(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2011, alors que je me battais contre des complications d’une opération pour enlever ma tumeur au cerveau. Je me suis rétablie petit à petit et je n’ai plus eu besoin de prendre de médicaments. Je suis profondément reconnaissante à Dafa de m’avoir donné une nouvelle vie.

Une vie renouvelée

Ma tante pratique le Falun Dafa depuis 1993. Elle m’a souvent parlé des merveilles de Dafa. Même si je ne le pratiquais pas, je savais que le Falun Dafa est un Fa de Bouddha droit.

Lorsque le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa en juillet 1999, j’ai continué de soutenir ma tante dans sa pratique de Dafa. Elle m’a aidée à démissionner du PCC et de ses deux organisations pour la jeunesse et je récitais souvent les phrases de bon augure : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

En 2011, je faisais des affaires en dehors de la ville, lorsqu’un jour je me suis soudain évanouie et j’ai été emmenée d’urgence à l’hôpital. On m’a diagnostiqué un méningiome. C’est un type de cancer qui se développe sur les membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière.

Je suis retournée dans ma ville pour me faire soigner. Après un examen approfondi par un expert, j’ai reçu le même diagnostic. La taille de la tumeur était de 42x35 mm et on m’a programmé une intervention chirurgicale immédiate.

La veille de l’opération, je me suis sentie mal à l’aise et paniquée, mais j’ai réussi à concentrer mon esprit sur la récitation des phrases de Dafa, encore et encore. Je me suis alors calmée.

Alors que j’attendais pour être anesthésiée, une peur soudaine s’est emparée de mon cœur. Mon corps était froid et mon esprit vide. Mais soudain, j’ai entendu une chanson merveilleuse. Je me suis demandé qui avait encore l’état d’esprit pour chanter une si belle chanson. J’ai regardé autour et je n’ai vu personne, mais je me suis sentie plus calme en écoutant la chanson. Je me suis à nouveau concentrée sur la récitation des phrases de bon augure de Dafa.

L’opération a duré huit heures. Je n’ai ressenti ni gêne ni douleur, mais parfois je sentais très bien les mouvements du chirurgien dans ma tête. Après l’ablation de la tumeur, le chirurgien a dit à ma famille qu’elle avait la taille d’un œuf. Le lendemain, le rapport de pathologie a montré qu’il s’agissait d’une tumeur bénigne. Après l’opération, j’avais d’importants maux de tête. Ma tante a mis la musique de Dafa pour moi et mon mal de tête est parti. Je suis sortie de l’hôpital au bout de deux semaines.

La lecture du Zhuan Falun m’a guérie des complications de ma tumeur au cerveau

Après l’opération, j’ai souffert de quelques complications. Mon bras gauche était engourdi et j’avais parfois des crises d’épilepsie. J’étais clouée au lit. Je ne pouvais pas bouger la tête, car cela me provoquait des maux de tête et des vertiges. Ma tante m’a donné le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa, qu’elle lisait de temps en temps avec moi. Un mois plus tard, toutes mes complications avaient disparu.

De nombreux compagnons de cultivation sont venus étudier et faire les exercices avec moi. Ils m’ont aussi emmenée aux sessions d’étude en groupe. Je n’ai pris aucun médicament, mais ma santé s’est améliorée de jour en jour. Ma famille a été impressionnée par le pouvoir de guérison de Dafa et m’a encouragée à continuer à pratiquer.

Clarifier la vérité au poste de police

En octobre 2014, la pratiquante Zhen et moi sommes allées clarifier la vérité aux gens. Nous avons été dénoncées, arrêtées et emmenées au poste de police. Une jeune policière m’a interrogée. Elle m’a posé une dizaine de questions. J’ai répondu calmement : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle était furieuse, a tapé sur la table et m’a crié dessus. Lorsque son supérieur est arrivé, j’ai donné les mêmes réponses et il s’est mis en colère, tout comme elle. Cela ne m’a pas touchée et je suis restée calme.

Zhen était dans une autre pièce, elle était également gentille avec la police. Le soir, un agent nous a apporté des petits pains à la vapeur pour dîner. Nous n’avons pas mangé, mais nous l’avons remercié. Il en a mangé un lui-même et nous a dit que c’était bon. Comme il était sincère et gentil, Zhen et moi avons pris chacune un petit pain.

Au moment où nous avons commencé à lui clarifier la vérité, son supérieur est entré en disant qu’il avait mal au cou. Je lui ai dit que s’il faisait la première série d’exercices du Falun Dafa, sa douleur disparaîtrait. Je lui ai montré l’exercice et il a suivi. Après cela, il a dit que sa douleur était partie. Il était stupéfait et il est sorti.

La policière est revenue et n’a pas été aussi méchante qu’avant. Elle m’a demandé pourquoi je répondais à ses questions uniquement par : « Falun Dafa est bon. » J’ai commencé à lui clarifier la vérité et lui ai expliqué comment Dafa avait guéri ma tumeur au cerveau.

Elle m’a dit : « Si vous ne me l’aviez pas dit, je ne vous aurais pas crue ! On dirait que vous êtes seulement dans la trentaine (j’avais 49 ans) et vous avez un teint lumineux et les joues roses. Je suis seulement dans la vingtaine, mais je fais plus vieille que vous. » Je lui ai dit que la pratique du Falun Dafa aide les gens à améliorer leur santé et ils semblent plus jeunes que leur âge. Elle était impressionnée.

Un policier est venu me demander si j’avais un DVD présentant Dafa. Je n’en avais pas, alors il m’a filmée en train de faire la démonstration des exercices pour lui. Il a dit qu’il allait le regarder chez lui.

En prison, Dafa ma protégée

Ensuite, Zhen et moi avons été condamnées à quatre ans de prison chacune. Pendant la visite médicale, ma tension artérielle était de 200/120 mmHg, ce qui est très élevé, mais je me sentais bien. J’ai été emmenée à l’hôpital et forcée à prendre des médicaments.

Plusieurs jours après, le médecin a dit que le médicament n’était pas efficace et m’a fait prendre un autre médicament, qui à son tour, n’a pas pu faire descendre ma tension artérielle. Le médecin a alors doublé, puis triplé la dose. Lui et les gardiens ne m’ont jamais dit quel était ma tension artérielle ni le nom des médicaments, mais ils ont continué à contrôler ma tension artérielle, mon urine, mon sang et mon électrocardiogramme.

Un détenu qui soutenait Dafa m’a dit que Zhen avait les mêmes symptômes d’hypertension artérielle. Il m’a dit aussi que les gens de l’hôpital de la prison étaient très perplexes, car Zhen et moi recevions exactement les mêmes médicaments et avions les mêmes résultats de tension artérielle à chaque fois. Ils essayaient de comprendre pourquoi en testant différents médicaments sur nous.

Ensuite la prison a forcé Zhen et moi à nous procurer chacune à nos frais un tensiomètre et de l’avoir sur nous en permanence. Des personnes surveillaient notre tension artérielle et chacun de nos mouvements, 24 heures sur 24. Après près de trois mois d’observation, aucun des médicaments n’a réussi à faire baisser notre tension artérielle.

Les gardiens m’ont ensuite transférée dans un autre service où on ne me changeait plus de médicaments. Il y avait tous les jours, un gardien qui me surveillait pour prendre sept comprimés le matin, deux à midi et six le soir. J’ai donc dû prendre 15 comprimés par jour jusqu’à la fin de ma peine de prison (1030 jours au total).

Quelques mois avant ma libération, le médecin de la prison m’a finalement révélé quels médicaments il me faisait prendre. Il y avait quatre médicaments différents contre l’hypertension : l’hydrochlorothiazide (utilisé également pour traiter la rétention d’eau due à l’hypertension), des comprimés de tartrate de métoprolol (hypertension), la nifédipine (utilisée pour traiter les douleurs de poitrine) et le captopril (utilisé aussi pour traiter l’insuffisance cardiaque).

Le gardien qui me regardait prendre les comprimés vérifiait généralement ma bouche pour s’assurer que je ne cachais pas les comprimés sous la langue. En même temps que j’étais forcée à avaler tous les médicaments, je me rappelais d’émettre une pensée droite forte à chaque fois et demander au Maître de m’aider à éliminer la toxicité du médicament en moi.

Après ma libération, ma famille était préoccupée par ma santé et m’a conduite dans un grand hôpital pour un contrôle. Tout s’est avéré être normal et je n’avais pas du tout de tension artérielle élevée.

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Traduit de l’anglais