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Les citoyens chinois célèbrent la mort de Jiang Zemin

8 décembre 2022

(Minghui.org) Après que le Parti communiste chinois (PCC) a annoncé la mort de son ancien dirigeant Jiang Zemin, le 30 novembre, de nombreuses personnes n’ont pu s’empêcher de célébrer cet événement. Vous trouverez ci-dessous quatre rapports reçus par Minghui.

Feux d’artifice virtuels

Je vis dans la province du Jiangxi et mon mari est un enseignant à la retraite. Nous avons tous deux été heureux d’apprendre la mort de Jiang. Le 1er décembre, mon mari m’a dit que de nombreuses personnes de son groupe d’enseignants sur WeChat étaient aussi enthousiasmées par la nouvelle. Il m’a montré un message posté par un ami de la ville de Zhangshu, dans la province du Jiangxi. Il s’agissait d’un feu d’artifice virtuel pour célébrer la mort de Jiang.

Feux d’artifice virtuels sur WeChat

L’ami a écrit : « Le vieux voleur [en référence à Jiang] aurait dû partir il y a longtemps. »

« Dommage que de bonnes personnes comme toi aient tant souffert »

Yuan est une pratiquante de Falun Gong dans la ville de Nanchang, province du Jiangxi. En raison de sa pratique du Falun Gong, elle a été licenciée par son employeur il y a des années.

Le soir du 1er décembre, un ancien collègue de travail l’a appelée.

« Félicitations ! Félicitations ! » s’est écrié le collègue une fois la connexion établie. « Qu’est-ce que tu veux dire ? » a demandé Yuan. « Sais-tu que quelqu’un est mort hier ? C’est génial, non ?! » a répondu le collègue. Sachant que le téléphone de Yuan était probablement mis sous écoute par la police, il n’a pas mentionné le nom de Jiang.

Yuan a ri et l’a remercié. Puis tous deux ont ensuite bavardé pendant une demi-heure.

« Dommage que de bonnes personnes comme toi aient autant souffert à cause de lui [Jiang]. Personne [sur le lieu de travail] ne voulait que tu partes, mais ces personnes [du Bureau 610] n’ont cessé de faire pression sur notre direction pour te faire licencier. Ce type [Jiang] aurait dû mourir il y a longtemps », a ajouté le collègue avant de raccrocher.

La section des commentaires forcée de fermer

Après l’annonce de la mort de Jiang, le 30 novembre, deux réactions sont apparues. La première était qu’il aurait dû mourir il y a des années. Une autre se lamentait de ne pas voir Jiang être jugé et puni de son vivant.

Comme de nombreux habitants de ma région ont partagé leurs réflexions sur la nouvelle, les autorités locales et la police de l’Internet ont fini par bloquer la section des commentaires du forum en ligne local et le fil d’actualité des médias sociaux. « Regardez, le crapaud [surnom bien connu de Jiang en Chine] nous fait du tort même après sa mort – le gouvernement ne nous permet pas de dire ce que nous pensons sur Internet », a déclaré une personne en pointant l’écran de son téléphone.

Pas assez de feux d’artifice

Mon mari est un fan de sport et il me parle à peine lorsqu’il regarde un match. Le soir du 30 novembre, il est arrivé dans mon bureau, à domicile, au milieu d’un match de la Coupe du monde de football, avec un grand sourire.

« Qu’est-ce qui se passe ? » ai-je demandé, perplexe. « Jiang est mort ! » a-t-il dit joyeusement.

Mon mari est un employé du gouvernement. Il sait comme Jiang et le PCC ont persécuté d’innocents pratiquants de Falun Gong comme moi au fil des ans. Il était ravi que l’initiateur de la persécution soit enfin mort.

Nous avons tous deux pensé à célébrer avec des feux d’artifice, mais nous avons réalisé que le PCC avait interdit les feux d’artifice dans les grandes villes depuis cinq ans. Que devions-nous faire ? Je me suis alors rappelé avoir vu des feux d’artifice dans les jouets de ma petite-fille il y a quelque temps. Je suis allée vérifier – ah oui ! Il y avait deux rouleaux de feux d’artifice. J’en ai immédiatement allumé un.

Mais je n’ai pas allumé le deuxième rouleau. Je vais le garder jusqu’à ce que le PCC soit désintégré et que nous puissions célébrer une fois pour toutes.

Traduit de l’anglais