(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa avec ma mère quand j’étais enfant. Je n’ai jamais relâché mes efforts dans l’étude du Fa. Je suis maintenant en deuxième année du lycée.

Mes notes étaient médiocres lorsque je suis entré au lycée. Je ne réussissais pas bien dans mes cours de sciences générales et de physique. J’ai choisi les arts lorsque nous avons dû choisir notre majeure, car j’avais de meilleures notes dans ces matières. Cependant, choisir des cours d’arts signifiait que je devais suivre des cours sur la culture et l’idéologie du Parti communiste chinois. Même si ces cours me déplaisaient, je n’avais d’autre choix que de les suivre, car de bonnes notes amélioreraient mes chances d’entrer dans une bonne université.

Ma mère voulait que je reconsidère mes choix. J’étais insatisfait au début et je pensais que si je choisissais les sciences générales, mon avenir serait incertain.

Je suis tombé sur une phrase du Maître lorsque j’étudiais les conférences du Maître avec ma mère.

Le Maître dit :

Nous avons encore vu ceci : à la naissance d’un être humain, dans un espace spécifique, se trouve déjà la forme d’existence de toute sa vie; autrement dit, à quel moment de sa vie il devra faire telle chose, tout est déjà là. Qui a arrangé sa vie ? De toute évidence, ce sont des êtres supérieurs qui s’en occupent. Par exemple, dans la société humaine ordinaire, après sa naissance, cette personne se trouve dans telle famille, elle va dans telle école et à l’âge adulte elle occupe tel poste. À travers son travail, elle établit des relations de toutes sortes dans la société ; cela signifie que l’arrangement de la société entière a déjà été planifié ainsi. (Septième Leçon, Zhuan Falun)

Je me suis dit : « Le Maître a déjà prévu le chemin que je vais prendre. Peu importe que je choisisse une majeure en arts ou en sciences générales, les résultats seront les mêmes. Je ne dois pas m’inquiéter puisque le Maître a tout prévu. Bien que cela puisse être plus fastidieux pour moi d’étudier les sciences générales, tant que je travaille dur, tout ira bien. » J’ai décidé de changer ma majeure pour les sciences générales.

L’épidémie de COVID-19 a commencé pendant la seconde moitié de ma première année de lycée. Nous sommes passés aux classes virtuelles et j’avais plus de temps libre puisque mes cours se terminaient à 10 h du matin. J’ai commencé à étudier le Fa avec ma mère l’après-midi et le soir. Comme il m’était difficile de me lever le matin, je pratiquais les exercices le soir. J’ai également distribué des dépliants de clarification de la vérité avec ma mère. J’ai persisté à étudier le Fa, même lorsque ma mère n’était pas à la maison et j’essayais de ne pas me relâcher.

Miraculeusement, j’ai pu mettre fin à ma dépendance aux téléphones portables. Dans le passé, je jouais secrètement à des jeux sur mon téléphone. Je sais que le Maître m’a aidé à éliminer les substances négatives. Le Maître m’a également encouragé à plusieurs reprises après avoir vu ma détermination dans la cultivation. Une fleur d’udumbara a poussé sur une poire. J’ai appelé ma mère et elle m’a dit : « Le Maître t’encourage. Tu es très diligent. » J’étais extrêmement heureux et j’ai remercié le Maître à plusieurs reprises. J’ai placé la poire sur mon bureau pour me rappeler que le Maître est toujours à mes côtés et que je ne dois pas me relâcher dans la cultivation.

Mes études se sont améliorées lorsque j’ai continué à lire les enseignements. Je suis devenu plus concentré et il m’a été plus facile de comprendre mes travaux scolaires.

J’ai obtenu la cinquième place de ma classe et j’étais ravi. En outre, j’ai également obtenu la première place à deux examens. J’étais surpris, et mes professeurs et mes camarades étaient impressionnés.

En apprenant que j’avais obtenu la première place aux deux tests, j’étais rempli de gratitude envers le Maître. Je sais que le Maître a ouvert ma sagesse. Ma famille a été témoin des effets extraordinaires du Falun Dafa. Je sais que le Maître m’encourage. Merci Maître !

Ce qui précède est ma compréhension. Veuillez me corriger s’il y a quoi que ce soit d’inapproprié.

Traduit de l’anglais