(Minghui.org) Le
régime chinois a systématiquement utilisé la violence contre les femmes,
pour persécuter les dissidentes, les religieuses ou tout autre personne
non-conformiste, souvent dans le seul but de maintenir la terreur.
Cette pratique du gouvernement chinois est depuis longtemps remarquée
et condamnée par les organisations internationales pour les droits
de l’homme.
Dans la persécution du Falun Gong, la violence du gouvernement
chinois contre les femmes a atteint le paroxysme de la cruauté.
La brutalité de la police envers les femmes est tellement endémique
que peu parmi les centaines de milliers de pratiquantes de Falun
Gong détenues, ont étaient épargnées de l’une de ces violations, à savoir
l’humiliation d’être complètement dévêtues (parfois pour une longue
période), le refus de leur donner des serviettes hygiéniques, l’humiliation
sexuelle, les coups et les coups de pieds sur les seins et sur
les parties génitales. Dans les cas extrêmes les pratiquantes sont
violées par un ou plusieurs policiers, électrocutées par des bâtons électriques
insérés dans le vagin, ou déshabillées et jetées dans des cellules
de criminels males. Une femme qui a survécu à ces tortures grotesques
dit, Il est difficile d’imaginer la nature sinistre des policiers. En octobre 1999, plusieurs pratiquantes étaient emprisonnées dans le Centre de Détention de la Ville. Une des pratiquantes fut mise toute nue et jetée dans une cellule de criminel male où elle fut victime de viols collectifs. Actuellement elle est surveillée par sa famille. Ils ont peur de représailles encore plus féroces si ce qui s’est passé vient à s’ébruiter. L’avortement forcé des pratiquantes de Falun Gong fait parti aussi des tortures approuvées par le gouvernement. Comme la Loi chinoise interdit l’incarcération d’une femme enceinte l’avortement par injection de produit est monnaie courante. Parfois les bébés naissent vivants, mais on en entend plus parler. En Chine un permis pour donner naissance est nécessaire pour avoir un enfant. Dans certain cas le gouvernement peut refuser le permis et forcer une mère à avorter. Le mari d’une pratiquante de Falun Gong et sa famille peuvent
subir une pression du gouvernement pour désavouer leur femme ou
leur mère. Cela est tout à fait commun |