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Un ancien responsable quitte le PCC

6 avril 2024 |   Écrit par Yazhi, une disciple de Dafa de la province du Heilongjiang en Chine

(Minghui.org) Ma sœur, qui vit dans une autre province, est également une disciple de Dafa. Elle souhaitait sauver un ancien responsable de son précédent lieu de travail. Ce responsable était membre du personnel d’encadrement de l’entreprise. Il avait mémorisé les quatre volumes des œuvres choisies de l’ancien dirigeant du PCC, Mao Zedong, et pouvait en parler longuement en réunion. Comme il était relativement accessible, qu’il ne prenait pas des airs supérieurs et qu’il faisait les choses dans l’intérêt des employés, les personnes qui avaient eu affaire à lui ne tarissaient pas d’éloges à son sujet.

À l’époque où ma sœur travaillait avec lui, elle avait trouvé qu’il n’était pas une mauvaise personne et qu’il travaillait dur. Elle voulait l’aider à se débarrasser de l’emprise du spectre maléfique du communisme. Chaque fois qu’elle venait lui rendre visite, elle lui parlait du Falun Gong et essayait de le persuader de quitter le PCC, mais malheureusement il ne le faisait pas.

Il y a quelque temps, ma sœur est revenue dans la région, elle a pensé à lui et m’a demandé de l’accompagner pour lui rendre visite. Elle craignait qu’il ne soit complètement détruit par le PCC si nous l’abandonnions. J’ai pensé qu’étant donné que nous, pratiquants, ne formions qu’un seul corps, je devais y aller et émettre la pensée droite pour la soutenir.

Ma sœur et moi sommes allées lui rendre visite un soir. Il souffrait d’hémiplégie, mais il était dans un bon état mental et heureux de nous voir. Ce responsable et moi-même ne nous étions pas vus depuis des années, et nous avons discuté des différentes choses qui nous étaient arrivées dans nos vies respectives. Lorsqu’il s’est mis à parler avec ma sœur, j’ai émis la pensée droite pour éliminer l’esprit pervers qui se trouvait derrière lui.

Ils ont parlé un moment, puis je me suis jointe à leur conversation. J’ai dit : « Monsieur, le fait de vous voir aujourd’hui accroît notre inquiétude au sujet de votre santé. Vous avez travaillé toute votre vie et vous devriez jouir d’une retraite heureuse. Ma sœur vous a parlé à plusieurs reprises du Falun Gong et du fait de se retirer du PCC pour un meilleur avenir, mais vous n’avez pas voulu démissionner. Pouvez-vous nous dire pourquoi ? » Il a dit qu’il n’était pas convaincu par ce que ma sœur lui avait dit.

Je lui ai donné une petite tape dans le dos et lui ai dit : « Monsieur, pourquoi ne l’avez vous pas crue, et qui vous a empêché de la croire ? C’est l’esprit communiste pervers qui vous empêche d’y croire ! » Il a semblé stupéfait pendant un moment, et j’ai su que les choses qui se trouvaient derrière lui avaient disparu.

J’ai continué : « Ces esprits pervers ne veulent pas que vous croyiez aux divinités et aux bouddhas ; ils veulent vous détruire. Si vous ne quittez pas les organisations du PCC, vous gardez leur marque et ils vous contrôlent. Vous deviendrez leur objet funéraire et ils vous feront descendre en enfer avec eux. Ma sœur pratique le Falun Gong et sait ce qui se passe. Elle pense à vous et vient vous rendre visite à chaque fois qu’elle revient dans la région. Elle veut vous aider à avoir un meilleur avenir. Si vous continuez à soutenir le PCC, vous mettez en danger votre avenir et celui de votre famille. »

J’ai ajouté : « Le PCC pervers vous lave le cerveau avec l’athéisme et vous fait croire qu’il n’y a ni divinités ni bouddhas. Mais lequel de ces hauts dirigeants du PCC ne croit pas en l’existence des divinités et des bouddhas ? Si Mao Zedong n’y croyait pas, pourquoi y aurait-il l’Unité militaire 8341 ? » (On raconte qu’une fois, Mao Zedong a envoyé un secrétaire interroger un vieux prêtre taoïste sur sa sécurité future, mais le prêtre n’a rien dit. Il s’est contenté de donner un morceau de papier au secrétaire. Mao a ouvert le papier et a vu le numéro 8341. Il a alors nommé sa garde personnelle l’Unité 8341, alors même qu’il ne comprenait pas la signification de ce chiffre.)

J’ai poursuivi : « Si le précédent dirigeant du PCC, Jiang Zemin, ne croyait pas en eux, pourquoi a-t-il copié à la main le “sutra du Trésor de la Terre” ? Ils y croient tous, mais ils ne veulent pas que les gens croient aux divinités ni aux bouddhas ; ils veulent que les gens croient uniquement au PCC pervers. Quand j’étais jeune, le PCC m’a enseigné l’athéisme et j’ai également crié que je me battrais contre le ciel et la terre. Si Dieu veut qu’il pleuve aujourd’hui, les gens peuvent-ils dire non ? »

J’ai enchaîné : « Vous savez que ma sœur a souffert d’un certain nombre de maladies et qu’elle a consulté de nombreux médecins, mais aucun n’a pu l’aider. Après avoir commencé la pratique du Falun Gong, elle s’est remise de toutes ses maladies. Elle a maintenant un teint éclatant et marche avec énergie. Regardez-vous, vous avez travaillé dur pour le PCC toute votre vie, et qu’avez-vous gagné ? Même avec votre état de santé actuel, vous vous accrochez encore au PCC. S’il vous plaît, arrêtez de croire au PCC et quittez-le dès que possible. »

Il m’a regardée en souriant et m’a dit : « D’accord, s’il vous plaît, aidez-moi à démissionner du PCC. » J’ai répondu : « On est béni quand on démissionne du PCC ! Rappelez-vous que le Falun Dafa est bon, qu’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Il n’arrêtait pas de hocher la tête. J’ai alors dit à sa femme : « Madame, vous devriez démissionner aussi. » Elle a répondu : « D’accord, j’accepte de démissionner. J’ai rejoint la Ligue de la jeunesse quand j’étais jeune. »

Il a marché lentement jusqu’à une autre pièce, où il a pris un exemplaire du livre Neuf commentaires sur le Parti communiste et nous l’a montré. Je lui ai demandé : « Qui vous l’a donné ? L’avez-vous déjà lu ? » Il a répondu : « Quelqu’un l’a mis devant ma fenêtre ; je n’ai pas encore eu l’occasion de le lire. » Je lui ai dit : « Lisez-le, s’il vous plaît ; vous comprendrez mieux pourquoi nous vous avons aidé à quitter le PCC. » Il a été d’accord pour le lire.

Plus tard, une pratiquante m’a raconté que son père était proche de ce responsable depuis longtemps. En apprenant que cet ancien responsable avait quitté le PCC, le père de cette pratiquante a également quitté le PCC. De nombreuses personnes qui le connaissaient ont fait de même ; ils ont quitté le PCC les uns après les autres. Je me suis sentie heureuse pour eux, car ils s’étaient choisi un avenir lumineux.

Merci Maître ! Merci compagnons de cultivation !