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Vidéo de Minghui Shifang : « 1400 cas de décès » - Un mensonge répété à de multiples reprises

8 décembre 2022

(Minghui.org) Ce qui suit est une vidéo en chinois de « Minghui Shifang ». Ci-dessous, vous trouverez la traduction du script :

Bonjour à tous ! Bienvenue sur « Minghui Shifang » ! Nous espérons que notre sincérité vous apportera chaleur et espoir.

Au cours de l’été 2001, une femme s'appelant Xiao Yufen, en Chine, a écrit à Minghui.org pour dénoncer l’un des mensonges les plus sombres et les plus néfastes propagés par les médias chinois. Elle a déclaré que son mari, Wang Ku, un fonctionnaire, souffrait d’une maladie hépatique héréditaire. Ses deux frères étaient morts de cette maladie, l’un en 1995 et l’autre en 1997. Il était lui-même décédé de cette maladie en 1998. Il était décédé de mort naturelle. Mme Xiao a précisé que son mari n’avait jamais pratiqué le Falun Gong, mais que sa mort avait été incluse dans les « 1400 cas de décès » que Jiang Zemin et ses partisans utilisaient pour diffamer le Falun Gong.

C’est en juillet 1999, peu après que Jiang a ordonné la persécution du Falun Gong, que ces soi-disant « 1400 cas de décès » ont été compilés. La propagande calomnieuse prétendait que la pratique du Falun Gong avait entraîné la mort de ces 1400 personnes. Pendant plusieurs mois d’affilée, des milliers de journaux, de magazines, de stations de radio et de chaînes de télévision appartenant à l’État ont fait état des « 1400 cas de décès », trompant ainsi de nombreux Chinois.

Li Youlin, réparateur de cycles dans la province du Liaoning

L’un des cas les plus médiatisés a été la mort par pendaison de Li Youlin. Il était agriculteur dans le district de Dongliao, province du Jilin. Ensuite, il s’était installé dans la ville de Liaoyuan, dans la même province, et gagnait sa vie en réparant des vélos. Un jour, le service de gestion de la ville lui a confisqué ses outils de réparation et son chariot. N’ayant aucun moyen de gagner sa subsistance, il s’était senti si désespéré qu’il s’était rendu dans la montagne à proximité pour se pendre.

Sa famille avait été indignée que le département de gestion de la ville l’ait conduit à la mort. Afin d’exonérer la ville de toute responsabilité, le Bureau des affaires civiles de Liaoyuan avait promis de verser une compensation à la famille à condition qu’elle déclare que la mort de Li Youlin était due à la pratique du Falun Gong. Ensuite, la police avait mis en scène la mort de Li Youlin, dont le corps avait été ramené chez lui. Ils avaient remmené le corps de Li dans la montagne et ils l’avaient pendu. Ils avaient ensuite placé deux bouteilles d’alcool et quelques objets de Falun Gong à proximité. Ils avaient ensuite filmé la scène.

Cependant, la mise en scène comportait des incohérences. Le Falun Gong est une école de cultivation bouddhiste. Il interdit le meurtre et le suicide. Il décourage l’alcool et le tabac. Les deux bouteilles d’alcool étaient une indication claire que la police fabriquait des preuves contre le Falun Gong. En fait, les voisins de Li savaient tous qu’il n’avait jamais pratiqué le Falun Gong et qu’il avait des antécédents de maladie mentale.

Wang Youan dans la province du Shandong

En plus de Li Youlin qui avait une maladie mentale, le PCC est aussi allé chercher de nombreuses autres personnes souffrant de maladies mentales pour salir le Falun Gong. Wang Youan, un homme qui a tué son père avec une pelle, en est un autre exemple.

Wang était ouvrier à l’usine de machinerie de Taishan dans la ville de Xintai, province du Shandong. Lors d’une crise de sa maladie mentale, il a battu son père à mort avec une pelle. L’incident a été clairement documenté dans son jugement de divorce, qui stipule que sa femme Yin Yanju a demandé le divorce précisément parce qu’il ne lui avait jamais révélé sa maladie mentale avant leur mariage. Il a eu de nombreuses rechutes de sa maladie pendant leur mariage et a même tué son père. Mais le PCC a accusé le Falun Gong d’être responsable de ce meurtre.

Zhang Haiqing dans la province du Laoning

Le PCC a également recruté des patients en phase terminale et les a incités à dénigrer le Falun Gong en leur promettant de couvrir une partie ou la totalité de leurs frais médicaux.

Il y a eu le cas d’un homme bossu. Zhang Haiqing habitait à Panjin, province du Liaoning. Il s’est rendu à l’hôpital Xiehe de Pékin pour faire soigner ses vertèbres enflammées. Il y avait beaucoup de patients à ce moment-là et il se trouvait au bout de la file d’attente pour les inscriptions. Un journaliste de CCTV, la chaîne de télévision porte-parole du PCC, s’est présenté et a dit que quiconque acceptait d’être interviewé et de déclarer à la télévision que le Falun Gong n’était pas bon serait inscrit pour voir un médecin en premier et ne paierait que la moitié des frais médicaux. Zhang était impatient de se faire soigner, il a donc accepté l’interview et a dit que la pratique du Falun Gong l’avait rendu bossu. Il a également dit quelques mots grossiers dénigrant le Falun Gong, comme le journaliste lui a demandé de le faire. Bien qu’il ait été enregistré en premier, il n’a jamais bénéficié de la réduction de 50 % promise. Sa femme a ensuite dit aux gens que CCTV les avait trompés.

Li Shuxian dans la province du Heilongjiang

Li Shuxian vivait dans le district d’Acheng de la ville de Harbin, province du Heilongjiang. En juillet 1999, elle s’est rendue à l’hôpital no 4 de Harbin pour un ulcère gastrique. Comme sa famille n’avait pas les moyens de payer les frais d’hospitalisation, le président de l’hôpital lui a suggéré de prétendre que la pratique du Falun Gong l’avait rendue malade et il renoncerait alors aux frais médicaux. Elle et son mari ont accepté. Peu après, un journaliste du New Evening Press de Harbin est arrivé à l’hôpital pour interviewer le mari de Li. Le journaliste l’a poussé à dire des textes pré-écrits et l’a encouragé à paraître plus malheureux pour que les téléspectateurs croient que le Falun Gong avait rendu sa femme malade. Cependant, le président de l’hôpital n’a pas tenu sa promesse d’annuler les frais médicaux. L’état de Li s’est aggravé et elle a dû quitter l’hôpital contre son gré. Elle est morte peu de temps après.

Le « non-traitement des maladies » est devenu l’« interdiction de se faire soigner »

En plus de faire de la publicité pour les « 1400 cas de décès », le PCC a également mal interprété les enseignements du Falun Gong concernant le « non-traitement des maladies ». Quand le qigong est devenu populaire dans les années 1980, l’utilisation du qigong pour traiter les maladies est également devenue populaire. Certaines personnes étaient désireuses de traiter les maladies des autres en utilisant le qigong et des centres de traitement par le qigong ont même vu le jour.

Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong, a averti ses élèves :

« Aucun véritable disciple de Falun Dafa ne devrait traiter les maladies des autres. » (Septième Leçon, Zhuan Falun)

Il a également expliqué les raisons profondes de cette interdiction de traiter les maladies. C’est parce que le traitement des maladies pour les autres ne va pas seulement nuire au corps des pratiquants, mais aussi encourager leur attachement à la renommée et au gain personnel.

Cependant, le PCC a sorti les paroles de Maître Li de leur contexte et a prétendu que le Falun Gong interdisait à ses pratiquants de se faire soigner lorsqu’ils étaient malades. Les livres de Falun Gong indiquent clairement que les hôpitaux peuvent traiter les maladies et le Falun Gong ne s’est jamais opposé aux hôpitaux.

La décision de se faire soigner est un choix personnel

Le Falun Gong n’a jamais stipulé que ses pratiquants ne pouvaient pas se faire soigner lorsqu’ils étaient malades. Mais il était bien connu que le Falun Gong avait un pouvoir miraculeux pour guérir les maladies et garder la forme. De nombreux pratiquants avaient eu autrefois une mauvaise santé et avaient souvent consulté des médecins, surtout ceux qui avaient le privilège d’avoir accès à des soins médicaux gratuits. Cependant, après avoir commencé la pratique du Falun Gong, ils étaient devenus en bonne santé et avaient compris pourquoi les gens pouvaient tomber malades. Ainsi, ils ne prenaient plus de médicaments, car ils n’en avaient pas besoin. Un tel phénomène était très courant chez les pratiquants.

En 1998, cinq enquêtes à grande échelle sur les pratiquants de Falun Gong ont été menées à Pékin, Wuhan (dans la province du Hubei), Dalian (dans la province du Liaoning) et dans la province du Guangdong. Les résultats de l’enquête ont montré que le Falun Gong avait un taux d’efficacité de 97,9 % dans le traitement des maladies.

De nombreux Chinois n’ont pas les moyens de se payer un traitement médical

Même si une personne choisit de ne pas se faire soigner, il ne s’agit pas d’un crime, mais d’un choix personnel. Même les hôpitaux doivent demander le consentement des patients ou de leur famille avant d’effectuer toute opération chirurgicale. Cependant, dans sa campagne de diffamation contre le Falun Gong, le PCC a particulièrement insisté sur la question de chercher à trouver un traitement lorsqu’on est malade, comme si tout le monde pouvait bénéficier de soins médicaux gratuits, et que ne pas chercher à se faire soigner serait un péché impardonnable. Le fait est que de nombreuses personnes en Chine ne peuvent pas se payer des soins médicaux. De nombreux slogans attestent de ce fait, tel que « si l’on repousse le moment de se faire soigner, même en cas de symptômes graves, on ne pourra qu’attendre la mort lorsque surviendront des maladies catastrophiques », « une hospitalisation représente trois années de revenus », « une personne tombe malade et plusieurs générations de la famille vivent dans la pauvreté », « on travaille dur pour sortir de la pauvreté, mais tous les efforts sont vains si l’on est frappé par une maladie grave » ou « diagnostiquez vous-même les symptômes mineurs et mettez fin à vos jours s’il s’agit d’une maladie grave ».

Les erreurs de traitement entraînent 200 000 décès

Les erreurs de traitement et de pratiques médicales sont monnaie courante en Chine. L’administration nationale des denrées alimentaires et des médicaments a publié un rapport statistique indiquant qu’un quart de millions de Chinois prennent chaque année un mauvais médicament, entraînant 200 000 décès.

Plus de choix personnels

En Occident, de nombreux groupes religieux s’opposent ouvertement à la consultation d’un médecin lorsqu’ils sont malades, mais se concentrent sur la récitation de prières. Ce choix relève de leur liberté, et leurs gouvernements n’ont pas le droit d’intervenir. Au plus fort de la pandémie COVID, de nombreux gouvernements ont rendu les vaccinations obligatoires, mais certains pays (comme les États-Unis) ont pourtant autorisé des exemptions pour des raisons de croyances religieuses.

La médecine moderne semble très avancée, mais elle est souvent sans espoir face à certaines maladies. C’est pourquoi la médecine alternative a gagné du terrain. Pour de nombreux Occidentaux, consulter des médecins de médecine traditionnelle chinoise est une forme de médecine alternative. La méditation est également considérée comme une médecine alternative.

Le Falun Gong n’impose pas à ses disciples de s’abstenir de se faire soigner lorsqu’ils sont malades. En fait, le choix de se faire soigner ou non est un choix personnel. Cependant, le mensonge du PCC selon lequel le Falun Gong ne permettait pas aux gens de voir des médecins a sali le Falun Gong et incité la haine des gens à son égard.

Un autre point de vue

Nous pouvons également considérer sous un autre point de vue les « 1400 cas de décès ». L’annuaire statistique de la Chine indique que le taux de mortalité en Chine était de 0,65 % dans les années 1990. Le Bureau national des sports a mené une enquête et a découvert qu’il y avait environ 70 à 100 millions de pratiquants de Falun Gong avant 1999. Après le début de la persécution en 1999, le PCC a intentionnellement abaissé ce chiffre à 2,3 millions. Même si nous utilisons ce modique chiffre de 2,3 millions, le nombre typique de décès de pratiquants de Falun Gong par an [basé sur le taux de mortalité national] devrait être d’environ 14 950 (2,3 millions*0,65 %). Notez que ce chiffre de 14 950 est par an, mais que les 1400 décès présumés se sont étalés sur sept ans (1992-1999). De nombreux pratiquants étaient âgés ou malades, et ils avaient adopté la pratique principalement pour ses bienfaits sur la santé. Pourtant, le taux de mortalité des pratiquants de Falun Gong était beaucoup plus bas que la moyenne du pays, reflétant ainsi les bienfaits miraculeux du Falun Gong sur la santé.

Observations finales

Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande d’Hitler à l’époque de l’Allemagne nazie, a déclaré un jour : « Si vous répétez un mensonge assez souvent, les gens le croiront, et vous finirez même par le croire vous-même. » Le PCC, qui sait bien fabriquer des choses de toutes pièces, devait beaucoup admirer Goebbels et a propagé à répétition les 1400 cas de décès. Si le Falun Gong n’avait pas été persécuté, combien de personnes en mauvaise santé auraient repris le Falun Gong et recouvré la santé ? La découverte des mensonges sous-jacents aux 1400 cas de décès et la découverte de la vérité peuvent non seulement dissiper la haine instillée dans vos cœurs, mais aussi vous offrir une chance de recouvrer la santé.

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Traduit de l’anglais