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Passer un test ciblant tous les attachements (1re partie)

3 octobre 2003

(Minghui.org)

Site Clartés et Sagesse]

 Zheng Yijian (pseudonyme) a été arrêté et envoyé dans un camp de travail parce qu'il persistait à cultiver la grande Loi. Durant les quelques dernières années, il a cultivé avec assiduité. Il a fermement résisté à la persécution et n'a jamais arrêté de faire les exercices et ni d'étudier la Loi. En même temps, il traitait avec compassion les gardiens du camp et les pratiquants qui faisaient des erreurs. Voici quelques récits concernant sa validation de la Loi.

 En mars 2000, le pratiquant Zhen Yijian a été arrêté et envoyé dans un camp de travail. Au département de police de la ville, Zheng a commencé une grève de la faim pour résister à la persécution. De plus, il a refusé de manger après son arrivée au camp. Les pratiquants de la 2e division du camp ont immédiatement coopéré et ont entamé une grève de la faim ensemble. Les gardiens étaient scandalisés et ont séparé les pratiquants dans la 1re , 2e et 3e division afin de faciliter la persécution. Zheng a été envoyé dans la 1re division. Il était très faible à ce moment-là, mais il a clarifié la vérité aux autres. Quand les gardiens ont essayé de le nourrir de force il a résisté avec fermeté. Alors ils l'ont ligoté à une chaise et lui ont infligé cet atroce supplice. En raison de sa faiblesse, il pouvait parler seulement à voix basse ; mais à chaque fois qu'il ouvrait la bouche, il clarifiait toujours la vérité, dénonçait la perversité et enseignait aux autres d'être bons. Plus tard, il a été détenu en régime cellulaire et les geôliers l'ont nourri de force à des heures fixées. Ils ont envoyé des criminels pour le surveiller et lui ont interdit de communiquer avec les autres pratiquants. Dans de telles circonstances, à la fin de mars, Zheng a commencé à faire les exercices du Falun Dafa dans le camp de travail. Il faisait le cinquième exercice à 4:00 chaque jour et il ne souciait pas des menaces et contraintes provenant des gardiens qui patrouillaient. Les criminels avaient peur des pratiquants qui faisaient les exercices. Ils étaient très choqués de voir qu'un groupe de pratiquants avaient commencé à faire les exercices malgré la pression. Ils ont alors contraint les pratiquants à subir un lavage de cerveau. Ils ont installé les pratiquants qui ont fait les exercices dans une petite salle et ont ordonné aux codétenus de lire des articles diffamatoires envers la grande Loi. Ils ourdissaient en même temps un plus grand complot. On pouvait entendre les gardiens et les codétenus dans toutes les cellules dire tout en grinçant leurs dents avec colère : « Battez les, commencez à les battre. » Le 24 avril 2003, la tentative d'organiser des exercices en groupe a échoué. Depuis, les pratiquants qui ont fait les exercices ont été privés de sommeil et ont dû travailler comme des esclaves. Chaque jour, les gardes obligeaient les pratiquants à fouiller des fossés dans la journée, de fabriquer des fleurs en papier et de coudre des boules en tissu le soir jusqu'à 4:00 le lendemain. Les pratiquants n'avaient droit qu'à deux heures de sommeil, puis ils devaient se lever et commencer à fouiller. Cet horrible supplice n'avait aucun effet sur Zheng. Après être resté trempé dans le fossé boueux pendant une journée et être resté assis devant son bureau de travail toute la nuit, il s'est assis immédiatement en position du lotus et a fait les exercices. Ce tourment a duré 30 jours. Durant cette période, Zheng a persisté à faire ses exercices chaque jour sans exception. Cependant certains pratiquants ne pouvaient plus persister après ces 30 jours, alors les gardes ont ciblé leur persécution vers Zheng. Une fois, le bruit des matraques électriques s'est fait entendre toute la nuit. Le gardien en poste s'appelait Du, un sadique qui aimait torturer les gens. Il a été plus tard transféré au Groupe cinq. Quand il ne pouvait pas trouver aucune faute chez les codétenus, il électrocutait les insectes avec sa matraque électrique pour s'amuser. Il aimait surtout crier avec hystérie quand il électrocutait les gens. Il a entraîné Zheng dans les toilettes et a commencé à le frapper avec une matraque électrique. Il a mis la matraque électrique sur la plus haute tension pour l'utiliser. Le courant électrique était si puissant que Zheng est tombé au sol quand la matraque l'a touché. Il s'est levé doucement et s'est mis debout fièrement. L'électrocution l'a jeté à nouveau au sol puis il s'est relevé ... Ce supplice a duré toute la nuit. À l'aube, le pratiquant Zheng était toujours debout et de bonne humeur. Pendant toute la nuit, à l'exception du bruit de la matraque électrique et les cris du gardien, personne n'a entendu quoi que ce soit de la part de Zheng. De plus le tortionnaire Du a été particulièrement choqué par le sourire sur le visage de Zheng. Zheng souriait toujours pendant les épreuves durant les jours suivants et les bourreaux étaient choqués et effrayés. Le lendemain le corps de Zheng était couvert de bleus mais son sourire était toujours sur son visage. Le soir, les bourreaux étaient très déçus de voir qu'il continuait toujours à pratiquer ses exercices à l'heure, et il les avait plus longtemps que d'habitude. Les gardiens ont ordonné aux codétenus de le battre à tour de rôle, mais Zheng n'a rien dit et a continué à faire ses exercices. Environ une semaine après, le gardien Du était en poste à nouveau. Un autre tortionnaire, Hu, qui était l'adjoint au chef d'une division, était un alcoolique et il aimait battre les codétenus jusqu'à ce qu'ils soient à demi-morts pour s'amuser quand il était ivre. En faisant l'appel le soir, les gardiens ont déclaré que quiconque ferait les exercices dans la soirée, serait sévèrement puni. Tous les codétenus tremblaient de frayeur et tout le camp à été envahi par une atmosphère de terreur. À 4h:00 du matin, Zheng a commencé à faire le cinquième exercice. Le geôlier Du, qui s'était préparé depuis longtemps, a crié et s'est élancé vers Zheng, en utilisant toute sa force pour fouetter Zheng avec une matraque. Les cris hystériques du gardien ont rempli tout le corridor pendant qu'il utilisait un bâton en caoutchouc, une matraque électrique, ses poings et ses pieds. Zheng était imperturbable et persistait comme d'habitude. Vers l'aube, Du était fatigué. Ils s'était assis au sol et haletait beaucoup. En faisant l'appel le matin, le chef de la division a crié et a tiré Zheng de sa position. Il a pris une matraque et l'a battu de toutes ses forces. Il a frappé en particulier sa tête, son estomac et d'autres régions sensibles. Zheng n'a émis aucun son. Le gardien est devenu fatigué et l'a ordonné d'aller en bas pour commencer à travailler. À ce moment-là, tout son corps était couvert de sang, et sa tête avait de graves contusions et saignait abondamment. Les gardiens lui ont interdit de suivre des traitements médicaux et l'ont obligé à travailler comme d'habitude. Comme si rien ne s'était passé, Zheng a mis un morceau de papier sur la blessure à la tête. Les geôliers n'ont pas abandonné après avoir essuyé un échec. Plusieurs jeunes gardes voulaient continuer à persécuter Zheng. Peu importe le fanatisme de la persécution, Zheng n'a jamais cessé de faire ses exercices. Tard dans la nuit, quand Zheng faisait le cinquième exercice, deux gardes ont pris une matraque électrique et l'ont soudain battu. Il est resté calme et a silencieusement récité les articles de la grande Loi. Soudain, la matraque électrique s'est brisée en morceaux et est tombée sur le sol. Les tortionnaires étaient choqués mais ils n'abandonnaient pas. Ils ont trouvé une autre matraque électrique et ont essayé encore d'attaquer Zheng. Ce dernier était très calme, lisait les articles et émettait des pensées droites. La deuxième matraque électrique s'est brisée et est tombée au sol. Les deux agresseurs étaient ahuris. Zheng a ramassé les morceaux brisés du sol et les a remis aux agresseurs. Ses yeux étaient remplis de pitié et de compassion. Et c'est comme cela que le récit magique de Zheng Yijian brisant des matraques électriques avec ses pensées droites s'est répandu dans le camp. Cela a encouragé d'autres pratiquants et a éveillé les criminels ordinaires. Dorénavant, personne n'a osé déranger Zheng quand il faisait ses exercices à 4h:00 du matin. Quand les gardiens faisant la patrouille l'ont vu, ils se sont éloignés de lui rapidement et ont fait semblant de ne rien voir. Personne ne voulait battre violemment Zheng afin de faire plaisir aux autorités du camp, au contraire les criminels détenus le traitaient avec respect. Plus tard, le chef d'une division nommé Wei a été transféré là. Il était très grand et il criait extrêmement fort. Il tenait toujours des matraques électriques et des matraques en bois. Une fois, il a essayé d'assujettir Zheng. Il l'a ligoté au lit et l'a frappé avec une large et épaisse planche en bois. Il l'a libéré quand il s'est lassé de le frapper. Immédiatement après lui avoir enlevé les menottes, Zheng a commencé à faire les exercices. Après plusieurs séries de torture, le fier chef de division a supplié : « Frère, ne me fais pas perdre totalement la face. Ne fais pas les exercices quand je suis ici, fais les quand je partirai, d'accord? » Durant les huit mois entre avril et décembre 2000, les gardiens se sont mis à persécuter frénétiquement les pratiquants en les forçant à écrire une « déclaration du repentir ». Les pratiquants ont été privés de sommeil, ont fait de gros travaux, ont été sauvagement battus par de nombreux codétenus, torturés, ont subi du lavage de cerveau par les gardiens et les collaborateurs. Les gardiens ont utilisé les membres des familles des pratiquants afin de tenter de les « convertir ». Cependant, durant la période où la persécution avait atteint son paroxysme, les gardiens ne s'approchaient pas de Zheng. Il a été mis dans une grande salle et n'a plus eu besoin de faire de travaux manuels durant le temps glacial à l'extérieur. Ils n'osaient plus faire des interférences quand il faisait ses exercices. Ils étaient très cruels envers les nouveaux pratiquants qui venaient d'arriver, mais ils suppliaient Zheng : « Je ne penserai même pas à te demander d'écrire une déclaration du repentir. Je te supplie de ne pas faire les exercices devant tout le monde! » À cette période, plus d'un codétenu a commencé à apprendre les exercices du Falun Dafa de Zheng, et certains ont copié et récité les articles avec lui. En raison des actes courageux de Zheng, un grand groupe de pratiquants a entamé une grève de la faim et a fait les exercices. Alors, les gardiens de la 1re division ont commencé la persécution sur une grande échelle, et elle est devenue plus violente. Face à cette situation, certains pratiquants ne comprenaient pas et disaient : « Nous avons intensifié la persécution. » Concernant cet item, le pratiquant Zheng a compris ceci : « La perversité dans d'autres dimensions est ici. Elle sera diabolique, peu importe. Elle sera diabolique même si vous vous cachez d'elle. Alors, nous ne pouvons absolument pas coopérer avec elle ou la tolérer. Nous devons l'éliminer avec détermination et valider la grande Loi avec beaucoup d'assiduité. » Cette persécution d'envergure nationale qui oblige les pratiquants à écrire des « déclarations du repentir » a débuté en juillet 2000. Les pratiquants qui n'osaient pas désobéir aux gardiens sont devenus les premières victimes de la persécution. Quand ils étaient brutalement torturés avec des matraques électriques pendant longtemps, certains pratiquants ont été forcés d'écrire des « déclarations du repentir ». Certains pratiquants se sont aperçus de leurs erreurs et sont devenus des pratiquants assidus. Durant les neuf mois, des pratiquants assidus étaient violemment battus ou torturés avec des matraques électriques, mais ils étaient inébranlables. Finalement, ils ont fait échoué toutes les tentatives des gardes et étaient capables de faire les exercices quand ils voulaient, et les gardes s'éloignaient d'eux.

Le Maître nous a dit : « …des disciples de Dafa ont été arrêtés, ils ont gardé le cœur franc et inébranlable, sans aucune peur, dans ce cas, les anciennes forces n'osent pas les persécuter. Parce qu'elles savent que pour une telle personne, si on ne la frappe pas jusqu'à la mort, aucune persécution ne sera efficace à son égard, alors elles n'osent plus la toucher. Combien d'élèves peuvent y parvenir ? Leur détermination envers la Loi fait que la perversité tremble de peur. ( « Enseignement de la Loi lors de la tournée en Amérique du Nord »)

Le pratiquant Zheng Yijian a révélé non seulement l'image pénible d'une personne endurant la torture, mais aussi un magnifique disciple durant la période de la rectification par la Loi ! « La pensée droite indestructible envers la vérité de l'Univers forme le corps de diamant solide comme le roc des bienveillants disciples de Dafa, qui effraie toute perversité, la lumière de la vérité qu'elle émane fait se désagréger les facteurs conduisant à une pensée déviée chez toutes les vies. Autant la puissance de la pensée droite, autant de force majestueuse. » (« Également en deux mots).

Traduit au Canada le 1er octobre 2003.