(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour à tous les compagnons de cultivation !

Cette année marque le dixième anniversaire du magazine de voyage de The Epoch Times, Travel Ontario. En tant que chef de projet, j'aimerais vous parler de mon parcours de cultivation dans mon travail pour les médias.

Apprendre à laisser tomber mes conceptions

Il y a dix ans, lorsque j'ai rejoint The Epoch Times en tant que commerciale, le journal était en train d'adopter une stratégie marketing plus efficace. Le service des ventes avait commencé à classer les principaux secteurs de la publicité par catégories et à confier à chaque commercial la responsabilité d'une ou deux catégories. Les commerciaux étaient tenus d'étudier le secteur d'activité et au final, de devenir un expert dans leur domaine. Peu après mon arrivée dans l'équipe de vente, le président de The Epoch Times m'a suggéré de me spécialiser dans le secteur du tourisme. J'ai d'abord pensé que non. Je venais juste de commencer à travailler dans la vente. Je pensais que je devais me familiariser au marché en général et avoir un développement complet, au lieu de me limiter à un seul secteur. Mon entêtement m'a fait résister à sa suggestion.

Comme l'a dit Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa :

« Savez-vous pourquoi il y a beaucoup de choses, de nombreux attachements qu’on ne peut pas éliminer malgré sa volonté ? Pourquoi est-ce si difficile ? Je vous ai toujours dit que les particules se composent couche par couche depuis le microscopique jusqu’à la matière superficielle. Au niveau extrêmement microscopique vous verriez ces choses auxquelles vous êtes attachés dans votre cœur, quelles sont les matières qui en résultent ? Ce sont des montagnes, des montagnes immenses, des pierres opiniâtres comme le granit, une fois formées, l’homme est incapable de les toucher. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Chicago en 2004 » Enseignement du Fa dans les conférences IV)

Un jour, alors que j'émettais la pensée droite, j'étais dans un état relativement tranquille. J'ai vu une scène étonnante dans une autre dimension : d'énormes montagnes déchiquetées recouvertes de clous de fer. Elles étaient peut-être là depuis très longtemps, car beaucoup de clous étaient rouillés. J'ai raconté à ma colocataire ce que j'avais vu. J'ai été surprise quand elle a dit que le Maître m'avait montré la manifestation matérielle de mes conceptions obstinées dans une autre dimension. Plus tard, lorsque j'ai assisté en 2004 à la Conférence de Fa de Chicago et que j'ai écouté l'enseignement du Maître en personne, j'ai été bouleversée.

Maintenant, debout devant le président, je me rappelais à nouveau des paroles du Maître. J'ai réalisé que ma résistance était le résultat de ces conceptions obstinées formées vie après vie. Elles essayaient de m'empêcher de faire ce que je devais faire. La partie de moi qui s'était déjà assimilée au principe du Fa savait que je devais éliminer ces substances têtues et laisser mon vrai moi prendre les décisions.

Il m'est apparu que les médias devaient se développer davantage afin de clarifier la vérité et de sauver les gens de façon plus puissante. Cependant, s'en tenir au modèle commercial du passé n'allait pas fonctionner pour le journal. Nos médias avaient besoin d'argent pour se développer davantage. Nous devions convertir l'ancien modèle commercial en un modèle plus proactif et plus professionnel. En tant que nouveau membre de l'équipe de vente de The Epoch Times, je devais coopérer avec le développement de notre média et suivre mon superviseur dans mon plan de carrière. Je ne devais pas laisser mes idées décider de mon évolution. Ces bonnes et mauvaises pensées ont rapidement défilé dans mon esprit. Après quelques secondes, j'ai été d'accord avec le président. Même si ma lutte mentale n'a duré que quelques secondes, je savais que des milliers d'années s'étaient écoulées dans une autre dimension. Ces énormes montagnes et ces rochers durs recouverts de clous ont commencé à se détacher, à tomber et à se désintégrer. Mes conceptions obstinées ont commencé à s'effacer.

L'arrangement s'est avéré être le bon. Au cours de mes trois premières années, j'ai établi des partenariats commerciaux avec des bureaux de vente pour le tourisme régional et à l'étranger, des offices de tourisme à différents niveaux, dans le secteur privé et avec des sociétés de voyage de premier plan. Ce faisant, j'ai découvert que tant les entreprises que les lecteurs étaient heureux de voir un magazine chinois qui ciblait le tourisme en Ontario. Avec le soutien de la direction, en 2011, le premier magazine de voyage Travel Ontario a été lancé. Il est devenu le premier magazine de voyage chinois local et a bénéficié d'un large éventail de lecteurs chinois. Dans le même temps, il a également attiré l'attention de nos concurrents, qui voulaient produire quelque chose de similaire. Après avoir essayé, ils ont abandonné, car nous avions déjà pris la tête de la plupart des marchés du voyage et ils ne pouvaient tout simplement pas nous copier.

Améliorer les performances des partenaires commerciaux et éliminer la culture du Parti

Le secteur du tourisme a continué à se développer de manière constante. Après le premier magazine d'été en 2011, le premier magazine d'hiver a été publié en 2012, et l'édition d'automne a été ajoutée en 2013. L'expansion de l'entreprise nécessitait de nouveaux vendeurs. L'entreprise a désigné une jeune pratiquante qui venait de terminer ses études universitaires pour rejoindre l'équipe de vente et devenir ma partenaire.

Elle était jeune, intelligente, compétente et créative. Elle comprenait la société occidentale en général et était douée pour engager le dialogue avec les clients et conclure des affaires. Tout en étant mon associée dans le domaine du voyage, elle a également créé un secteur de l'éducation. Nos performances commerciales étaient en constante augmentation. En 2013, notre magazine de voyage a réalisé un revenu exceptionnel et a remporté un prix d'excellence délivré par l'Association canadienne des médias ethniques.

Alors que j'étais pleine d'ambition, un jour, j'ai été soudain informée par mon directeur que ma partenaire ne serait plus commerciale, mais une des responsables du marketing. J'ai été un peu choquée par cette décision, me demandant pourquoi la direction me retirait ma partenaire sans en discuter avec moi et pourquoi ma partenaire partait sans même me dire un mot. Je me suis sentie flouée. J'ai même développé du ressentiment envers mes collègues et la direction. Je n'ai pas pu m'empêcher de me plaindre à mon mari. Il m'a demandé de me calmer, car de toute façon, j'allais avoir une nouvelle partenaire. Il m'a également rappelé de regarder en moi pour voir si quelque chose n'allait pas chez moi.

J'ai à peine eu le temps de faire cette introspection que j'ai dû sortir pour rencontrer des clients. Puis j'ai constaté que, sans elle, je ne savais même pas comment entamer une conversation avec des clients ni comment présenter nos médias et clarifier la vérité. Je savais que quelque chose n'allait pas chez moi. J'ai fait le vide dans mes pensées et j'ai passé en revue notre coopération au cours de l'année écoulée. Quand elle a rejoint l'équipe, je croyais vraiment que tant que notre partenariat se poursuivrait, nous pourrions faire des percées.

Je n'ai pas réalisé que j'avais développé un attachement à dépendre d'elle. En même temps, j'ai découvert que j'avais une forte culture du Parti communiste chinois (PCC). Par exemple, lorsque je travaillais sur une proposition, je ne faisais que proposer des idées, tandis qu'elle devait faire le travail réel, car je ne savais même pas écrire un courriel dans un anglais correct. Si nous avions des idées différentes sur un projet, je lui imposais toujours mes opinions. Chaque fois qu'il y avait un conflit avec les clients, je m'énervais et devenais agressive. Les personnes qui vivent dans la société occidentale, comme elle, devaient trouver difficile de s'entendre avec moi.

Le Maître a dit :

« ... quand les projets ont besoin de vous, vos idées, votre façon d'aller à l'extrême venant de la culture du parti, de mentir, de bâcler les choses, tout cela leur est vraiment insupportable. Si vous côtoyez des personnes des États-Unis ou d'autres pays libres du monde, ils vous trouveront bizarre. Ce point, le Maître l'a personnellement expérimenté. Le Maître est également venu de Chine continentale à l'époque, mais j'ai immédiatement perçu cela et vu cette différence. Parfois, quand les élèves de la communauté internationale n'osent pas vous accepter, hésitent à vous inclure dans les projets, ce n'est pas pour dire que vous avez des problèmes, mais il n'y a vraiment pas moyen de collaborer avec vous. » (« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de San Francisco 2014 »)

Je savais que le problème venait de moi, alors j'ai écrit un courriel à mon associée. Je lui ai présenté des excuses sincères et l'ai remerciée pour ses efforts et sa coopération. J'ai dit que j'avais beaucoup appris d'elle et que j'espérais qu'elle continuerait à m'aider et à me soutenir à l'avenir. Elle m'a rapidement répondu qu'il était bon de travailler avec moi et qu'elle continuerait certainement à m'aider à développer le secteur du tourisme.

En éliminant mon ressentiment, j'ai également réalisé que le fait de travailler dans le secteur du tourisme en tant que commerciale pour The Epoch Times faisait partie du vœu que j'avais fait. Même si d'autres pratiquants m'aident et me soutiennent, c'est moi qui prends les choses en main, et il est de mon devoir d'endurer des difficultés et d'apporter ma contribution.

En outre, j'ai appris à chérir l'équipe et chaque personne qui a contribué au projet. Il y a deux membres de l'équipe qui, bien que n'étant pas des vendeurs, travaillent toujours à mes côtés. Ensemble, nous avons développé encore plus de produits de voyage, tels que notre exposition annuelle de voyages, un club de voyage et plusieurs événements touristiques avec des lecteurs et des clients, ainsi que notre site web de voyage. Grâce à ces plateformes, le voyage a pris une place prépondérante d'une manière plus professionnelle.

Comprendre le Fa en profondeur

En 2015, une autre jeune pratiquante a rejoint l'équipe dédiée au tourisme et ensemble, nous avons atteint un autre pic de performance. Nous avons produit l'édition du cinquième anniversaire de Travel Ontario. Nous avons reçu des lettres de félicitations d'offices de tourisme et de dirigeants de la filière tourisme de différents niveaux, dont le ministre fédéral du Tourisme. Nos recettes publicitaires ont dépassé 100 000 $ pour la première fois.

En 2016, ma partenaire commerciale est partie en congé maternité. J'ai de nouveau été confrontée à la situation de voyager seule et de continuer seule. Cette année-là, j'ai également connu une tribulation familiale relativement importante. J'ai consacré beaucoup de temps et d'efforts, mais je ne voyais toujours pas d'espoir de solution. Lorsque je partais seule en voiture pour rencontrer des clients, j'avais l'impression que la route était longue, que l'avenir était incertain et que mes pensées étaient lourdes. J'avais l'impression de ne pas avoir de direction.

Le Maître a dit :

« ...quand on regarde un endroit sombre, les pupilles se dilatent et quand on prend une photo dans un endroit sombre, l’ouverture du diaphragme doit être augmentée aussi, sinon la photo sera sous-exposée, tout sera noir ; quand on sort en pleine lumière, les pupilles se contractent instantanément, sinon les yeux seront éblouis, on n’y verra pas clair, l’appareil photo fonctionne sur le même principe et l’ouverture du diaphragme doit être réduite aussi. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

J'ai réalisé que pour faire un bon travail dans la vente ou dans d'autres projets ou postes, nous devrions envisager le long terme. Lorsque nous rencontrons des épreuves ou des difficultés, nous devons élargir notre vision et nos capacités. Nous ne devons pas rester coincés dans les difficultés et l'obscurité et commencer à nous sentir désespérés. Notre esprit doit être stable, notre vision doit être rationnelle et nous ne devons pas nous laisser submerger. Alors, comment allais-je pouvoir sortir de mon labyrinthe actuel ?

Un jour, j'ai participé à une tournée en voiture pour dénoncer la persécution en Chine et j'ai eu l'occasion de raconter à d'autres pratiquants mes tribulations et interrogations par rapport à ma famille. Ils m'ont parlé de leurs expériences pour surmonter les tribulations. J'ai été grandement inspirée. J'ai réalisé que je ne pouvais pas trouver mon chemin à travers les difficultés parce que je ne réalisais pas que ces difficultés étaient des occasions de cultivation. Il me fallait prendre les difficultés comme de la joie.

Dans le premier poème de Hong Yin :

Le Maître a dit :

« Faire souffrir le cœur et la volonté

Parvenir à la plénitude parfaite, obtenir le Fruit de Bouddha,

Prendre la souffrance comme de la joie.

La peine physique ne compte pas comme souffrance,

Cultiver le cœur est le plus difficile à supporter.

Chaque obstacle doit être franchi,

Il y a des démons partout.

Cent épreuves tombent en même temps,

Voyons comment il peut vivre.

Capable d'endurer les souffrances dans ce monde

Sortir de ce monde, être un Bouddha. »

(« Faire souffrir le cœur et la volonté », Hong Yin)

Le Maître avait déjà clairement indiqué que pour atteindre la plénitude parfaite, il fallait « Prendre la souffrance comme de la joie » (« Faire souffrir le cœur et la volonté », Hong Yin). J'avais l'impression d'avoir eu beaucoup d'épreuves, des épreuves de cultivation, des épreuves en lien avec la vente, des épreuves par rapport au lâcher-prise de mes attachements, des épreuves d'élimination de karma de maladie, des épreuves avec ma famille, etc. Plus je pensais à tout cela, plus j'étais en colère. Je me sentais pleine de rancœur et j'avais l'impression que ma situation était injuste.

Je savais que c'était un mauvais état. Peu après avoir changé mon état d'esprit, l'entreprise s'est organisée pour qu'une équipe de vente se rende à New York pendant trois jours afin d'apprendre de l'équipe de vente de New York. Au siège social, nous avons écouté le plan à long terme du président et avons partagé avec les responsables des ventes nos stratégies et nos perspectives. J'ai constaté que la stratégie touristique à Toronto était très semblable à celle élaborée par l'équipe de New York. Même nos perspectives étaient à peu près les mêmes. J'ai appris que je marchais dans la bonne direction, et je me suis sentie en confiance. Ces trois jours ont été remplis de joie et de rires. Des compagnons de cultivation de l'équipe canadienne ont dit que je riais toute la journée.

Cet hiver-là, nous avons organisé le premier salon des voyages d'hiver et avons invité les cinq stations de ski les plus importantes et d'autres destinations touristiques hivernales majeures de l'Ontario à se joindre à notre salon. Elles ont échangé avec les lecteurs chinois et ont fait la promotion du tourisme d'hiver en Ontario. Les résultats ont été bons. Un directeur de la plus grande station de ski de l'Ontario m'a confié : « Mon stand a été tellement rempli de lecteurs de l'ouverture à la fermeture du salon que j'ai à peine pu m'en occuper. » Il a immédiatement réservé le salon d'hiver et le salon d'été de l'année suivante.

L'attention et la protection compatissantes du Maître

Nos annonceurs ont des relations prédestinées avec The Epoch Times. Ils ont fait le vœu, avant de venir ici, de soutenir The Epoch Times sous forme de publicité pendant la période de la rectification de Fa, afin de sauver davantage d'êtres. Ma mission est de les trouver et de les aider à accomplir leur vœu. Afin de trouver ces entreprises touristiques, je me rends en voiture dans tous les coins de l'Ontario, à l'est, à l'ouest, au nord et au sud. Je ne m'arrête jamais un seul instant. Parfois, je vais dans quatre villes dans la même journée pour rencontrer cinq clients, puis je rentre à Toronto le soir. Le lendemain matin, je suis de nouveau sur la route. Alors que je traverse des montagnes et parfois des régions éloignées, je ressens les soins et la protection du Maître. Souvent, mon voyage ressemble vraiment à ce que le Maître a dit dans le poème « Éliminer le mal » dans Hong Yin II :

« Parcourant cent mille lis en voiture »

(« Éliminer le mal », Hong Yin II)

Un hiver, j'étais en route pour rencontrer un client. Je roulais sur une route de campagne enneigée. Une voiture roulait lentement devant moi. C'était une voie unique et j'allais être en retard. J'ai décidé de dépasser la voiture. Je ne voyais pas bien dans la neige. Lorsque j'ai accéléré et que je me suis engagée sur la voie opposée, j'ai soudain vu une voiture qui roulait vers moi sur cette voie. Si je n'accélérais pas pour dépasser la voiture et me replacer dans ma voie, les conséquences allaient être terribles. Mais la route était recouverte d'une couche de neige, et je ne savais pas s'il y avait de la glace en dessous. Si je roulais trop vite, la voiture déraperait, et les conséquences seraient tout aussi terribles. J'ai saisi le volant d'une main, et j'ai dressé l'autre main devant ma poitrine. Tout en émettant la pensée droite, j'ai demandé au Maître de m'aider ! Le pied sur l'accélérateur, j'ai rapidement dépassé la voiture et suis retournée dans ma voie, saine et sauve. J'ai immédiatement dit : « Merci, Maître ! »

Un jour, je suis allée rencontrer un client dans une ville de l'est. Il était déjà très tard, et le lendemain matin, je devais me rendre dans le sud, à Niagara Falls, pour rencontrer un autre client. Je devais rentrer à Toronto en voiture cette nuit-là, puis me rendre dans le sud tôt le matin. Il faisait déjà nuit et il y avait beaucoup de véhicules sur l'autoroute. J'ai continué à rouler sur la voie du milieu. Vers 23 heures, je me suis sentie fatiguée, mais j'ai continué à conduire. Soudain, j'ai eu l'impression d'être en transe, et mon cœur battait la chamade. Lorsque j'ai repris mes esprits, j'ai constaté que la voiture avait glissé sur la voie de droite, avec des voitures devant et derrière moi, mais que je ne les avais pas percutées. Je savais que le Maître m'avait protégée une fois de plus.

Une autre fois, une autre pratiquante et moi avons rencontré un client dans une ville située à environ quatre heures de route. Mon GPS ne fonctionnait pas bien dans la campagne éloignée. Il nous a conduites sur une route non surveillée et dans une zone sauvage boisée. Sous une pluie battante, nous avons roulé dans les bois pendant un bon moment. Je ne sais pas combien de temps nous avons roulé. Le GPS a perdu le signal et a indiqué que nous devions rouler pendant encore trois heures. Nous étions perplexes. Soudain, le téléphone a aussi perdu le signal. Nous étions au milieu de nulle part et le ciel commençait à s'assombrir. Nous ne savions pas quoi faire. J'ai demandé au Maître de nous aider. Puis ma collègue a découvert que son téléphone avait un signal. Avec un signal faible, nous avons téléchargé l'application Google Maps et une demi-heure plus tard, nous sommes sorties de la nature sauvage et nous nous sommes dirigées vers notre destination.

Dans le processus de vente, j'ai senti que le Maître non seulement nous protégeait, mais prenait aussi soin de nous dans tous les aspects de la vie. Mon mari travaillait également dans une entreprise médiatique et touchait un salaire de base. Nous partions tous les deux travailler tôt le matin jusqu'à tard le soir. Avec un emprunt immobilier et des prêts automobiles à payer, nous n'étions pas à l'aise financièrement. Une fois en voyage d'affaires, je suis passée par une ville au bord du lac. La ville avait un beau port avec de beaux paysages. J'ai pensé que ce serait bien d'avoir une maison là. De cette façon, je pourrais rencontrer des clients à mi-chemin et ne pas avoir à me dépêcher de retourner à Toronto. J'ai vite vu un chalet au bord de l'eau à vendre à un prix raisonnable, et nous l'avons acheté. L'année suivante, la valeur de la propriété a augmenté de 40 % et nous l'avons vendue et avons obtenu un bon retour sur investissement. Je sais que cela a été donné par le Maître, et la seule façon pour un disciple de rembourser le Maître est d'être plus diligent et de sauver plus de gens !

Telles sont mes expériences de cultivation en travaillant dans les médias au cours des dix dernières années. Veuillez me corriger si ma compréhension est erronée.

Merci, Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

(Présenté lors de la Conférence de partage d'expériences de cultivation du Falun Dafa au Canada 2021)

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Traduit de l'anglais