(Minghui.org)
Craignant le procès pour génocide, Jiang Zemin a envoyé des diplomates aux États-Unis. Il a donné l’ordre de former un « Réseau spécial de Recherche de Criminels» et il fait emprisonner des supposés plaignants dans les prisons chinoises.
La police chinoise a kidnappé Zhao Meiyu, dans sa maison, elle lui a confisqué sa lettre au Tribunal des USA intentant une poursuite judiciaire contre Jiang Zemin, et l’a emprisonnée dans un camp de travail.
En réponse à la poursuite intentée contre Jiang Zemin, l'ancien chef de la Chine, accusé de génocide contre les pratiquants de Falun Gong, le Bureau chinois de Sécurité a établi un « Réseau spécial de Recherche de Criminels» dans tout le pays pour étudier et éliminer toutes les activités impliquant le développement du procès contre Jiang Zemin. À travers la Chine, le « Réseau spécial de Recherche de Criminels » traite tous les plaignants probables et ceux qui cherchent la justice dans cette procédure judiciaire, comme des criminels. Ce réseau espionne, surveille, contrôle et arrête tous plaignants probables impliqués dans la poursuite contre Jiang En fait, récemment la prétendue organisation a déjà arrêté des personnes soupçonnées d'être des plaignants ou d'avoir aidé à la collection de preuves sur la persécution contre les pratiquants de Falun Gong. A la mi-Mai, la sœur cadette de Zhao Langxiang, , une résidante américaine, Zhao Meiyu, fut soudainement kidnappée de sa maison, puisqu’elle fait partie des plaignants dans cette poursuite. Mme Zhao Langxiang est une résidente chinoise du Maryland. Cette année, elle téléphona à sa sœur cadette pour lu annoncer que la Cour du District de l’Illinois procède dans la poursuite intentée contre Jiang Zemin. Étant une victime survivante de la torture après avoir été détenue pendant 1 an et demi, au camp de travaux forcés établi par le « Bureau 6-10 » Mme Zhao Meiyu décida de se présenter comme plaignante dans la poursuite contre Jiang.
Un jour, à la mi-mai, la police de la ville natale de Zhao Meiyu de Huizhou, province de Guangdong, voyagea plus de 100 milles jusqu’à la ville de Shenzhen pour saccager sa maison. Ils confisquèrent son ébauche des accusations qu’elle portait contre Jiang et l'emmenèrent au commissariat de police de Huizhou. Tout en saccageant sa maison, les policiers locaux de Huizhou, une ville mi-populeuse près de Shenzhen, ont montré un mandat de recherche publiée par les sièges sociaux des douanes chinoises. Au début, Mme Zhao Langxiang ne pouvait pas comprendre pourquoi une unité à niveau élevé de juridiction telle que le siège social chinois des douanes prenait la peine d’émettre un mandat au commissariat de police dans une ville comme Huizhou, jusqu'à ce qu'elle ait pris le temps de se rappeler ses récentes conversations avec sa sœur sur le sujet délicat de la poursuite judiciaire contre Jiang. Ceci devait avoir déclenché l’alarme et alerté l’administration de hauts niveaux du Bureau de Sécurité chinois.
Mme Zhao Langxiang nous dit: « Zhao Meiyu est ma sœur cadette. Elle pratique le Falun Gong depuis 1998. Elle a maintenant 25 ans. Elle demeurait avec un de mes frères dans la ville de Shenzhen avant que la police ne l’emmène. Un jour à la mi-mai… Je ne sais pas quel jour parce que ma famille a peur de parler de ce cas au téléphone… un groupe de policiers chinois ont forcé l’entrée chez mon frère, ont pris tous les objets de valeur et une ébauche des accusations contre Jiang et ils l'ont alors emmenée »
Elle n'est pas revenue depuis.« Selon Mme Zhao Langxiang, sa sœur, Zhao Meiyu, a visité le Bureau national d’Appels de Beijing pour expliquer les faits du Falun Gong en 1999 et une autre fois en janvier de l’an 2000, mais aux deux occasions le Bureau national d'Appel aurait appelé la police de Huizhou pour l’incarcérer immédiatement en prison. En 1999 Meiyu fut enfermée à clef pendant 15 jours avant que sa famille ne paye 10.000 Yuan pour sa libération. En 2000 Meiyu fut condamnée à une peine d’un an et demi aux travaux forcés du camp de travaux forcés pour femmes de Sanshui de la province de Guangdong. Mme Zhao Langxiang ajoute: « Ma sœur a été obligée d’effectuer le travail obligatoire dans la prison pendant de longues heures jusqu'en mai 2002, simplement parce qu'elle avait choisi de pratiquer le Falun Gong. Elle a perdu son travail et sa maison ».
Mme Zhao Langxiang se rappelait les jours où sa sœur était au camp de travaux forcés: « Quand Meiyu était à Sanshui, elle a subi toutes sortes de torture. Pour l'inciter à renoncer au Falun Gong, le Bureau '6-10 ' l’a incarcéré dans une cellule solitaire étroite, sans lumière comme celle qu’on voit dans le film ‘Ligne Verte’ sauf dans des conditions horriblement non sanitaires. Lorsqu’elle n’était pas enfermée dans cette cellule elle devait faire de durs travaux 12 heures par jour. » C’est pourquoi alors que, Mme Zhao Langxiang fut grandement encouragée lorsqu’elle a reçu la nouvelle que les pratiquants du Falun Gong avaient intenté une poursuite contre Jiang à Chicago. Langxiang téléphona immédiatement à sa sœur nouvellement libérée pour lui annoncer la bonne nouvelle. Les deux sœurs ont discuté au téléphone de la possibilité de raconter l’histoire de Meiyu pour traduire Jiang en justice. Mme Zhao Langxiang se rappelle qu’il y avait possibilité que l’appel téléphonique ait été mis sous écoute et passé au peigne fin par l'Intelligentsia Chinoise : « En janvier j'ai commencé à soupçonné que mes appels téléphoniques à ma sœur pouvaient être surveillés »
Les développements suivants confirmèrent son soupçon. Après le 20 mai, Mme Zhao Langxiang ne pouvait plus rejoindre sa sœur. Elle devint de plus en plus inquiète. Enfin, à contre-cœur, la famille de Langxiang en Chine lui admit que la police avait arrêté Meiyu, il y avait plusieurs jours. La police avait soudainement pénétré par effraction dans la maison de son frère à Shenzhen et avait fouillé partout pour le brouillon du procès contre Jiang que Meiyu avait projeté envoyer aux États-Unis. La police en profita pour emporter toutes choses de valeur et la famille fut terrifiée. « Ma famille craint de faire appel au commissariat de police, encore plus de demander le retour de Meiyu. Naturellement la famille craint maintenant de discuter du cas de Meiyu au téléphone avec Langxiang, inquiétée des représailles de la police. Mme Zhao Langxiang explique: « Ma famille est envahie par la crainte. Ma famille est nerveuse et s’inquiète de parler de ma sœur, par crainte… La police déclare que ce cas est « un cas majeur très significatif »
Le régime chinois essaie à tout prix allègue-t-on d'empêcher la continuation du procès contre Jiang. Ils sont sous l’ordre d’arrêter quiconque serait plaignant probable dans la cause, aussi bien que tous ceux qui auraient aidé à rassembler les preuves pour ces démarches contre Jiang. Selon un fonctionnaire de gouvernement fédéral de Washington DC, le gouvernement chinois aurait contacté le gouvernement des US. beaucoup plus fréquemment qu’avant par l’entremise de tuyaux diplomatiques, militaires et économiques demandant au Tribunal USA. de faire cesser les procédures en alléguant la clause d'« immunité de chef d’État » Tous les signes démontrent que Jiang Zemin n'épargne aucune dépense ou ressource nationale en tentant d'arrêter le procès contre lui.
Le 14 avril 2003, le mandataire des plaignants, Terri Marsh, fit parvenir des documents citant les preuves des crimes par les défendeurs Jiang et « le Bureau 6-10 », et autre évidence exigée sous les procédures légales. Le département de justice des États-unis, représentant le gouvernement des États-unis, a reçu cette pression diplomatique de Jiang, avant la date-limite, soit le 8 du mois de mai, tel qu’exigé par le juge au Tribunal, documents qui soutiennent le point de vue du gouvernement à la Cour. Environ quatre à six semaines après le 8 mai, le juge décidera à savoir si le cas fait preuve pour que cette cause soit entendue ou renvoyée. Sa décision sera basée sur les documents fournis par l’avocat mandataire des plaignants et les fonctionnaires du gouvernement des États-unis.
Terri Marsh, un mandataire des droits de l'homme de Washington DC, dit: « Dans la communauté internationale d’aujourd’hui, les crimes commis dans une région ou un pays contre l’humanité devront faire face à l’opposition des gens du monde. Après la 2e Guerre Mondiale les criminels de guerre qui ont passé au tribunal à Nuremberg et bien des Nazis qui ont participé à la persécution des Juifs ont été poursuivis et ont été traduits en justice depuis ce temps. Après le génocide de Rwanda, les Nations-Unies établirent un Tribunal pour les poursuite judiciaire contre les personnes responsables de telles atrocités. Le bon ami de Jiang, Slobodan Milosevic, l’ancien chef de Yougoslavie se trouve jugé présentement devant ce même tribunal. En Chine, la persécution des pratiquants de Falun Gong qui refusent d’abandonner le principe de vie de Vérité-Compassion-Tolérance a lieu, et il est de la responsabilité du monde entier de traduire Jiang en justice.»
Terri Marsh nous a également rappelé les principes fondamentaux des États-Unis comme établis dans la Déclaration de l'Indépendance: « Nous tenons pour évidentes par elles-mêmes les vérités suivantes: tous les hommes sont créés égaux; ils sont doués par leur Créateur de certains droits inaliénables; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur.. » Elle a souligné que la mission entière, globale des États unis avait toujours été de sauvegarder l'esprit de cette Déclaration de l'Indépendance. Elle continua en démontrant que maintenant les États-Unis ont la chance de confirmer ses principes fondamentaux lors du procès contre Jiang Zemin au Tribunal de Chicago.
. * Le bureau 610 est une agence spécifiquement créée pour persécuter le Falun Gong, avec la puissance absolue au-dessus de tout niveau d'administration du Parti et de tous autres systèmes politiques et judiciaires.
TRADUIT AU CANADA: 5/30/2003