(Minghui.org) Je voudrais partager quatre histoires récentes que j’ai vécues alors que j’expliquais la vérité aux gens.

Rencontre chanceuse avec un bouddhiste

Récemment, j’ai remarqué une augmentation visible de personnes religieuses intéressées à écouter la vérité sur le Falun Dafa.

Un jour, j’ai rencontré un homme d’âge moyen qui se tenait debout sur le côté de la route vêtu d’une toge de moine avec le crâne rasé et un chapelet de prières autour du cou et des poignets. Je l’ai salué avec un sourire : « Êtes-vous un moine ? Vous semblez gentil ! » Il a doucement répondu : « Je ne suis pas formellement entré dans un temple, je demeure un pratiquant à la maison. » « Alors vous devez être un bouddhiste laïc ! » ai-je répondu. Il a acquiescé de la tête.

Nous avons naturellement commencé à parler de nos croyances respectives. Je lui ai parlé de la vérité sur la persécution envers le Falun Dafa et ce que signifie démissionner du Parti communiste chinois (PCC), et de la Ligue de la jeunesse et des Jeunes Pionniers. Il a été d’accord pour renoncer à son statut de membre du PCC en me remerciant encore et encore. Nous avons ensuite eu la conversation suivante.

Lui : « Le Falun Dafa est un Fa juste. Ceux dans mon cercle savent cela et n’ont rien contre lui. Le Maître du Falun Dafa est un bouddha vivant qui vient pour sauver les gens. Les gens dans la société d’aujourd’hui ne comprennent pas cela, mais nous, nous le comprenons. On ne peut discerner les voies de cultivation majeures dans la société moderne, et les voies de cultivation mineures sont complètement cachées. »

Moi : « Oui. Si l’illusion était enlevée, les gens ne pourraient pas être sauvés. »

Lui : « Les pratiquants de Dafa font du travail sensé. Les gens du futur comprendront cela. Où est votre Maître maintenant ? Est-ce qu’il va bien ? »

Moi : « Mon Maître va bien. Il habite actuellement aux États-Unis. Le Falun Dafa s’est propagé dans plus de 100 pays de par le monde. Le livre principal de Dafa, le Zhuan Falun, a été traduit dans plus de 40 langues. Le Falun Dafa sauve les gens partout dans le monde ! »

Lui : « J’ai une meilleure compréhension maintenant. C’était bien d’avoir cette rencontre prédestinée avec vous aujourd’hui ! »

Moi : « Je suis d’accord. Peut-être que nous nous sommes rencontrés et avons partagé une affinité dans nos vies passées. Laissez-moi vous remettre une clé USB, avec davantage de documentation clarifiant la vérité. D’accord ? »

Lui : « Ce n’est pas nécessaire, puisque je connais déjà la vérité. Mon style de vie est minimal, au point que je ne vais même pas au temple pour brûler de l’encens. Au lieu de cela, je travaille à maintenir mon état de compassion, en attendant que le jour prédit arrive. »

Moi : « C’est exact. Les gens compatissants seront protégés par le Ciel et atteindront finalement un bon endroit. »

Lui : « Continuez de bien faire ! »

Comme nous allions chacun de notre côté, je l’ai entendu s’exclamer pour lui-même à répétition : « Quelle merveilleuse rencontre prédestinée ! »

Il s’est avéré que l’arrêt où il avait attendu ce jour-là n’était en fait pas celui de l’autobus qu’il voulait prendre. L’arrêt pour son autobus était de l’autre côté de la route. Le Maître avait arrangé tout cela pour qu’il puisse être sauvé.

Combien de divinités y a-t-il ?

Un jour, j’ai rencontré une femme vêtue complètement en blanc. Même ses souliers étaient blancs et sans taches. Après avoir offert mon admiration honnête de sa beauté et de son élégance, je lui ai parlé de la vérité à propos de Dafa.

Elle a écouté et a digéré mes paroles sans rien dire. Tandis que je décrivais l’importance de rejeter l’athéisme et de renoncer à tous les liens avec le PCC, j’ai regardé au ciel et j’ai dit : « Même alors que nous conversons, les divinités pourraient nous regarder d’en haut ! »

Elle a dit tout à coup : « J’ai une croyance absolue dans vos paroles. Mais j’ai une question : combien y a-t-il de divinités ? » En voyant mon air perplexe, elle a expliqué ce qu’elle voulait dire : « Je vois souvent des yeux se manifester dans l’espace autour de moi. Il y en a tellement qu’ils peuvent à peine se tenir là. Combien exactement y a-t-il de divinités ? Qu’est-ce qui se passe ? »

J’étais surprise et contente d’entendre ses paroles et j’ai récité un extrait d’un poème du Maître en réponse.

« Aussi petit que soit le monde
Il reflète entièrement le grand firmament
Tout le Ciel est rempli d’yeux
Point focal des divinités »(« Regarder attentivement », Hong Yin II)










Lorsque je lui ai présenté des documents clarifiant la vérité, elle a dit qu’elle avait déjà reçu quelques-uns des mêmes dépliants et qu’elle les avait chez elle et ne savait quoi en faire. « Les divinités regardent le cœur des gens. Si tu ne les endommages pas intentionnellement, tu ne seras pas blâmée. Tu peux les passer à tes proches ou à tes amis après les avoir lus, ou les laisser sur les rebords de fenêtre ou les paniers de bicyclette lorsque tu passes devant. » Elle a souri, contente.

Ensuite, j’ai de nouveau regardé vers le ciel. Même si je ne voyais rien de différent, je pouvais sentir le poids des lourdes responsabilités que portent les pratiquants de Dafa.

Rencontre avec un couple travaillant comme médecins

Un jour, en traversant la rue, j’ai remarqué un couple qui marchait devant moi. La femme avait une main gantée d’un gant jetable en plastique. J’ai demandé : « Êtes-vous médecin? » Elle s’est retournée et m’a regardée. « Comment le savez-vous? » « Je suis une personne qui a la foi dans les enseignements d’une école de Bouddha. Votre profession partage quelque chose en commun avec nous, nous croyons dans l’existence des choses que nous ne pouvons voir, et ainsi nous avons un sens plus poussé de la précaution. Le virus de l’épidémie est invisible à l’œil, mais les médecins croient qu’il existe et nous aussi. »

Amusée, elle s’est tournée vers son mari. « Elle est intelligente. Elle a deviné notre profession rien qu’avec un gant jetable. » J’ai continué : « Notre rencontre ici doit être prédestinée. On ne peut pas voir les virus, on ne peut pas voir Dieu non plus, pourtant ils existent tous les deux. Les médecins les plus habiles ont un dicton : “Les médecins peuvent soigner les maladies, mais ne peuvent sauver l’âme.” Ceci montre la connexion entre la science moderne et les croyances religieuses. »

Je leur ai expliqué la vérité sur Dafa et j’ai analysé les contradictions dans le coup monté des auto-immolations de la place Tiananmen d’une perspective médicale. La femme a acquiescé et était d’accord pour dire que cet événement était complètement truqué. Finalement, ils ont tous deux démissionné du Parti.

Je me considère chanceuse d’avoir rencontré ces deux personnes prédestinées et de ne pas avoir manqué cette occasion arrangée par le Maître.

« Marionnette en bois »

Durant la période de confinement, l’intervalle entre les passages d’autobus était plus long. J’ai vu une femme âgée qui attendait anxieusement à l’arrêt d’autobus, car son autobus était en retard. J’ai saisi l’occasion pour lui parler.

La femme n’était pas d’accord avec l’approche de la politique de prévention de la pandémie et m’a expliqué plusieurs de ses propres opinions. J’ai répondu que c’était dû à la loi de cause et effet. « Selon la perspective de la culture traditionnelle, de nombreux désastres naturels ou causés par l’homme se produisent lorsque les gens perdent leur sens moral. La preuve est là devant nous. » Elle a été d’accord avec moi. Comme je continuais de lui dire la vérité sur Dafa, son expression s’est soudain figée. Ses yeux étaient fixés aveuglément dans une seule direction, sa tête a arrêté de bouger et elle n’a répondu à rien de ce que je disais. Comme une « marionnette en bois », elle a montré une expression d’indifférence, sans faire de son ni s’en aller. D’un point de vue extérieur, j’étais ignorée, et l’atmosphère est devenue bizarre.

J’avais déjà rencontré des situations similaires quelques fois auparavant. Cela s’est la plupart du temps produit avec des gens qui avaient appris la vérité à de nombreuses reprises, mais qui avaient refusé de l’accepter. Normalement, j’aurais abandonné, mais cette fois-ci, j’ai décidé de continuer mes efforts. « Sœur, je sais que vous avez rencontré d’autres personnes comme moi qui vous ont expliqué la vérité. Malgré ce qu’ils vous ont dit, vous ne les croyez toujours pas, n’est-ce pas ? Sœur, un jour, une dernière personne vous parlera de cela pour la dernière fois. Cela pourrait même être le cas maintenant. Veuillez chérir cette occasion et utiliser votre propre jugement pour décider ce qui est vrai ou faux. Les gens sont gentils de nature. Seulement, ceux qui sont gentils peuvent entendre notre message, tandis que les gens mauvais n’en comprendront même pas un mot. »

Je lui ai parlé des mensonges autour du « coup monté des auto-immolations sur la place Tiananmen » qui allait contre la réalité et la science médicale actuelles. Je lui ai parlé de la propagation de Dafa dans le monde, de la beauté de Dafa et d’autres choses.

Soudain, la femme a semblé se réveiller de sa transe. Après un moment, elle a parlé calmement : « Vous avez raison. Il n’y a rien de mal à être une bonne personne. Je suis membre du Parti et je veux en démissionner. » « Vous serez bénie avec un bon avenir. La gentillesse sera récompensée tandis que le mal rencontrera la rétribution. J’espère que vous aurez des bénédictions et un futur en sécurité ! » ai-je dit. La femme m’a remerciée et nous nous sommes quittées. Après avoir marché quelques mètres, elle a crié : « Merci ! »

En clarifiant les faits sur le Falun Dafa dernièrement, j’ai rencontré de nombreuses personnes qui attendaient clairement d’entendre la vérité. Parfois, ces gens saisissaient l’occasion pour me parler, tandis que d’autres répondaient avec enthousiasme : « Oui, oui, oui » comme ils écoutaient attentivement. Et finalement, ils offraient tous leur gratitude sincère.

Parfois, je pense : « Maître, je suis désolée. Cette discipline ne peut répondre à vos attentes. Mes efforts pour sauver les êtres ne sont pas encore suffisants. » Parfois, un seul faux pas résulte en une occasion manquée de rencontrer une personne prédestinée. Parfois, mes fortes conceptions humaines se manifestent dans la réticence à parler aux autres. Parfois, la peur me colle à la peau. Parfois, la grande fatigue m’empêche d’approcher quiconque. Et lorsque je choisis de partir, parfois mon regard furtif en arrière attrape celui d’une personne qui me fixe avec espoir. Ayant manqué cette chance prédestinée, ils devront attendre pour une autre occasion. C’est un regret !

En clarifiant la vérité, j’en suis venue à réaliser la vérité derrière chaque phrase des enseignements du Maître. La compassion puissante de Bouddha se propage avec l’avancée inexorable de la rectification de Fa, qui affecte les êtres de façon positive. Je suis décidée à prendre cette chance et à devenir plus diligente !

Traduit de l’anglais