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Partage simple sur dire la vérité et la cultivation de la parole

4 janvier 2004 |   Écrit par un disciple de Dafa de la Chine Continentale

(Minghui.org)

Au début de ma pratique du Falun Dafa, j’avais compris que pour être une bonne personne il fallait dire la vérité. Alors, je me suis promis de dire la vérité peu importe dans quel milieu je me trouvais, soit en communiquant avec d’autres pratiquants ou dans mon milieu de vie et de travail. Tant que je savais quelque chose, j’allais répondre indubitablement selon les faits.

Après avoir cultivé pendant un certain temps, je trouvais qu’à chaque fois que je partageais à un non pratiquant les principes du Fa que j’avais réalisé, le résultat laissait à désirer. Même que je causais des malentendus et compromettais l’opportunité à des personnes prédestinées d’obtenir une relation prédestinée. Alors, maintenant j’explique les choses en surface, comment être une bonne personne et les bénéfices sur la santé que le Falun Gong permet d’obtenir. Conséquemment, j’ai réalisé que dire la vérité n’équivaut pas à dire tout ce que l’on sait arbitrairement. J’ai compris qu’il fallait que je parle à un niveau accessible et acceptable pour mes auditeurs et que je ne pouvais pas partager si modestement les principes du Fa et les mystères célestes auxquels je m'étais éveillé. Ceci fait aussi parti de la cultivation de la parole.

À partir du 20 juillet 1999, le régime de Jiang commença à persécuter brutalement le Falun Gong et ses pratiquants. Des dizaines de milliers de pratiquants ont pris l’initiative de valider la Loi, et je suis l’un d’eux. Tout en validant la Loi et en clarifiant la vérité aux personnes ordinaires, j’ai rencontré plusieurs pratiquants de différentes régions.

Après qu’on m’ait enlevé, la police a dit, durant l’interrogatoire: « Ne pratiques-tu pas Zhen-Shan-Ren (Vérité-Compassion-Tolérance) ? Alors tu dois répondre à toutes nos questions selon les faits. Si tu ne dis pas la vérité, tu échoues à vivre selon les principes de Zhen-Shan-Ren. » Je leur répondis calmement : « Si je vis selon Zhen-Shan-Ren ou pas, ne dépend pas de vous. Vous m’avez illégalement enlevé, amené au poste de police et confisqué mes effets personnels. Ce que vous m’avez fait n’est pas différent de ce que ferait des voleurs ou des voyous. Comment un groupe de criminels serait-il qualifié pour me parler de Zhen-Shan-Ren ? C'est à moi qu'il devrait revenir de vous enseigner à dire la vérité! » Le visage des policiers tourna au rouge et ils se sentirent inconfortables lorsqu’ils entendirent mes paroles. Puis, l’interrogatoire se termina sans résultats.

Lorsque mes pensées droites étaient puissantes, je pouvais clarifier la vérité avec sagesse à ces policiers qui m’interrogeaient et essayaient de me « transformer ». À la fin, je n'ai pas prononcé ces mots de repentance que je ne voulais pas prononcer. Pendant cette dernière année en détention, même si j’avais souffert plusieurs difficultés et passé à l’interrogatoire plusieurs centaines de fois, la police échoua à retirer de moi toute information qui aurait pu menacer la sécurité d’un autre pratiquant. Aucun policier n’osait me frapper ou me crier après.

Maître Li nous a dit :

 « Les gens qui ont des idées mauvaises et pensent à des affaires louches peuvent aussi, sous l’effet puissant de votre champs, changer leur esprit et renoncer à leurs intentions négatives. Il est possible que certaines personnes, voulant insulter une autre, changent soudain d’idée et y renoncent. Il n'y a que le champ d’énergie de la cultivation et de la pratique de la Loi juste qui est capable de jouer un tel rôle. C’est pourquoi dans le passé, dans la religion bouddhiste, on disait : « La lumière de Bouddha illumine tout, faisant resplendir politesse et loyauté et dissipant tout ce qui est mauvais ». Tel en est le sens. » (Chapitre 3, Zhuan Falun)

Je me suis éveillé à ce qui suit : lorsque je me considère comme un pratiquant de Dafa et que je me dissous dans la Loi, sous l’influence du puissant champs énergétique de la Loi, les policiers sont incapables de se rappeler les mots abusifs et ils ne sont pas capables de me frapper. Donc, lorsqu’ils « m’interrogeaient », soit que les policiers avaient de bonnes conversations avec moi et étaient touchés par ma compassion et ce que je leur disais, ou bien ces « interrogations » se voyaient affectées par un changement inattendu et se terminaient rapidement sans résultat. Ceci montrait que sous l’influence du champ énergétique de la Loi, soient que ces choses perverses sont assimilées ou soient qu’elles s’enfuient avec empressement.

En parlant d’un autre angle, si nous avions exposé la situation d’un autre pratiquant et avions permis à la police de les arrêter et d’endommager les sites de production de matériel de Dafa, alors ces policiers auraient fait du dommage à la rectification de la Loi, auraient nui aux disciples de Dafa d’offrir le salut aux êtres du monde et des choses encore pire. Ils auraient commis des crimes qu’ils seraient incapables de payer même en allant en enfer. Pour arrêter ces policiers ignorants de commettre des crimes si importants et de les empêcher d’être éliminés, on ne peut leur révéler simplement des informations concernant la situation des autres pratiquants ce qui démontre de la compassion envers ces policiers. En plus nous devons leur clarifier la vérité (dire la vérité), leur dire que Falun Dafa est bon et leur partager le principe que le bien est récompensé avec le bien et le mal avec le mal.

Récemment, j’ai lu des articles sur Internet après que la police ait arrêté quelques pratiquants, ces pratiquants n’ont pas pu garder leur xinxing (nature du cœur et de l’esprit; caractère moral) et ils ont dit des paroles non nécessaires, qui ont après coup créé une série de problèmes qui ont causé plusieurs pertes qui auraient pu être évitées. Alors, j’ai commencé à penser à écrire cet article et de le partager avec les autres pratiquants. Un disciple de Dafa, dans un bon état d’esprit, ne laissera définitivement pas la police monter un piège dans sa maison. Il pourrait utiliser plusieurs façon pour faire partir les policiers, ou ils pourrait arriver d’une façon quelconque à informer les autres pratiquants de ne pas venir à sa maison. En pensant à la sécurité des autres pratiquants en premier lieu durant les moments critiques, nous pouvons mieux gérer les difficultés avec sagesse et ainsi réduire les pertes.

Le point important est que certains pratiquants ont l’attachement à la peur et n’ont pas une pensée suffisamment droite pour les empêcher d’être utilisés par la perversité. Cela veut dire que leurs dimensions spatiales ne sont pas assez pures et que la perversité est capable d’y demeurer et de persécuter d’avantage d’autres pratiquants.

Ci haut n’était que ma compréhension personnelle. Veuillez indiquer toute chose inappropriée.

Écrit le 18 septembre 2003

Traduit au Canada le : 8 novembre 2003

Date de l’article : 30 septembre 2003