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Par la droiture, la beauté de Dafa se dévoile

13 novembre 2004 |   Écrit par Laura disciple de Dafa en France

(Minghui.org)

Bonjour Maître !

Bonjour à tous !

Je m’appelle Laura, je pratique depuis deux ans, j’ai rencontré Dafa en août 2002, j’avais depuis mon enfance du diabète et du fait de mon chemin à travers cette maladie à la recherche de la guérison, ma mère plus confiante dans une médecine naturelle m’emmenait voir beaucoup de praticiens y compris des acupuncteurs, des herboristes etc. Je ne trouvais vraiment pas normal d’être malade et m’étais dit que si en deux ans je ne trouvais pas de remède, j’arrêterais mon traitement. A la suite de ça j’ai pris contact avec un médecin de médecine chinoise qui m’a prescrit des plantes, mais comme son discours était trop vague j’ai décidé de rechercher sur Internet en quoi consistaient vraiment ces plantes, c’est comme ça qu’en tapant « plantes médicinales chinoises, diabète » au cours de la recherche je suis tombé sur un article de claire Harmonie intitulé « ma mère a guéri du diabète en pratiquant Falun Dafa ». J’ai commencé à pratiquer.

Mais ce que je voudrais partager aujourd’hui, à l’occasion de ce Fa hui, c’est une expérience récente.

Il y a deux semaines Falun Gong était invité à Lons le Saunier à l’occasion du Salon du goût.

Pour cette activité, pour certains, nous avions une semaine pour apprendre les enchaînements du Yao Kou (tambour à la taille) je dois d’abord dire que dans les activités de groupe je donne une image de quelqu’un toujours prêt à s’amuser. Durant cette semaine j’ai pu approfondir mes liens avec certains pratiquants certainement aussi par le biais de notre souplesse et de notre gaîté. Cela ne gênait pas en surface lorsque nous étions deux ou trois à plaisanter, mais cela néanmoins contribuait à un certain désordre et lorsque tout le groupe se dissipait, la droiture s’envolait ralentissait l’apprentissage et l’activité, faisait rager les tambouresses qui en perdaient leur voix.

Durant cette semaine il y a eu un jour assez mémorable pour moi, le jeudi. Nous avons répété sur le quai de la Râpée. Du fait de ma situation difficile du moment, j’ai eu du mal à me concentrer ce jour là et d’ailleurs je ne trouvais plus du tout le rythme, je me suis isolée pour me recentrer, j’ai vu trois jeunes gars assis sur les marches menant vers la Seine prêts à fumer ; une pensée subite me vient à l’esprit : « ah non, ils vont fumer en plus ! » sur ce, je m’éloigne et du fait d’avoir retrouvé le rythme, je retrouve le groupe. Nous faisions l’enchaînement en aller et venue et tout d’un coup je vois mes jeunes en train de pratiquer les exercices avec un des pratiquants; j’étais totalement surprise et touchée par la magie de la Loi et du Yao Kou.

Je crois que c’est à ce moment là où j’ai compris pourquoi nous étions là et l’importance de jouer du Yao Kou avec droiture.

Ensuite il y a eu le week-end, il pleuvait, nous n’étions pas à cent pour cent synchrones surtout pendant le défilé, la sono n’était pas non plus au point, nous devions nous atteler de droiture et de responsabilité,. Pour ma part pendant le défilé, je sais que mes pensées n’étaient pas toujours droites et que cela ne ratait pas, à chaque dérive, je perdais la concentration et le rythme et l’harmonie d’ensemble avait du mal à s’établir. Avec le temps et lorsque nous étions sans bouger et ensuite sur scène cela s’est mieux passé, nous étions plus confiants aussi et harmonieux, même sous la pluie et les gens étaient touchés, cela se sentait.

Le Dimanche lorsque nous sommes passés sur scène, nous étions tous investis et harmonieux et on pouvait sentir la force de la Loi qui nous portait, le soleil nous a fait coucou, j’étais très émue.

J’ai été très touchée par ce week-end, par la maturité et l’authenticité de chacun, la possibilité de se remettre en question de certains, la consolidation et la richesse du groupe, la relation harmonieuse entre les anciens jeunes pratiquants et nous les jeunes pratiquants plus récents. Et je voulais dire merci particulièrement aux deux pratiquantes qui nous ont appris le Yao Kou.

Depuis le premier jour où j’ai découvert Dafa j’avais conscience de là où j’allais, mais c’est lorsque l’on valide la Loi avec droiture que sa beauté se dévoile.