(Chinese version http://minghui.ca/mh/articles/2000/12/23/5810.html)
[Minghui]Cest arrivé tôt, un matin à la mi-novembre.Deux pratiquants maccompagnaient au marché pour afficher de la littérature exposant la vérité sur la persécution de la Grande Loi qui sévit ici . Lorsque javais presque fini, je remarquai quune de mes mains tremblait lorsque je déchirais le papier collant. Alors, je maperçus quil fallait que je me débarrasse de la peur qui envahissait mon coeur. Lorsque jeus marché à peine un coin de rue, japerçus un policier, les mains sur les hanches qui mattendait. Je pensai, à ce moment:Cest bien, finalement, jai la chance de voir la perversité de près.Merci Maître. Javançai juste en face de lui.
Face au policier je lui souris avec un signe de tête. Il répliqua avec un sourire forcé. Pendant que je le dépassais, il me lança à contre-coeur,Arrêtez! Je lui dis,Oh oui, joubliais de vous remettre ce feuillet sur la Grande Loi. Alors, je lui ai remis un feuillet. Vous enfreignez la loi, dit-il. Veuillez sil-vous-plaît le regarder, dis-je. Je nenfreignais pas la loi. Je ne disais que la vérité. Tout ce que jai dit est basé sur les faits. Il voulait déchirer la littérature de la grande Loi. Comme jhésitais, il a lu à haute voix, ce que je lui avais donné. Alors, je dis,Il ny a pas longtemps que cela est affiché, et personne ne la lu jusquà date.Il dit, Comment se fait-il que vous ne mécoutez pas? Vous devez déchirer cette littérature.
Cest alors quun groupe de policiers sont venus se joindre à nous. Un des leur, demanda qui fut arrêté. Lofficier qui mavait arrêté était la personne en charge du groupe.Il dit, Un propagandiste du Falun Gong.Il leur ordonna de rester là, debout, pendant que je devais leur donner une introduction au Falun Gong. À ce moment, je voulais mécrier:Oh,Maître,votre grande compassion se fait voir devant mes yeux. Il y avait environ une trentaine de personnes incluant les policiers et les autres personnes autour de nous, qui écoutaient mon discours. En me servant de mon expérience , jexpliquai combien la Grande Loi pouvait être bénéfique aux gens et comme on avait infligé une méchante persécution contre la Loi. Je leur montrai de quelle façon, ils avaient tous été trompés par les mensonges.
Quelques-uns, larme à loeil, mécoutèrent solennellement. Mais, une personne cria,Il a dit de mauvaises choses contre Jiang Zemin. Pourquoi ne pas larrêtez? Le policier en charge de répondre, Vous voyez, ils veulent quon vous arrête Je répliquai, Voulez- vous faire la même chose quils (les autres qui ont persécuté la Grande Loi) ont fait? Il était muet, il ne pouvait trouver mot pour me répondre.
Il pensa un peu, ensuite il ordonna aux autres de partir, ne laissant que deux de ses policiers, lui et moi-même. Il me dit,Retournez chez-vous..Mais vous devez payer une amende de 200 yuans ou vous pouvez choisir de ne plus revenir.Il nen tient quà vous. Vous pouvez partir maintenant. Et, je fus libéré.
Dans son discours,Éliminer le dernier attachement, Maître Li nous dit que, Si un pratiquant dans n'importe quel genre de circonstance peut abandonner la pensée de vie et de mort, la perversité en aura certainement peur ; si tous les élèves peuvent y parvenir, la perversité s'anéantira d'elle-même. Vous connaissez déjà le principe de Loi d'engendrement et de domination mutuels, sans la peur, n'existeraient plus les facteurs qui vous font peur. Il ne s'agit pas de se contraindre à agir, mais on atteint cela parce qu'on abandonne vraiment avec le coeur tranquille. Je pense quen autant que nous puissions suivre les enseignements du Maître , en autant quon puisse consacrer à la Grande Loi, tout ce que nous avons et sommes en tant quindividu et quainsi nous nous assimilons à la Loi, nous aurons un champ énergitique fort et vertueux. Non seulement, pourrons-nous contrôler la perversité, mais le champ dénergie pure générée par la Loi pourra suffoquer la perversité, et comme résultat, la perversité prendra le chemin vers la ruine.
Les pratiquants en Chine
Le 20 décembre,2000
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