(Minghui.org) En 1999, après que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à réprimer le Falun Gong, même les pratiquants de la province reculée du Yunnan, dans le sud de la Chine, ont été pris pour cible. C’est le cas de M. Shi Jianwei, professeur d’anglais à l’école intermédiaire no 1 du district de Binchuan. M. Shi et sa femme ont tous deux été arrêtés en septembre 2015 pour avoir déposé une plainte pénale contre Jiang Zemin, l’ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC) qui a lancé la persécution il y a vingt-trois ans.

Lorsque M. Shi a été condamné à six ans et demi de prison et sa femme à cinq ans, leur fille en âge de fréquenter l’école primaire a été laissée seule à la maison. En raison de sa longue détention et des tortures subies, M. Shi est mort le 26 septembre 2021 à l’âge de 56 ans.

Il s’agit de l’un des nombreux cas où des pratiquants de Falun Gong ont été détenus et maltraités – physiquement et mentalement – pour leur croyance. Mais les victimes de la répression ne se limitent pas aux pratiquants et à leurs familles.

Après avoir suivi aveuglément la politique de persécution du PCC contre des innocents, certains responsables du PCC en ont subi des conséquences désastreuses, tandis que d’autres, qui ont changé de voie, ont vu de nouvelles opportunités s’ouvrir à eux.

Les conséquences de persécuter des innocents

Au cours des vingt-trois dernières années, les pratiquants ont risqué leur vie pour dire aux gens ce qu’est réellement le Falun Gong et pour clarifier la propagande calomnieuse du PCC. Mais certains responsables ont refusé d’écouter et ont choisi de réprimer l’innocence pour des gains politiques ou matériels.

Un membre-clé du Bureau 610

Yang Xingyuan, directeur de la division de l’éducation du Département de la justice du Yunnan, était également un membre clé du Bureau 610 du Yunnan. Lorsqu’il a assisté à une conférence nationale à Pékin en juillet 2000, il a rencontré des représentants des Bureaux 610 et des départements de la justice de tout le pays. Il a notamment appris comment le Département de la justice de la province du Liaoning maltraitait les pratiquants.

De retour chez lui, Yang a raconté à Wang Tianxi, secrétaire du Parti du Yunnan et directeur de l’équipe de direction du Bureau 610 du Yunnan, comment les pratiquants de Falun Gong étaient réprimés ailleurs et a suggéré d’apprendre ces façons de faire d’une équipe de lavage de cerveau du tristement célèbre camp de travaux forcés de Masanjia.

À la suite de sa recommandation, le gouvernement du Yunnan a engagé à deux reprises, à grands frais, l’équipe de lavage de cerveau de Masanjia, d’abord en septembre 2000 au camp de travaux forcés pour femmes du Yunnan, puis en novembre 2000 au second camp de travaux forcés du Yunnan. Ils ont d’abord utilisé des techniques psychologiques pour tenter de faire subir un lavage de cerveau aux pratiquants. Ceux qui ne renonçaient pas à leur croyance étaient ensuite soumis à des tortures insupportables, entraînant l’invalidité et la mort de nombre d’entre eux. Les fonctionnaires ont ensuite recommandé ces techniques à d’autres endroits de la province du Yunnan et à d’autres provinces de Chine.

Selon les instructions du Bureau 610 du Yunnan, Yang a également aidé à produire une vidéo en trois épisodes diffamant le Falun Gong. Diffusée par la station de télévision du Yunnan, la vidéo a attisé la haine envers le Falun Gong et a aggravé la répression. Yang a également travaillé avec Sun Cuifang et Li Shaoming, deux journalistes du Yunnan Daily, pour écrire des articles diffamatoires à l’encontre du Falun Gong. Ils ont utilisé ces articles pour forcer les pratiquants à renoncer à leur croyance pour, selon leurs mots, les « transformer ».

Fin 2007, Yang est mort subitement. Il n’avait que 55 ans, et certains ont attribué sa mort précoce à son implication dans la persécution.

Yang a été amplement récompensé pour ces « réalisations » : En 2001, il a reçu la médaille nationale de la fête du Travail du 1er mai et des primes, ainsi que de nombreux prix dans la province du Yunnan. Il a été reconnu comme une figure-clé de la persécution du Falun Gong dans la province du Yunnan.

Signaler des pratiquants mène à une fin malheureuse

Dai Tangkun de la ville de Kunming est allé faire ses courses dans un magasin de riz. La propriétaire était une pratiquante de Falun Gong et elle a discuté de la pratique avec lui. Dai a recueilli ses coordonnées et celles des autres pratiquants et les a rapportées à la police.

Feng Ming était le secrétaire du Parti de la Commission des affaires politiques et juridiques (CAPJ) ainsi que le chef de la police du faubourg de Tangdan. Après avoir reçu l’information, Feng a prévu d’aller avec Dai voir les hauts fonctionnaires pour obtenir sa récompense pour avoir dénoncé les pratiquants. Les deux hommes ont convenu que Dai attendrait à l’entrée de l’école primaire de Yuhong. Mais, lorsqu’il est arrivé, Feng a perdu le contrôle de sa voiture et il a percuté et tué Dai.

Le directeur d’un poste de police poignardé à mort

Huang Baoqi était le directeur du poste de police de Chengbei, dans le district de Jianshui. En mars 2006, il était chargé de l’arrestation de cinq pratiquants de Falun Gong. En 2007, il a été promu capitaine de la brigade d’enquête criminelle du Département de police de Jianshui. Les gens ont dit qu’il utilisait les fonds publics pour manger et boire, rendre visite à des prostituées et jouer, et qu’il ne payait pas ses dettes. Le 12 octobre 2008, quelqu’un l’a poignardé plus de 10 fois et il est mort. Il avait 35 ans.

Deux autres fonctionnaires ont été poignardés lors de l’incident. L’un d’eux était Zou Zhijun, secrétaire adjoint du Parti de la CAPJ de Jianshui, responsable du Bureau 610. L’autre était Tong Jinlu, chef adjoint de la police du district de Jianshui. Parmi plus de 20 policiers présents sur les lieux, les trois seuls qui ont été poignardés étaient tous fortement impliqués dans la persécution.

Un secrétaire du Parti qui a persécuté plus de 200 pratiquants

La société métallurgique et sidérurgique de Kunming est une des plus grandes entreprises dans la province du Yunnan. En 1999, après le début de la répression du Falun Gong, plus de 10 pratiquants de l’entreprise se sont rendus à Pékin pour demander le droit de pratiquer. En conséquence, le PCC a licencié le secrétaire du Parti et le directeur général de l’entreprise.

Zhang Guisheng, directeur adjoint du Département de l’organisation de la société, a ensuite été promu secrétaire adjoint du Parti pour sa participation active à la persécution. Fin 2001, il a été promu une nouvelle fois, cette fois-ci au poste de secrétaire du Parti de la société, pour avoir pris des mesures impitoyables contre les pratiquants. Entre juillet 1999 et fin 2007, plus de 200 pratiquants ont été maltraités pour leur croyance. Certains ont fait l’objet d’une enquête, ont vu leur maison saccagée et ont été placés en détention. Plus de 40 ont été envoyés dans des camps de travaux forcés, plus de 30 ont été condamnés, au moins deux d’entre eux ont perdu la vie tandis que des dizaines de personnes ont été licenciées, de nombreuses familles ont été brisées et un nombre incalculable de personnes ont été contraintes de vivre loin de chez elles.

Fin 2007, Zhang allait déjeuner à la cafétéria des cadres supérieurs de l’entreprise. En sortant de l’ascenseur, il a soudain eu une violente douleur à l’estomac et a commencé à vomir du sang. Les mesures d’urgence ont échoué et il est mort à 52 ans. Lorsque le PCC a ordonné à une centaine de dirigeants de l’entreprise d’assister à ses funérailles, au moins quatre des véhicules du cortège ont eu un accident. De nombreux membres de l’entreprise ont déclaré que Zhang avait été puni pour ses mauvaises actions.

Un même véhicule, des résultats différents

Le 9 janvier 2004, un fourgon du Département de police de Luobai a été accidenté. Sur les quatre agents de police dans le véhicule, l’un est décédé et deux autres ont été gravement blessés. En novembre 2003, tous les trois avaient participé aux arrestations de M. Feng Baoding, Mme Gao Huixian et M. Ji Kaichun.

Xu Chunwei, un agent du poste de police de Liming, était très actif dans l’arrestation des pratiquants. Il avait aussi régulièrement ignoré les conseils des pratiquants de ne pas faire de mauvaises choses. Il est mort dans l’accident. Li Zhengfa, un agent du centre de détention de Luobai, a eu plusieurs lésions aux côtes, au foie, au pancréas, à l’estomac et à l’intestin grêle. Jia Wanhong, un agent de la division des enquêtes criminelles du Département de police de Luobai, a eu les bras cassés et une grave blessure à l’œil.

Yang Jun était le quatrième agent. Il n’avait pas participé à l’arrestation des prisonniers. Il n’a eu qu’une blessure minime à la jambe.

Un fonctionnaire de l’hôpital empoisonné

Su Ming était le chef de la sécurité du deuxième hôpital affilié à la faculté de médecine de Kunming. En raison de son implication dans la persécution, les pratiquants lui avaient parlé du Falun Gong, espérant qu’il pourrait voir clair dans les mensonges diffamatoires du PCC. Mais Su les a ignorés. En fin de compte, un certain nombre de pratiquants qui travaillaient à l’hôpital ont été maltraités. Certains ont été licenciés et d’autres ont été envoyés dans des camps de travaux forcés.

Le 8 décembre 2007, environ 20 personnes, Su y compris, ont mangé de l’herbe da cao wu (racine d’aconit jaune Vilmorin) comme complément alimentaire. Toutes les autres personnes allaient bien, mais Su a été empoisonné et il est mort le lendemain.

Encadrer les pratiquants

Wang Baoping, quadragénaire, était le directeur du comité des sports du district rural de Lancang. Au début de l’année 1999, lorsque les pratiquants faisaient leurs exercices dans le gymnase, Wang a recueilli leurs noms, prétendant qu’ils étaient nécessaires pour délivrer les permis d’entrée dans l’établissement. Mais il a utilisé cette liste par la suite pour persécuter les pratiquants.

Au cours de l’hiver 2001, Wang a enfreint le Code de la route et a embouti un camion. Il est mort sur le coup, son corps était presque méconnaissable.

Un directeur du Bureau 610 imprudent

Long Qingfu était le directeur du Bureau 610 du district de Shiping. Lui et Zhang, directeur adjoint du Bureau 610, sont allés à Honghe en juin 2003, pour planifier les prochaines actions contre le Falun Gong. Sur le chemin du retour, ils se sont fracturé les côtes et ont été hospitalisés pendant des mois.

En plus de suivre la politique de persécution, à la fois Long et Zhang ont injurié personnellement le Falun Gong et son fondateur. « Nous avons juré contre votre Maître. Et alors ? » ont-ils lancé aux pratiquants. Ils ont fait pression sur les pratiquants pour qu’ils dénoncent le Falun Gong et son fondateur et qu’ils écrivent des déclarations de renoncement à la pratique.

Beaucoup de personnes dans la région ont parlé d’eux après l’accident. « Avec ce qu’ils ont fait au Falun Gong, ce n’est pas surprenant de les voir finir comme ça », a dit un habitant.

Près de 10 pratiquants envoyés dans des camps de travaux forcés

Peng Zhongfa était un directeur du Bureau 610 du district de Jianshui qui a planifié la répression des pratiquants de Falun Gong. Près de 10 pratiquants ont été envoyés dans des camps de travaux forcés sous son commandement et beaucoup d’autres ont été envoyés dans des centres de lavage de cerveau. Les pratiquants lui ont dit à plusieurs reprises d’arrêter ses mauvaises actions, mais Peng a refusé de les écouter.

En 2004, Peng a eu un cancer et a été traité par chimiothérapie, mais il est mort à 50 ans dans l’hôpital de Jianshui.

Forcer près de 100 pratiquants à renoncer à leur croyance

Hu Suhai était le secrétaire du Parti du village de Laojie dans le district de Xichou. En avril 2000, il a organisé une séance de lavage de cerveau dans le bureau du comité du Parti du village. Il a forcé environ 100 pratiquants à se présenter et a forcé chacun d’eux à prononcer des discours et écrire des déclarations pour renoncer au Falun Gong. S’ils ne le faisaient pas, ils ne pouvaient pas rentrer chez eux.

Plusieurs mois plus tard, Hu avec Liu Yingyong et Mo Shengzhu, deux autres fonctionnaires du village, ont eu un accident de voiture et tous les trois, plus le chauffeur, sont morts sur place.

Mort par électrocution

Yao Zhimin était le directeur du Département de police du district de Xichou. Le 9 février 2001, lui et d’autres agents ont arrêté quatre pratiquants et ont saccagé leurs domiciles. En plus de retenir les pratiquants au Département de police et au centre de détention, Yao a diffamé le Falun Gong et son fondateur tout en faisant pression sur les pratiquants pour qu’ils abandonnent leur croyance.

En 2002, lorsque Yao est allé pêcher dans le village de Laojie, sa canne à pêche a touché accidentellement une ligne électrique à haute tension. Il a été électrocuté. Yao avait moins de 50 ans au moment de sa mort.

Un mal de tête comme avertissement

Yuan Chun était le capitaine de la Division de la sécurité intérieure du Département de police de Menghai. Rien qu’en mars 2006, il a été responsable de l’arrestation de plus de 20 pratiquants. Lorsqu’il a commencé à avoir des maux de tête, les pratiquants lui ont dit d’arrêter de faire de mauvaises actions pour éviter d’autres conséquences. Mais Yuan n’a pas écouté et a continué à envoyer des pratiquants en prison, où certains ont été violemment battus.

Deux mois plus tard, Yuan a reçu un diagnostic de tumeur au cerveau. Malgré deux opérations, il est mort peu après.

Faire du mal aux autres et se faire du mal

Entre fin 1999 et 2000, le directeur de la Division de la sécurité politique du Département de police de Baoshan a été très actif dans la persécution des pratiquants de Falun Gong. Après avoir arrêté plusieurs pratiquants, il a assisté à un banquet de célébration, où il a menacé d’arrêter tous les pratiquants de Baoshan sous peu.

Après être rentré chez lui, il a versé de l’eau accidentellement sur une ligne à haute tension et a été tué instantanément.

Dénoncer une collègue de travail

Mme Hu Meifang, 47 ans, était une employée du groupe de la construction métallique de Kun. Pour recevoir une récompense de plusieurs milliers de yuans, elle a dénoncé sa collègue de travail, Mme He Qiqiong, aux autorités. Cela a conduit à l’arrestation de Mme He et au saccage de son domicile le 23 octobre 2004, suivi d’une détention et de quatre ans de prison.

Deux semaines plus tard, Mme Hu et son mari ont percuté un camion avec leur moto, Mme Hu en est morte.

Des mesures correctives mènent à de meilleurs résultats

Certaines personnes ont appris de leurs leçons et ont arrêté de faire de mauvaises choses. Elles ont aussi été témoins de miracles.

Le fils d’un membre de la direction du Bureau 610

Ai travaillait dans un Bureau 610 et son mari était agent pénitentiaire. Lors d’une réunion d’anciens de l’université, son amie Ping lui a parlé du Falun Gong, de ses bienfaits et de sa répression. Ai l’a avertie : « Tu as de la chance d’être mon amie. Sinon on t’aurait arrêtée. »

Plus tard, le seul enfant d’Ai a été admis à l’université réputée de Fudan. Lors d’un accident de voiture, le garçon a été gravement blessé et le conducteur a pris la fuite. Il a eu le cœur irrémédiablement endommagé. En fait, les médecins ont annoncé plusieurs fois qu’il était au seuil de la mort.

Désespérée, Ai s’est rappelée du Falun Gong et a demandé de l’aide à Ping. « Peu importe ce que cela coûte », a-t-elle dit. « Même si je finis par ne plus rien avoir, je veux que mon fils guérisse. »

Ping lui a dit que ni elle ni le Falun Gong ne lui prendrait un centime, mais que faire du mal à des innocents serait mauvais pour Ai et sa famille. Elle a suggéré que Ai aide à faire libérer des pratiquants, s’excuse auprès de ceux qui ont beaucoup souffert à cause d’elle et récite « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».

Ai a commencé à vérifier quels pratiquants elle avait envoyés dans des camps de travaux forcés ou en prison. Comme la plupart d’entre eux étaient retournés chez eux, elle a décidé de rendre visite à chacun d’eux et de s’excuser. Elle a pensé : « Ces familles ont souffert misérablement à cause de moi. Ne vont-elles pas m’humilier ou prendre leur revanche ? » À sa grande surprise, elles ont toutes été très généreuses et n’ont eu aucune mauvaise attitude. Après avoir calculé combien elle leur avait volé ou confisqué (environ 240 000 yuans au total), elle a commencé à rendre ce qu’elle avait pris.

Le temps que Ai rembourse environ un tiers de ses dettes, son fils a guéri sans traitement. Les médecins étaient stupéfaits et la famille de Ai était ravie. Ils n’ont pas seulement appris l’importance de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », mais ils ont aussi accepté de démissionner des organisations du PCC pour un meilleur avenir.

Une intense douleur à la poitrine

Plusieurs agents de police ont arrêté un pratiquant qui parlait du Falun Gong aux habitants. Sur le chemin du retour au poste de police, un des agents a tout à coup ressenti une douleur aiguë à la poitrine (angine). En plus d’avoir le visage pâle et les membres froids, il transpirait et avait les symptômes d’un choc.

Le pratiquant arrêté, assis dans le véhicule et menotté, a recommandé à l’agent de réciter : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » L’agent hésitait jusqu’à ce qu’un autre agent lui dise : « Vas-y. Essaye. C’est d’accard pour nous. »

L’agent a commencé à réciter les phrases. Peu de temps après, sa douleur thoracique a miraculeusement disparu, comme si tout allait bien. En voyant cela, les agents dans le véhicule ont changé d’avis. Avant d’arriver au poste, ils ont relâché le pratiquant et lui ont dit de rentrer chez lui.

Ma mère

Pareilles situations se sont produites non seulement parmi les autorités du gouvernement, mais aussi parmi les citoyens ordinaires.

Mon père, ma sœur cadette et moi pratiquons le Falun Gong, mais pas ma mère. En 1999, après que le PCC a commencé à réprimer le Falun Gong, elle était même encore plus hostile. Mon père est décédé en 2013 en raison de la persécution et ma sœur et moi avons été détenus pour notre croyance. Ma sœur a même été emprisonnée. Notre mère nous a souvent ridiculisés et a fait des remarques négatives sur le Falun Gong et son fondateur.

À part un mauvais caractère, notre mère n’avait pas d’autres problèmes. Cependant, début 2016, ses pulsations cardiaques étaient très faibles : 30 à 40 pulsations par minute seulement. Suivant le conseil du médecin, elle a dépensé environ 200 000 yuans pour lui placer un stimulateur cardiaque. Mais, peu après, elle a eu une infection – une vascularite et une septicémie. Comme elle était dans un état critique, le médecin a dû retirer le dispositif.

En nous occupant d’elle, ma sœur et moi partagions nos pensées. Nous lui avons rappelé qu’elle avait vu comment notre père avait bénéficié du Falun Gong. Nous avons dit que c’était injuste de dire du mal de la pratique seulement parce que le PCC l’avait interdite. Notre mère était d’accord et s’est excusée sincèrement auprès du fondateur du Falun Gong. Elle a aussi récité de temps en temps : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Peu de temps après, son état s’est amélioré. Son pouls est revenu à la normale et elle n’a plus eu besoin de stimulateur cardiaque. « Je suis d’accord pour dire que le Falun Gong est vraiment bon », a-t-elle dit. « Et je ne croirai plus jamais les mensonges du PCC. »

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