(Minghui.org)
Une pratiquante de Falun Gong dans une certaine ville a intenté un procès contre deux policiers locaux. Un procès a eu lieu à 9h:30 le matin du 6 octobre 2003, devant la Cour du district.
Les raisons pour lesquelles la plaignante a intenté un procès sont : la police a fouillé sa résidence sans mandat et la condamnation au camp de travail forcée qu'elle avait reçue, était contre la Constitution. Elle a dit: « Il n’y a pas de loi dans ce pays qui dise que le Falun Gong est un (mot diffamatoire omis) et c’est un droit de citoyen que d’avoir sa propre croyance. » Elle a demandé que la condamnation au camp de travail soit renversée.
Pendant le débat devant la Cour, cette pratiquante a fait des déclarations raisonnables et convaincantes à propos des crimes des deux policiers. Personne ne l’a interrompue. A la fin de la session de la Cour, il n’y avait toujours pas de résultat. Le juge a levé la séance.
Ce cas indique clairement que la force de la rectification de la Loi est graduellement entrée dans le monde humain. Avec la clarification de la vérité par les pratiquants, de plus en plus de gens en sont venus à comprendre la vérité sur le Falun Gong. Il y a quatre ans, qui osait dire un mot juste pour le Falun Gong en Chine ? Les criminels peuvent engager des avocats pour les défendre, mais les pratiquants de Falun Gong n’ont pas la permission d’engager des avocats. Pourtant aujourd’hui les pratiquants peuvent intenter un procès contre les policiers sans foi ni loi et témoigner devant la Cour.