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Les pratiquants en Chine reconstituent les méthodes de tortures (photos)

5 octobre 2004

(Minghui.org)

Les descriptions et les illustrations ci-dessous montrent d’autres méthodes de tortures utilisées à l'encontre des pratiquants déterminés dans les centres de détentions, dans les prisons, dans les camps de travaux forcés et dans les centres de lavage de cerveaux. Les autorités utilisent ces tortures dans l'intention de forcer les pratiquants à renoncer à leur croyance ou à leur donner des informations sur les activités de Dafa.

Etre traîné sur le sol


Le Centre de détention de Daqing avait enlevé une pratiquante de Falun Gong ; elle avait été littéralement traînée dans un hôpital psychiatrique pour davantage de persécution. Son dos avait été sévèrement blessé du fait qu’elle avait été traînée par terre.

Etre étroitement empaqueté et étouffé avec une couverture

 

Cette méthode de torture est souvent utilisée pendant les grandes chaleurs de l’été. Plusieurs policiers entourent le pratiquant et l’empaquette étroitement dans une couverture. En conséquence, le pratiquant souffre de vertige, de nausée et transpire abondamment.

Verser de l’eau froide sur les pratiquants

 


Les hivers sont terriblement froids dans le nord de la Chine. On verse de l’eau froide sur certains pratiquants qui ne sont habillés que d’un léger vêtement en coton, ou qui ont été dévêtus. Ils ont été placés au préalable devant des ouvertures, des portes ouvertes et des fenêtres. Cela provoque chez les victimes des tremblements de la tête aux pieds; et leur tête est engourdie et douloureuse. Certains pratiquants s’évanouissent sous ce mauvais traitement.

« Piloter un avion » tout en portant des verres d’eau dans les deux mains

 

Dans cette torture, on pousse la tête de la victime vers le sol, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus descendre alors que les mains sont tirées vers le haut. On oblige le pratiquant à tenir deux verres d’eau dans les deux mains. Si un léger déséquilibre ou un balancement du corps fait éclabousser l’eau hors des verres, la victime sera battue.

Avoir les mains menottées derrière le dos et les pieds enchaînés


Quand une victime est torturée de cette façon, elle est incapable par la suite de prendre soin d’elle-même dans la vie quotidienne. D’autres détenus doivent la nourrir et l’aider pour ses besoins. Le fait d’avoir les mains menottées derrière le dos rend les épaules extrêmement douloureuses comme si elles étaient déchirées. Quand la victime dort, elle ne peut se tourner sur le côté et ne peut pas non plus s’allonger sur le dos. Des entraves de fer pesant plus de 25 kilos sont fixées aux chevilles sur de larges bracelets en fer. Entre les chevilles, de lourdes chaînes relient les deux bracelets de fer ensemble. Le poids et la gêne causés par ces entraves rendent la marche difficile, même pour faire un pas. A chaque fois que ce dispositif touche le sol, il fait un bruit métallique très fort. Les chevilles des victimes sont souvent écorchées et saignent à cause du frottement avec les chaînes. Un pratiquant a été torturé de cette manière pendant deux semaines.

Piétiner sur les orteils

 


Etre suspendu

 


Cette méthode de torture est souvent utilisée pour forcer les pratiquants de Falun Gong à renoncer à leur croyance. La victime est suspendue par des cordes, des câbles en fer ou des menottes. En règle générale, les pieds ne touchent pas le sol. Parfois seulement, la victime peut toucher le sol avec les orteils. La douleur est difficile à supporter. Cette méthode est largement répandue dans les centres de détention, dans les camps de travaux forcés et dans les prisons en Chine.

Donjon d’eau caché

 


Superficiellement, on ne peut pas voir de trace laissée par cette méthode de torture. Auparavant, certaines personnes disaient que le Centre de Détention Huairou de Pékin avait un donjon d’eau. Les Nations Unis avaient envoyé une équipe pour faire des investigations, mais elle ne l’a pas trouvé.

Un pratiquant de Falun Gong de Daqing a été torturé au moyen du « donjon d’eau » dans le centre de détention Huairou de Pékin. On lui a d’abord enlevé ses chaussures et ses chaussettes et on l’a forcé à mettre des vêtements en cotton. Ses mains ont été menottées et ses pieds attachés à des chaînes pesant 20 kilos; ces chaînes sont censées n’être utilisées que pour les prisonniers condamnés. De plus, les menottes et les chaînes ont été reliées devant sa poitrine de sorte qu’il était incapable de bouger et était obligé de rester dans une seule et même position tout à fait inconfortable. La police a commencé par verser de l’eau dans un endroit en contre bas près des toilettes et y a ensuite placé la victime. Puis la police a donné l’ordre à des détenus criminels de lui verser de l’eau dessus à tour de rôle. Quand les vêtements de la victime devenaient un peu secs, ils versaient à nouveau de l’eau sur lui, de sorte que son corps était continuellement trempé. Une longue période de ce mauvais traitement a provoqué chez la victime un gonflement de tout son corps qui s’est teinté d’une couleur blanchâtre et sa peau s’est infectée. La douleur était insupportable.

Traduit le 1 octobre 2004 en Suisse