(Minghui.org)
1. « Elle n’a pas enfreint la loi, pourquoi la harcelez-vous? »
Un policier du Bureau 6.10 (responsable de la persécution du Falun Gong) est venu dans un lieu de travail où travaillait une pratiquante et voulait l’emmener pour lui faire suivre des cours de lavage de cerveau. Le chef de l’unité de travail et ses collègues ont tous dit au policier que la pratiquante du Falun Dafa était une très bonne personne et qu’ils n’allaient pas laisser la police l’arrêter. Le policier n’avait rien à dire et s’est éclipsé. Quelques jours plus tard, il est revenu et était habillé en civil. Il pensait que personne n’allait le reconnaître, mais dès qu’il fit son entrée à la porte, les gens travaillant à l’hôpital le reconnurent. Il leur dit qu’il était venu à l’hôpital en raison de sa maladie. La pratiquante entendit le tapage et vint voir ce qui se passait. Un des docteurs a dit au policier : « Elle va examiner votre maladie. » Le policier était trop proche pour continuer à feindre sa maladie et il partit rapidement.
2. Ma belle-mère a demandé aux policiers : «Qu’est-ce que ma belle-fille a fait pour que vous l’emmeniez? »
Le 1er novembre 2002, un groupe de policiers sont venus chez moi et m’ont dit que je devais les accompagner au poste de police. Je leur ai répondu que s’ils avaient des choses à me dire, alors ils pouvaient me le dire ici et que j’avais besoin de m’occuper de ma belle-mère âgée. Ils ont refusé. Ma belle-mère était si furieuse qu’elle a eu une crise cardiaque et est tombée au sol. Au même moment, mon mari revenait à la maison et a vu cette scène. Il a crié fort : « Ma femme n’a violé aucune loi. Est-ce que le fait de rester à la maison pour cuisiner et s’occuper des personnes âgées est un crime? » Les policiers n’osèrent rien dire. Craignant de prendre quelques responsabilités, ils sont partis tranquillement.