"Clarifiez la vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité, apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La Grande Loi est indestructible).
Refuser tous les arrangements des forces anciennes et quitter l’antre du mal avec des pensées droites
(Vraiesagesse.net)
Etudier la Loi avec cohérence m’a rendu conscient que je devrais sortir pour valider la Loi. Alors j’ai décidé d’aller à Beijing pour la rectification par la Loi. Quand j’ai parlé à ma mère de ma décision, elle m’a demandé : « Es-tu sûr que tu peux le faire ? Tu n’as jamais été loin de la maison pour aller dans un lieu aussi éloigné. D’autre part, Luo Gan a donné l’ordre d’arrêter les pratiquants de Falun Gong et c’est presque le 1er octobre, la fête nationale. Que se passera-t-il s’ils t’arrêtent et t’envoient dans un camp de travail ? Pourras-tu résister à la torture ? » Avec la croyance droite dans la Grande Loi, la phrase transmise par le Maître et ma bienveillance pour les gens trompés par la propagande calomnieuse, j’ai répondu fermement : « Oui. »
Je suis arrivé à la place Tiananmen à 7h. du matin le 1er octobre. Il y avait beaucoup de touristes. Je n’ai pas vu de fourgon de police, pourtant. Les policiers n’étaient d’ailleurs pas faciles à repérer. Ils observaient tous depuis des cachettes. Je suis allé devant la place Tiananmen, l’ancien bâtiment, et je me suis tourné vers les touristes, j’ai crié à pleins poumons les paroles qui étaient dans mon cœur depuis si longtemps : « Falun Dafa est bon. » « Falun Dafa est la voie juste. » « Restaurez la réputation de Falun Dafa. » « Restaurez la réputation de mon Maître. » Deux policiers sont accourus pour me traîner loin de la foule.
(A cause de l’attention des organisations mondiales des Droits de l’Homme, le régime de Jiang Zemin a donné des directives de ne pas afficher la violence dans des lieux publics, afin de tromper le public.) Je ne suis pas allé volontairement avec eux et j’ai continué à crier. J’ai remarqué que des personnes proches prenaient des photos. Les policiers ont eu peur que leur conduite soit montrée, alors ils se sont précipités et ont saisi la caméra. Un policier a marché d’un pas décidé dans ma direction parce que je criais. Trois autres policiers sont immédiatement venus pour me couvrir la bouche et ils m’ont saisi aux bras. Ils m’ont emmené dans un endroit où il n’y avait personne et ils m’ont frappé. Au moment où ils me frappaient, un fourgon de police qu’ils avaient appelé est arrivé et ils m’ont emmené au poste de police proche. J’ai été détenu là un jour. Pendant ce temps-là, plus de dix pratiquants sont arrivés. Une jeune femme avec un enfant âgé de deux ans et demi dans les bras était aussi détenue.
Le fourgon de la police nous a emmené dans la banlieue vers 19h. ; ils ne nous ont pas transportés durant la journée par crainte d’être exposés au public. Nous sommes finalement arrivés dans une cour en banlieue où il y avait beaucoup de policiers. Ils nous ont traînés dehors sauvagement, parce que nous avions crié tout du long « Falun Dafa est bon », ils ont dit qu’ils nous flanqueraient dessus en arrivant. Nous avons été emmené dans une pièce pour prendre nos coordonnées (pour que l’on donne des informations personnelles telles que le nom, l’âge et l’adresse). Ils ont donné à chacun de nous un numéro après avoir pris nos coordonnées. Si quelqu’un refusait de dire à la police les informations personnelles qu’ils désiraient, les policiers le tortureraient sévèrement. Du fond du cœur je refusais toutes les persécutions qu’ils essayaient de m’imposer, alors je n’ai pas suivi leurs ordres et je me suis mis à une place différente que celle qu’ils m’avaient désignée. Je me tenais près de la porte ; je récitais la phrase de la rectification par la Loi et je demandais au Maître de me donner la force de partir. J’ai marché directement vers les policiers et je suis sorti par la porte. Dans la cour, je me suis retrouvé nez à nez avec de nombreux policiers qui m’avaient vu sortir du fourgon. J’ai eu les pensées droites dans ma tête et j’ai récité la phrase de la rectification par la Loi. J’ai pensé : « aucun être vivant ne peut m’arrêter », et grâce à ma croyance ferme dans la Grande Loi et dans le Maître, j’ai marché directement hors du portail et personne ne m’a arrêté.
En banlieue, il n’y a en général pas beaucoup de véhicules qui circulent sur la route. De façon à partir de là le plus vite possible, dans mon cœur j’ai demandé au Maître qu’une voiture passe par là. Tout de suite une voiture est passée tout près et le conducteur a klaxonné en roulant ; j’ai pensé que c’était la police et juste au moment où j’allais courir, le conducteur a sorti sa tête et a demandé : « Vous désirez un taxi ? » En voyant que ce n’était pas une voiture de police, je suis monté dedans. Après avoir roulé un moment, un fourgon de police est passé, c’était le même fourgon qui nous avait amené en banlieue ; je savais qu’ils me cherchaient.
A la gare, un groupe de policiers pointait les cartes d’identité des voyageurs. Les policiers comparaient la carte d’identité avec les informations de l’ordinateur pour voir si le voyageur était un pratiquant de Falun Gong. (La police locale dans tout le pays a créé un ordinateur avec une base de données avec des rapports sur les pratiquants) Si quelqu’un n’avait pas sa carte d’identité avec lui, il devait dire son nom et adresse. Pour empêcher les pratiquants d’aller à Beijing pour faire appel, la police a confisqué illégalement la carte d’identité de nombreux pratiquants. Pour les pratiquants qui ont toujours leur carte d’identité, en général ils ne la prenaient pas en allant à Beijing, parce qu’ils ne voulaient pas que leur identité soit découverte, de façon à atténuer la charge pour les gouvernements locaux, comme les plus hautes autorités ont mis une grande pression sur les gouvernements locaux et la police pour empêcher tout pratiquant d’aller faire appel à Beijing.
Nous sommes maintenant au 21ème siècle. Le régime de Jiang Zemin déclare au monde que c’est « une période en or pour les Droits de l’Homme », mais en Chine, il profite de la bonté des pratiquants pour persécuter la Grande Loi. En apparence, ils n’ont pas la main sévère à la place Tiananmen, mais à la gare, ils utilisent une méthode stricte pour capturer les pratiquants. Ce qu’ils n’arrivent pas à imaginer, c’est que la Grande Loi est supranormale. Chaque pratiquant authentique traversera les barrières avec les pensées droites et sa croyance ferme dans la Grande Loi. De nouveau, j’ai appliqué la phrase de la rectification par la Loi transmise par le Maître et la sagesse créée par la Grande Loi et j’ai passé la dernière barrière.
Voici mon expérience pendant la rectification par la Loi et ce que j’en ai appris. J’espère que mes compagnons de pratique pourront gentiment me signaler s’il y a quoique ce soit qui n’est pas en accord avec la Grande Loi.