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Pinochet face au procès - Pourquoi attendre pour mener Jiang et ses complices en justice ?

22 novembre 2004 |   Écrit par Qingyan

(Minghui.org)

Le 5 novembre 2004, pour la première fois, l’armée du Chili a reconnu sa responsabilité pour les crimes de droits de l’homme commis durant le mandat de Pinochet de 1973 à 1990.Selon des documents officiels, durant les 17 ans de dictature militaire de Pinochet, 3190 personnes ont été tuées pour raisons politiques, et des dizaines de milliers de personnes ont été emprisonnées ou exilées. Avant que le document ne soit publié, l’armée et son chef Pinochet ont rejeté la responsabilité pour les crimes de droits de l’homme, prétendant que chaque crime était un acte personnel.

Juan Emilio Cheyre, Commandant en Chef titulaire du Chili, a publié le document en préparation pour un rapport sur le procès verbal des arrestations illégales et de la torture du gouvernement militaire de Pinochet, qui inclut le témoignage de plus de 30,000 victimes.Tournons nous à présent vers la Chine et la campagne génocidaire contre les pratiquants de Falun Gong lancée par le régime de Jiang. Selon les ordres confidentiels du régime, "les battre à mort comptera comme suicide, pas besoin que leurs familles identifient les corps, et incinérez les immédiatement, " Cette persécution en cours a résulté en plus de 1100 morts confirmées. Selon des statistiques internes générées par les fonctionnaires chinois, le chiffre de morts à la fin 2001 avait en fait atteint les 1600. Cent différents types de torture ont été documentés.Selon des nouvelles récentes de sources internes en Chine, grâce à la révélation incessante de ces mensonges honteux et ces atrocités et à l’effort continuel à l’échelle du monde pour amener Jiang Zemin en justice, le premier coupable, Jiang, a prévu de sacrifier un groupe de policiers comme "boucs émissaires, " prétendant, comme l’a fait Pinochet, que c’étaient des actes personnels. Après la Deuxième Guerre Mondiale, les criminels de guerre nazi responsables pour les atrocités n”ont pas été capables d’échapper à la justice et au châtiment. Après la "Révolution Culturelle" en Chine, aucune des "célébrités " n’ont échappé au châtiment.

Tout comme Cheyre, le Commandant en chef titulaire du Chili, l’a formulé, " la situation politique peut-elle être une excuse pour les crimes de droits de l’homme ? Je n’ai qu’une seule réponse, "Non ". "Une fin misérable attend ceux qui suivent les dictateurs et commettent des crimes. Ces scélérats et complices criminels en Chine qui ont trahi leurs consciences et cruellement persécuté les pratiquants de Falun Gong parce qu’ils "exécutaient les ordres des hautes autorités" pour obtenir des gains minables, ont réellement "vendu leur âme au diable." La phrase "actes personnels" est aussi sur le bout de la langue de Jiang. Comment les scélérats qui ont servi Jiang répondent-ils? Dès le début, tous les ordres de Jiang pour persécuter les pratiquants de Falun Gong ont été relayés de bouche à oreille.

Même s’il y avait des documents écrits, ils étaient classifiés comme "confidentiels " ou repris après avoir été transmis. Plus tard, les "Bureaux 610" ont reçu la consigne de détruire les documents en question pour éradiquer toute preuve criminelle. Manifestement, Jiang est conscient que ses actions ne peuvent pas être vues ou révélés et sont complètement contre la constitution chinoise et les lois. Comment les faits sanguinaires et brutaux des cinq dernières années peuvent ils être dissimulés ? Qui peut cacher des dizaines de milliers de victimes ? Qui peut si hardiment nier les mensonges honteux diffusés au monde entier ?

Le monde entier va tourner ses regards vers la Chine.Pendant des années, les pratiquants de Falun Gong ont persisté à dénoncer la persécution et à rassembler et organiser les preuves des crimes du régime de Jiang. Fawanghuihui, une organisation qui a prêté une attention soutenue à la persécution du Falun Gong par Jiang, a soumis deux copies de leur rapport au Haut Commissaire des Droits de l’Homme aux Nations Unies le 20 mars 2003. Les rapports comprennent une liste de 11 000 noms de personnels impliqués dans la persécution, des "Bureaux 610" aux postes de police et d’autres bureaux. Il comprend aussi les détails de leurs crimes et une liste de noms d’environ 20. 000 victimes et les faits concernant la persécution. De surcroît, des organisations internationales comme l’Organisation Mondiale d’Enquête sur la Persécution du Falun Gong et la Coalition Globale pour Amener Jiang en justice ont été établies l’une après l’autre.

Elles ont activement opéré et suscité l’une après l’autre une série d’actions légales contre Jiang et son régime. Bien que la terreur rouge de Jiang ait balayé toute la nation, des gens avec des idéaux élevés ont en Chine aidé à réunir les preuves criminelles contre son régime en vue d’actions légales.Cette volonté compatissante sera récompensée et ceux qui ont cruellement tué des gens innocents en utilisant leur pouvoir seront traduits en justice.


Publié : Vendredi, 19. novembre 2004