(Vraiesagesse.net)
· Notre existence humaine dans ce monde est plus ou moins comme un tout petit monde parmi les « trois mille grands mondes » existant au sein d’une seule cellule à l’intérieur de notre corps. En nous examinant sous cette perspective, n’est-il pas drôle pour une personne d’être attachée à quelque chose dans une toute petite cellule au sein de son propre corps?
· Dans une autre dimension, tous les pratiquants de la grande Loi existent comme une unité intégrée, comme un corps. En sachant cela, devrions-nous permettre aux conflits, arguments et attachements qui ont surgi parmi nous d’exister? Comment est-ce qu’un être humain peut-il devenir jaloux, rivaliser et se quereller avec les autres parties de lui-même?
· Le mot « je » est solidement perçu comme l’ego d’une personne. « Je » est en lui-même matérialiste et il est un parapluie pour protéger l’égoïsme et les pensées capricieuses. « Je » peux créer un gouffre entre les pratiquants de la grande Loi, qui est facilement utilisé par les anciennes forces comme un instrument afin de les empêcher de former un corps. Les pratiquants devraient utiliser des pensées droites solides pour se débarrasser de ce « je », symbole matériel ainsi que source des attachements, de leur propre espace. Quand cela est fait, les pratiquants peuvent mieux s’unir et sont en harmonie avec la Loi, purifiant ainsi les pensées droites.