Pour innocenter la réputation de Dafa, Hu Youliang est allé au gouvernement de la province et à Tiananmen pour faire appel pour Dafa, il a aussi rejoint ouvertement un groupe de pratique.
Il a été arrêté et torturé plusieurs fois, mais sa détermination à pratiquer et à sauvegarder Dafa n’a jamais été ébranlée (Minghui.net a rapporté son histoire précédemment). En novembre 2000, il a été contraint à quitter son domicile pour éviter d’être illégalement arrêté. La police du comté de Xishui a essayé de le trouver partout, rendant son retour chez lui impossible. Pendant qu’il était loin de chez lui, il a aidé à produire des documents clarifiant la vérité et les a amenés dans de nombreux endroits où les gens étaient avides d’apprendre la vérité sur le Falun Dafa. En décembre 2001, il a été illégalement arrêté dans la ville de Shaoyang dans la province de Hunan, il a été cruellement torturé en prison. Pour résister à la persécution, il a fait une grève de la faim pendant plus de 20 jours. Le 18 janvier 2002, les policiers ont vu qu’il était dans un état proche de la mort, ils ont eu peur d’en prendre la responsabilité légale, alors ils l’ont renvoyé à la maison dans le comté de Xishui. Malgré son état proche de la mort, la police locale là-bas l’a encore gardé dans le centre de détention et a continué à le torturer jusqu’à ce qu’il meure le 23 janvier.
A 9h. du matin le 23 janvier 2002, les policiers ont vu que Hu Youliang était en train de mourir, alors ils l’ont finalement envoyé dans un hôpital. Peu après, Hu est mort. Après que Hu ait arrêté de respirer, la température de son corps est restée constante et même ses pieds et ses mains sont restés chauds pendant un long moment. Pourtant, la police a refusé la demande de ses parents de l’emmener à la maison. A 16h.30 le même jour, la police a repoussé tous les pratiquants de Falun Gong venus rendre visite à Hu et ils ont incinéré son corps.
Ses parents ont décrit l’aspect physique de Hu comme étant atroce : il avait l’air d’un sac d’os, le visage et les mains enflés. Le fait que la police ait incinéré son corps si rapidement et n’ait pas autorisé la famille à le prendre à la maison suggère que ce sont les mêmes personnes qui ont torturé Hu à mort. Les forces malveillantes ont brûlé son corps sous la garde de la police militaire pour empêcher les informations entourant sa mort de filtrer. C’est seulement après coup qu’ils ont informé sa famille.
Ces assassins du « bureau 610 » (un service créé spécifiquement pour persécuter le Falun Gong, avec le pouvoir absolu à tous les niveaux de l’administration dans le Parti et dans tous les systèmes politiques et judiciaires) et des postes de police tuent cruellement de bonnes personnes et considèrent les vies humaines comme ne valant rien. Ces assassins savent-ils, lorsque le ciel et la terre redeviendront lumineux, comment ils vont payer leurs dettes sanglantes ?