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Quelques exemples à propos des policiers qui ont connu la vérité au sujet du Falun Gong, en Chine

21 janvier 2004

(Minghui.org)

Les événements ci-dessous sont survenus parmi les agents gouvernementaux chinois et les policiers du « Bureau 6-10 » [Un service créé spécifiquement pour persécuter le Falun Gong; il dispose d'un pouvoir absolu sur chaque niveau de l’administration du Parti et tous les autres systèmes politiques et judiciaires] durant la persécution du Falun Gong par Jiang Zemin. Ici, nous n’avons pas mentionné leur nom à cause de leur sécurité personnelle.

« Je ne vous permettrai pas de maltraiter les pratiquants de Falun Gong »

Un homme et sa femme sont tous des agents gouvernementaux. L’homme était responsable de persécuter les pratiquants de Falun Gong dans une certaine ville. Un(e) pratiquant(e) qui a été incarcéré(e) a commencé à lui clarifier la vérité au sujet du Falun Gong. Leur conversation comprenait des sujets des temps anciens jusqu’au présent, de science et de la loi, des bienfaits du Falun Dafa jusqu’à la persécution. Ils ont discuté pendant plus de deux heures. Sa femme était aussi présente. Elle était émue après avoir entendu la vérité et a dit : « Le Falun Gong n’est donc pas mauvais. Ils sont tous de bonnes personnes. » Elle s’est ensuite tournée vers son mari et lui a dit : « À partir de maintenant, je ne te laisserai plus maltraiter les pratiquants de Falun Gong. » Le mari a accepté. Plus tard, il a fait comme sa femme lui a demandé et a traiter les pratiquants de Falun Gong avec compassion.

Un policier refuse de maltraiter les pratiquants

Un policier parlait avec un ami, lequel lui a demandé s’il maltraitait les pratiquants de Falun Gong. Le policier a répondu que non. Son ami lui a ensuite demandé pourquoi. Le policier a répondu : « La première fois que j’ai interrogé un pratiquant de Falun Gong, je lui ai demandé la raison pour laquelle il tenait à poursuivre sa pratique. Ce pratiquant m’a dit qu’il avait été paralysé après un accident et qu’aucun hôpital qu’il a visité n’a pu le guérir. Cependant, après avoir pratiqué le Falun Gong, il a été complètement guéri et était de nouveau fonctionnel. Il pouvait donc travailler et supporter sa famille. Comment pouvait-il arrêter et dénoncer à la pratique après que celle-ci lui ait tant offert? » Le policier a expliqué que comme le Falun Gong l'avait complètement guéri, il a cru que c’était vrai et ne voulait pas empêcher la personne de pratiquer. Depuis lors, à chaque fois qu’il était dans une mission d’arrêter des pratiquants de Falun Gong, il faisait simplement suivre les autres mais ne faisait rien d’autre.

Un agent bienveillant donne son avis à une pratiquante

Dans une certaine ville, après avoir été au courant que les policiers allaient arrêter une pratiquante célibataire, un fonctionnaire (ayant la responsabilité de persécuter les pratiquants de Falun Gong) a prévenu cette pratiquante en question : « Une fois incarcérée, ce sera vraiment difficile pour une jeune femme de trouver un compagnon. Je te suggère de te cacher pendant un certain temps et on dira qu’on ne sait pas où tu te caches. »

Les policiers sont aussi des victimes

Afin de résister à la persécution contre le Falun Gong, quelques pratiquants ont fait une grève de la faim pendant plus de quarante jours. Les agents pénitentiaires les ont envoyés à l’hôpital pour les guérir. Là, on a découvert qu’ils souffraient de problèmes respiratoires, de mal au cœur, de la jaunisse, de la fièvre, etc. Voyant que sa mère (une pratiquante) était émaciée, sérieusement malade et dans une condition entre la vie et la mort, un fils a dit angoissé : « Maman, je ne te laisserai pas mourir en vain. » Un policier, témoin de cette scène, est tombé à genoux et fondu en larmes.

Traduit le 18 janvier 2004