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L’étonnante histoire de guérison d’une maladie de cerveau « incurable » d’une pratiquante australienne

4 novembre 2001

"Clarifiez la vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité, apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La Grande Loi est indestructible).


L’étonnante histoire de guérison d’une maladie de cerveau « incurable » d’une pratiquante australienne

Conférence de partage de Sydney, Mai 1999

Aussi loin  que je me souvienne dans cette présente vie, j’ai toujours recherché des façons sérieuses de contribuer à la « paix sur la terre ». J’ai toujours travaillé sur moi-même intérieurement, sachant que toute vraie contribution doit commencer avec la responsabilité de ses propres pensées et actions. Dès le début de mon adolescence, j’en suis venu à réaliser que dans le monde où je vivais, beaucoup de gens semblaient souhaiter plus de « choses », telles que plus d’argent ou de meilleurs modes de vie. J’avais besoin d’apprendre les leçons et de suivre mon chemin. Je m’orientais vers une compréhension quelque peu superficielle des voies bouddhistes. Je croyais 100 % à la réincarnation et je savais que j’avais des dettes à payer. Mais je savais aussi que mon essence était bonne et que j’avais dû faire quelque chose de juste pour être née avec tant d’amour dans mon cœur et être si profondément concernée par l’humanité et ses actions depuis le plus jeune age.

Par conséquent, comme je lisais des livres de métaphysique  auxquels je pouvais m’identifier et assister à des cours associés, je commençais à rencontrer sur le chemin d’autres personnes et professeurs  du même avis et  avec le même cœur, que je respectais. Je fus soulagée de trouver ce que je percevais être  « les pièces de fond du puzzle ».

Je retournais au monde ordinaire. J’étais excellente dans l’enseignement, recevant des prix de « citoyenneté » et des mérites scolaires et j’ai obtenu une bourse en musique et une carrière qui fit de moi quelqu’un  à la mode dans le monde entier.  Ne reconnaissant que les êtres supérieurs dans mes écrits privés, j’étais plus qu’heureuse d’être une personne normale. Je continuais à être intensément passionnée par la Paix dans le monde et essayait sincèrement d’y contribuer par ma musique. Heureusement à la fin de mon tour du monde, j’étais un peu plus honnête avec moi-même car j’étais devenue de plus en plus irrespectueuse dans la manière dont je menais ma profession. Je visualisais ce que je percevais être une expérience d’une vie passée : cependant se manifestaient des parallèles  avec cette vie. Ce fut  un énorme réveil quand je m’aperçus que ma vie de pianiste internationale devait immédiatement se terminer.  En outre, malgré quelques révélations, j’étais incroyablement malade à ce moment-là.

Et ensuite, j'ai commencé de nouveau à m’ouvrir et à voir. Je ne peux pas dire combien d’arcs en ciel je vis danser dans la lumière. Mes capacités supranormales étaient sans expériences sombres et je vis tant de gens, de vies, de visions, d’expériences, mot à mot. Je vis leurs sources de douleur et d’angoisse et souhaitais les réconforter en leur permettant de savoir que je pouvais les voir. Je voulais leur faire connaître seulement ce qu’ ils pouvaient savoir, en leur énonçant les faits avec douceur. Ils auraient été réconfortés et étonnés par moi ; malheureusement, en toute honnêteté, voilà comment j’étais. Hélas, j’ai utilisé mes pouvoirs, pensais-je, pour aider, pour guérir. Et une fois encore, je voulais guérir le monde. De toutes façons, je m’étais convaincue  durant ces années qu’il s’agissait du devoir que Dieu m’avait donné, qu’on m’avait accordé ces cadeaux de vision  et guérison et que je pouvais les offrir avec compassion à quiconque en avait besoin. Ignorant les principes karmiques de base devant mes propres attachements d’ego, je me jetais littéralement dans la guérison. J’acceptais que viennent à moi toutes les personnes, les unes après les autres et je sortais dans les rues pour en trouver d’autres à aider. En regardant en arrière, j’étais imbue de ma personne et me sentais très spéciale. Plus je donnais et plus cet amour  infini m’étonnait et cependant je ne savais pas comment cela arrivait. Je me fiais juste à mon plus haut moi et à Dieu.

Ayant depuis de nombreuses années une histoire de maladie assez compliquée et importante et un soi-disant « mal incurable », bientôt je me tournais vers de nouveaux « contrôles de réalité ». Je recevais  diagnostics sur diagnostics positifs. Je passais de la résistance totale aux drogues à la soumission aux drogues, tout en sachant bien que ces conditions médicales n’étaient pas de la mauvaise chance mais des leçons pas encore apprises – karma. Mes cellules refusaient tant de drogues et cela embrouillait seulement les soi-disant maladies. Plus je sentais que je devais payer le karma, plus j’essayais d’être altruiste, ignorant mes propres maladies et continuant d’essayer de guérir les autres et plus je devenais malade. Je n’avais pas encore abandonné l’important attachement de l'ego à guérir les autres. Plus je pensais payer le karma, pire était la maladie et pire était la souffrance. Alors c’est seulement l’année dernière que j’ai pensé que je devais être si honteusement mauvaise, que je n’obtenais aucun mieux et peut être que j’étais tout simplement destinée à mourir de maladie dans cette vie. Après tout, j’avais déjà eu une maladie après l’autre et trois spécialistes avaient diagnostiqué une maladie génétique chronique  au cerveau, une maladie, qui selon les statistiques médicales, tue un malade sur sept.  J’ai toujours été sceptique quant aux médecins,  persistais dans des méthodes de guérison orientales et continuais à chercher un véritable maître de Qigong. Ce n’était pas une tâche aisée et je voyageais beaucoup sans grand résultat. Je gardais toujours à l’esprit que j’apprenais, re-payant le karma et que mon ego était à nu et beaucoup plus pur. Sûrement cette maladie se terminerait bientôt, mais justement non et au contraire ça empirait et je pensais honnêtement que mon esprit ne pouvait plus supporter. Je sentais que je sombrais. A ce moment-là j’existais au jour le jour, parfois ne sachant même pas qui j’étais. Toute ma vie je m’étais sentie douce, mais aussi si forte (très profondément). Je pouvais comprendre les dettes karmiques que je devais payer. Cependant je sentais que je devenais de plus en plus faible.

Ayant vécu en Asie quand j’étais enfant et, à ma connaissance, dans des vies passées aussi, je retournais travailler en Chine en 1993. De nouveau tant d’expériences se produisirent. En bref, beaucoup de rappels, d’étincelles, de rêves et de souvenirs survinrent. Depuis, j’y suis retournée encore et encore, sachant que quelque chose d’important m’amenait ici et en me fiant juste à ça. L’année dernière, très malade, je retournai une fois encore à Shanghai. Cette fois, c’était différent, comme si quelque chose arrivait tout seul, je ne savais pas quoi.  Dans l’avion quittant Shanghai,  je me sentais tellement malade, ne pouvant articuler les mots, fatiguée, sans coordination des membres et avec une température élevée. Etendue en travers des sièges, je regardais fixement une entité/apparition, les yeux grand ouvert, tout à fait consciente. Un  homme horrible, aux cheveux longs apparut juste en face de moi. Pendant toutes ces années  tant d’expériences anormales ou super naturelles s’étaient produites. Cette fois, je m’en fichais et étais indifférente.

A mon retour de Chine, je regardais et regardais cet homme horrible et doucement je disais seulement : « assez … ça va trop loin ». Je me tournais face à cet homme , il était alors « aussi clair que le jour », et que je sois en pleine hallucination à cause de la maladie ou que ce soit une autre visite d’entité, je m’en fichais. Avec absolument aucune peur, je me retournais vers l’homme, le regardais d’un air découragé, et ensuite lâchais chaque conflit dans mon corps, toujours si doucement.

A l’arrivée, j’étais faible et restais au lit pendant deux jours, lisant tranquillement des écritures bouddhistes.  Me délassant à Bali, paisiblement je commençais à lire le livre de Maître Li qui m’avait été donné avant de quitter l’Australie. Je réalisais que c’était en effet beaucoup plus qu’un livre. Je peux dire en toute vérité qu’en 24 heures, toute ma vie, mon corps, mon monde ont été réarrangés, comme si cela avait été préarrangé. Je ressentais ce que je peux seulement décrire comme des décharges électriques à travers le corps, les terminaisons nerveuses, l’abdomen, les muscles et les émotions. Je n’avais jamais ressenti çela dans ma vie. C’était irrésistible mais néanmoins incroyablement pacifique. Mon mari peut témoigner de la manière dont sa femme réagissait totalement au changement radical. Mes capacités supranormales semblaient accrues, et paraissaient danser avec la nature au rythme de ce changement. Comment l’expliquer ? Je ne pouvais pas.

A mon retour en Australie, 3 semaines plus tard, sachant que la maladie avait disparu pour toujours et ayant laissé les médicaments, je ne retournais pas  voir les spécialistes ou  le  généraliste. Après quelques semaines, pour ma famille plutôt sceptique, pour son confort, j’allais chez le généraliste afin d’effectuer des tests sanguins,. Ils m’étaient utiles pour refuser les traitements par drogues, les traitement médicaux et la maladie elle même. Elle vivait dans l’appréhension qu’au fil des semaines et des mois je sorte de la « rémission » et que mon monde meure en raison de ma confiance immense en ma bonne santé. Cependant elle l’accepta au vu des tests sanguins stables, des niveaux de la thyroïde, de la rectification de certaines fonctions corporelles, de l’arrêt de gonflement aigu de la face, de l’absence de douleurs sévères, de l’aspect de mes yeux, de la couleur de ma peau, de la clarté de mon discours, des pensées, des niveaux d’énergie et par mon retour à la vie active et aux études universitaires.

Et ensuite un autre événement arriva, amenant un changement significatif et merveilleux. Une nuit, en Octobre, je me réveillais soudainement, les yeux grand ouverts et profondément consciente. Environ 60 centimètres en face de mes yeux, je vis une forme oblongue de la taille approximative d’une grosse  brique, avec à l’intérieur des symboles quasi lumineux, brillants, tournant rapidement : c’était resplendissant. J’eus ensuite  une énorme vague d’énergie.  Je me tournais vers mon mari et décrivais le prodige auquel je venais juste d’assister. Il accepta et respecta mon expérience. Quelques heures plus tard, il regarda dans mes yeux et déclara qu’il pouvait me voir  comme bien loin de ce que j’étais auparavant. Et nous avons su tous les deux qu’une sorte de miracle s’était produit. Etant incapable de concevoir en raison d’abord d’une absence de menstruations et ensuite des médicaments toxiques à haut risque, et d’une très mauvaise santé, nous avions considéré que je n’étais pas en état d’envisager une naissance. A nouveau, je savais qu’il s’agissait du karma et que cette question était au début  dévastatrice dans nos vies. Cependant, après avoir reçu le Dafa de Maître Li, ceci aussi changea.

La conception de notre enfant arriva le même jour d’octobre où je me réveillais avec ce falun resplendissant tournant face à mes yeux. Je suis maintenant enceinte de 6 mois. C’est si réjouissant  dans nos familles que c’en est au delà des mots. Ma mère a maintenant lu les deux livres, mon père lit Falun Dafa tiré sur Internet et l’a passé à mon beau-frère qui est médecin et qui est assez fasciné par le changement. Mon frère a amené sa petite amie au cours et elle est entrain de lire le livre. Mon mari et moi vivons chaque jour en action de grâce. Mon propre généraliste et les spécialistes qui maintenant n’ignorent pas ma bonne santé, demeurent sceptiques et l’appellent une rémission. Il y en a même un qui blâme un autre en disant que c’est un mauvais diagnostic. Ils ne peuvent cependant pas nier l’évidence de la disparition d’une maladie génétique et d’un revirement de santé sans médication pourtant considérée comme essentielle pour contrôler la maladie. Et pourquoi discuterais-je ? Ce point est au-delà de tout.

 Si j’avais fait  remarquer  que des formes de vies négatives indépendantes vivaient sur et dans mon corps, déterminées à atteindre ou contrôler  mon esprit, que j’avais à payer des dettes karmiques en raison de  la substance noire abjecte que les médecins prenaient comme une maladie, et que maintenant j’étais libérée d’une bonne partie de la matière noire qu’ils essayaient de soulager avec des produits chimiques, qu’auraient-ils fait ? Je pense qu’ils auraient prescrit un autre produit chimique pour contrôler ce genre de pensées. Après tout, c’est « L’Occident » et le concept du Karma n’est pas inclus dans les soins médicaux occidentaux et, à mon avis, le plus important pour nous est de promouvoir l’idée que non seulement cela se rapporte à la maladie mais à la santé humaine dans sa globalité: esprit, âme et corps.

Il semble qu’il y a  des années que j’ai commencé à lire le livre de Maître Li. C’est à peine possible que ce soit seulement en Août… Un changement si grand, si rapide. Et encore je réalise que ce temps est seulement un concept.

En parvenant à Dafa, je reconnaissais le fait  crucial que pratiquer des doubles ou de multiples systèmes métaphysiques tout à tour créait un chaos physique et spirituel. Dans mon respect immédiat et total envers maître Li et la discipline,  mes maladies et mes maux ont rapidement disparu. Maintenant je célèbre ma grossesse et une vie  au bien être toujours croissant.

Comment pourrais-je ne pas avoir des larmes dans les yeux quand je parle ou j’écris sur ce sujet ? Comment me serait-il possible de dire avec des mots humains ce que Maître Li et Falun Dafa signifient pour moi ? Je reconnais sincèrement qu’en ce moment, dans cette dimension, je ne comprends qu’un minuscule degré de Dafa, de sa nature profonde et de ses

déploiements infinis. Comment pourrais-je arriver à expliquer ma profonde considération et le respect d’avoir la chance de commencer à comprendre et recevoir Dafa.

C’est au-delà des mots…  nous le savons. Chaque jour je pratique Dafa et toujours plus. Un jour, quand j’aurai vraiment appris, quand ce sera ma destinée prédéterminée, je serai à nouveau à la maison. Pour le moment je suis vraiment privilégiée d’avoir été touchée par Maître Li. A ce moment incroyable j’ai changé, et Maître Li m’a offert tout ce qui est réellement important. Je suis maintenant guidée par une voie de cultivation  vaste, sensible, intellectuelle, méthodiquement structurée, très profonde et divine qui me permet de contribuer vraiment à la paix dans le monde et de retourner d’où je viens – un  pur reflet du cosmos.

A celui qui pourrait avoir des doutes, ne les abandonnerez-vous pas ? A tous les non-pratiquants qui penseraient  que j’essaie de les influencer, ou que j’ai subi un lavage de cerveau ou que je suis assez instable, je dis que ça ne fait rien. Ca ne fait rien si vous ne comprenez pas le niveau de Maître Li, peut-être n’est-ce pas encore votre destinée.

Mais si ça l’est, vous réaliserez que tout ce que je dis provient de la pure gratitude et d’un honnête soulagement et que j’ai dû faire quelque chose de juste, au milieu de toutes les erreurs, pour devenir une véritable pratiquante de Falun Dafa.

Date de l’article original : 12.10.2001