(Minghui.org)
Note de l’éditeur ; le régime de Jiang utilise tous les moyens à sa disposition pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Néanmoins, la compassion des pratiquants de Dafa a même touché le cœur du personnel chargé de l’application de la loi en Chine. Afin de protéger les policiers mentionnés ci-dessous, leur nom a été ôté.
Une scène dans un trainUn jour dans un train, deux jeunes filles ont dénoncé les actions de clarification de la vérité des pratiquants de Dafa pendant leur conversation. Une dame assise en face d’elle leur dit avec un sourire : « comprenez-vous les pratiquants de Falun Gong ? Avez-vous été vous-mêmes en contact avec eux? » Les deux jeunes filles étaient interloquées. La dame continua : « Par mon activité, j’ai eu la chance de vraiment apprendre la qualité morale des pratiquants de Falun Gong. Je suis profondément touchée par leur caractère personnel. Ils vivent vraiment par leur croyance aux principes de Vérité, Bienveillance, Tolérance. Ils endurent des épreuves, ne recherchent pas le confort matériel dans la vie et ils supportent le poids de leurs responsabilités. Ce qui est précieux, c’est leur esprit de ne pas se plaindre et ne pas avoir de regret. Ceci touche les gens jusqu’aux larmes ». Elle annonça alors aux deux filles qu’elle était une policière.
Dialogue entre deux officiers de police.
Un policier en poste dans une prison et un policier de sécurité publique se rencontraient l’un l’autre à l’invitation d’un ami commun. L’officier de police de la sécurité publique demanda alors au policier de la prison « Avez-vous beaucoup de pratiquants de Falun Gong en détention? Le nombre que j’ai envoyé en prison n’est pas petit! » Le policier de la prison cligna des yeux et se pencha pour chuchoter à l’oreille de l’officier de la sécurité publique « Frère, c’est vraiment un groupe de bonnes personnes. Je les admire. Aujourd’hui, nous avons mangé ensemble et nous sommes des amis. Ecoute moi : tu dois considérer les pratiquants de Falun Gong avec bonté. Quand tu as des ordres des supérieurs, tu n’as qu’à travailler autour d’eux ». L’officier de police de la sécurité publique rapidement répondit « je ressens cela du plus profond de mon cœur depuis longtemps déjà; mais je n’osais pas agir. Ne t’inquiètes pas, à partir de maintenant, je sais quoi faire ».
Date de l’article original : 19.12.2002