homme. J’ai dit : « Ne vous inquiétez pas pour moi. Partez rapidement. Vous aurez des problèmes si mon fils arrive. » Le jeune homme a dit : « Mais je suis responsable de cela. Vous avez été inconsciente pendant un long moment. »

J’ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa, j’ai Maître Li qui prend soin de moi. Je vais bien. » J’ai voulu rentrer à la maison, mais je n’ai pas pu me relever. Ma fille, qui est une pratiquante, est arrivée et m’a aidée à rentrer.

Aussitôt après que nous sommes arrivées à la maison, une ambulance est arrivée sur les lieux de l’accident. Les ambulanciers sont sortis et ont demandé : « Où est la victime ? » Quelqu’un leur a dit que j’étais rentrée chez moi. Un ambulancier a trouvé ça étrange et a dit : « De nos jours, j’entends seulement que ce sont les coupables qui prennent la fuite, pas les victimes. »

Ma sœur n’a pas aimé le fait que je sois rentrée à la maison et a dit avec colère : « Elle pratique le Falun Dafa. Ils pensent qu’ils sont aussi durs que le fer et l’acier, et n’ont pas besoin de traitement. » Les passants se disaient en eux-mêmes : « Les gens qui pratiquent le Falun Dafa sont étonnants... »

Merci Maître, pour votre compassion et votre salut ! J’écouterai le Maître et tenterai de faire encore mieux les trois choses durant le temps qui reste, avancer diligemment, étudier plus le Fa, faire plus les exercices et sauver plus de gens.

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Traduit de l'anglais