"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)
Sauvegarder la Loi sur la Place TianAnMen le 13 mai 2001
Un reportage d’un pratiquant de la Chine continentale
En arrivant au poste de police de TianAnMen, la police a commencé à nous outrager énormément. Les policiers ont craché sur les pratiquants, ils leur ont donné des coups de pieds à la tête et à l’estomac, ils leur ont donné des coups de poing à la figure. Quelques pratiquants avaient les yeux enflés à cause de ces traitements. La police fut inhumaine au point de verser de l’eau bouillante sur les pratiquants du Dafa. Les bras des pratiquants étaient sévèrement brûlés et couverts de boursouflures énormes et quelques pratiquants ont été brûlés au point d’avoir les muscles exposés (voir photos) La police avait totalement perdu sa conscience humaine. Plusieurs pratiquants étaient couverts de coupures et de plaies suites de leurs flagellations.
Les pratiquants du Dafa se sont tenus ensembles et ils étaient déterminés à ne pas coopérer avec la perversité. Ils récitèrent continuellement l’article du Maître: "Les pensées droites des disciples de la Grande Loi sont puissantes "et " En aucune circonstance on ne doit s’accorder aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. Si tout le monde agit ainsi, l’environnement ne sera plus comme ça." Dans l’après-midi, la police sépara forcément les pratiquants et envoya chercher deux fourgons de pratiquants. 5 ou 6 pratiquants furent envoyés au Centre de Détention de Beijing du district de Mentaogou . Nul ne sait où les autres ont été envoyés.
Il y avait une pratiquante qui fut assignée au No 205 du centre de détention. Elle était déterminée à ne pas coopérer (avec la perversité.) Quatre ou cinq officiers de la police l'ont à tour de rôle interroger. Elle refusa de répondre à toutes leurs questions, elle refusa de se faire photographier, de faire prendre ses empreintes et de prendre le numéro assigné. Elle se coucha tout le temps et elle refusa de se lever. La police lui aurait dit: "Vous êtes restée couchée tout le temps. Nous allons vous libérer maintenant, mais surtout ne le dites pas aux autres. Si tout le monde se couchait, que pourrions-nous faire?" Immédiatement, la pratiquante réalisa que Maître était en train de rappeler aux pratiquants de sortir immédiatement des centres de détention... C’est alors qu’elle en a fait part aux autres pratiquants: "Ne coopérez jamais avec leurs requêtes perverses. Vos devez émettre des pensées droites et sortir maintenant..." À ce moment-là, la pratiquante semblait désorientée, avait de la difficulté à marcher et sa bouche tremblait dû aux fortes flagellations. En voyant ceci, la police avait si peur qu’elle l’a jetée hors des portes du centre de détention. Elle s’est évanouie à la sortie. Après avoir repris connaissance, elle tenta de prendre un taxi, mais personne n’osait la prendre. Elle est finalement partie à grande peine elle a fini par trouver des pratiquants et elle a rejoint le torrent du processus de la rectification par la Loi.
Le même jour, à la Place TianAnMen, une pratiquante criait de façon constante : "Le Falun Dafa est bon." Cependant, personne ne la dérangeait. Elle s’est assise alors une demi-heure sur la Place. Elle a entendu des passants dire entre eux: "En fait, le Falun Gong n’a aucun agenda politique. Ils ne veulent que faire comprendre que le Falun Dafa est bon ! Pourquoi, ne les laisse-t-on pas crier ces mots? Il vaudrait mieux ne pas les arrêter, plus ils en arrêteront, plus il en viendra d'autres."
Le 5 mai, une pratiquante est allée à la Place TianAnMen pour prouver la Loi. Elle fut battue par la police et ensuite libérée. Le 13 mai, elle est allée de nouveau sur la Place TianAnMen pour sauvegarder le Dafa. Après avoir été arrêtée, elle avait la pensée droite à l’esprit qu’elle devait sortir tout de suite. Elle perdit aussitôt connaissance. La police dut encore la laisser partir.
(Reportage fait par un pratiquant de la Chine continentale selon des rapports verbaux des témoins oculaires)
Traduit de