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Collection de Clearwisdom : Souvenirs du Maître enseignant en Chine (Photos)

13 décembre 2004

(Minghui.org)

Suivre le Maître des milliers de kilomètres à travers la Chine (Photos)

Par une pratiquante de Falun Dafa

Je suis tombée malade encore jeune. Plus tard, je suis allée consulter de nombreux médecins et ai suivi différents traitements pendant pas mal d’années. Rien ne m’a rendu la santé et j’ai fini par perdre confiance dans les médecins et la médecine. A la fin de 1992, ma santé s’est- soudain détériorée. Ma famille m’a emmenée en avion à Beijing voir un guérisseur par le Qigong. Mais même après de nombreuses sessions, ma santé ne s’améliorait pas beaucoup. En juillet 1993, j’ai vu un livre intitulé <I>Falun Gong</I> sur l’étagère d’une amie. Je l’ai pris et l’ai parcouru. Dans le livre, il était dit qu’un Falun serait planté dans l’abdomen de chaque pratiquant. C’était un choc pour moi parce que personne n’avait jamais été capable de connaître l’origine de la vie, et pourtant le fondateur du Falun Gong pouvait créer un objet vivant. C’était quelque chose d’inimaginable ! J’ai pensé que ça pourrait être vrai après tout et ai commencé à rêver qu’un Falun dans mon abdomen pourrait bien guérir ma maladie. Je me suis alors précipitée chez mon amie pour qu’elle m’aide à trouver où apprendre le Falun Gong.

Le 25 juillet 1993, j’ai assisté à la onzième classe que Maître a donnée à Beijing. C’est alors que j’ai commencé mon chemin de ‘cultivation’.

La onzième classe eut lieu dans un auditorium à l’Université de la Sécurité Publique de Beijing. J’étais fascinée par le premier enseignement dans lequel le Maître parla de la culture préhistorique. J’écoutai avec le cœur et trouvai cela stupéfiant. J’étais née en 1948. Les adolescents de ma génération avaient fait l’expérience directe de la Grande Révolution Culturelle. Cette expérience amère nous avait appris à penser par nous-mêmes et à ne pas suivre aveuglement les autres. En dépit de cette pénétration, je m’étais toujours sentie déprimée dans ce monde plein de confusion. Je ne savais pas quels genres de standards je devais utiliser pour me juger moi-même et juger les autres. J’aimais lire des magazines comme Mystère pendant mon temps libre, et je pensais aussi beaucoup aux choses qui n’étaient pas connectées avec nos vies quotidiennes.

Ce premier jour des conférences, j’ai appris et compris beaucoup de choses et j’étais surexcitée. En assistant chaque jour aux conférences, je me sentais de mieux en mieux. Du fait de mes expériences positives, je décidai d’y assister une autre fois. La douzième série de conférences donnée à Beijing eut lieu sur le site d’une entreprise privée dans la région de Wukesong. Après avoir assisté à seulement quelques conférences, j’ai développé une fièvre, et ma poitrine me faisait mal chaque fois que je toussais. Je ne pouvais même pas parler. D’anciens pratiquants me dirent, « Essaie de venir aux conférences aussi mal que tu puisses te sentir. » Après trois ou quatre jours, la fièvre disparut soudainement, et j’ai senti qu’une substance avait été enlevée de mon corps. Ensuite j’assistai à la treizième série de conférences, je n’avais plus besoin de quelqu’un qui s’occupe de la maison car je pouvais enfin prendre soin de moi-même.

Une classe après l’autre, j’écoutais les paroles du Maître. Toutes les choses dont le Maître parlait étaient nouvelles pour moi. La question était, devais-je croire où non à ce qu’il disait ?

Je pensais que puisque la vie est courte et que les expériences d’une personne sont si limitées, il me serait impossible de tout prouver ou expérimenter par moi-même. Alors je décidai d’observer le Maître de près, car s’il était digne de confiance, les choses dont il parlait devaient aussi être véridiques. Je commençai à étudier chaque expression du Maître, chaque sourire, et chaque petit geste. Un jour après la conférence durant la douzième classe à Beijing, je pris le métro pour rentrer. Alors que j’attendais le train à la station Wukesong, je vis le Maître approcher, avec sa famille et un autre pratiquant. Ils portaient leurs boîtes de repas. Lorsque le train arriva, les gens se précipitèrent vers la porte, se bousculant. Mais, le Maître n’était pas du tout pressé. Il laissa passer les autres et fut le dernier à monter. Je remarquai qu’au moment où il monta dans le train, il n’y avait plus qu’un ou deux sièges vides. En se pressant il aurait pu avoir une place assise mais il resta simplement là, comme s’il ne remarquait même pas la situation. En l’espace d’une seconde, tout le monde fut assis, il était probablement le seul dans le train à être resté debout.

J’étais profondément touchée, je le sentais si différent de nous, et je me demandai comment il traitait les choses dans ce monde. Je me donnai finalement la réponse qu’il était simplement « juste». Il était d’une telle justesse ! Il n’avait rien à cacher, tout de lui était si juste. Durant les classes, il commençait toujours les conférences à l’heure. Il ne parlait pas non plus d’une manière détournée et allait droit au but.

Le Maître nettoyait nos corps durant chaque classe, et la santé de nombreux pratiquants s’améliora de manière spectaculaire. C’était remarquable. Durant la classe, certaines personnes étaient délivrées de maladies qui les avaient tourmentées leurs vies entières. J’étais si heureuse que ma santé se soit améliorée, j’étais encore plus contente de la joie que je ressentais. Je n’avais jamais ressenti une telle joie dans ma vie. Tout était si clair. De loin ou de près, riches ou pauvres, tous les pratiquants avaient la même pensée malgré que nous ne nous connaissions pas vraiment, nous écoutions tous le Maître et voulions nous cultiver nous-mêmes. Après chaque conférence, nous ne voulions plus rentrer chez nous. Lorsque je me retrouvais seule, je me demandais malgré moi, « Pourquoi suis-je aussi touchée ? » J’ai réalisé plus tard que le Maître, et toutes les choses dont il parlait, touchaient quelque chose de très profond dans mon cœur, «l’authenticité ». Le Maître est si noble, sans tâche et indestructible. J’étais profondément émue.

Maître Enseignant la Loi à la seconde classe dans la ville de Wuhan, Province de Hubei, en mars

Après la treizième classe à Beijing, la prochaine série de conférences devait avoir lieu à Wuhan. Je voulais y aller, mais il m’était difficile de voyager seule. Malgré que ma santé se fut beaucoup améliorée, j’avais été malade si longtemps que j’étais encore trop faible ne serait-ce que pour saisir une bouteille thermos. Mais je voulais vraiment y aller. Je me suis encouragée moi-même, et j’ai fini par partir en train pour Wuhan. Ma couchette était en haut dans le wagon, et pour moi grimper là-haut était difficile. Juste au moment où j’avais cette pensée, un jeune homme qui avait la couchette du bas m’a dit tout à coup, « Voulez vous dormir sur la couchette du bas ? » J’ai vraiment apprécié son aide. De la même manière, lorsque je suis arrivée à ma destination, la garde de Hankou, quelqu’un m’a aidée avec mes bagages. J’avais tant de chance. Ce n’est que de nombreuses années plus tard que j’en suis venue à réaliser que c’était le Maître qui avait arrangé toute l’aide qui m’était nécessaire. Maître a tenu trois séries d’enseignements consécutifs dans la ville de Wuhan. Ceux-ci étaient le troisième, le quatrième et le cinquième ayant lieu dans la ville de Wuhan. La troisième classe fut donnée au Collège des Finances et de l’Economie, la quatrième à l’Auditorium du Comité Municipal, et la cinquième classe était à l’Usine d’Acier de Wuhan. Lorsque les trois classes se terminèrent, c’était la mi-octobre. La prochaine classe devait avoir lieu à Guangzhou, dans la province de Guandong, et j’ai suivi le Maître dans la ville de Guangzhou, où il a donné la deuxième série d’enseignements tenus à Guangzhou.

Les choses dont le Maître parlait étaient à peu près les mêmes d’une classe à l’autre. Cependant, il expliquait quelquefois la même chose sous différentes perspectives. Quelques phrases du Maître me faisaient soudain m’éveiller à quelque chose, et de cette manière, j’en suis venu à comprendre de plus en plus. Plus j’écoutais, plus je sentais que les choses que Maître nous disait étaient extrêmement vastes et importantes. Graduellement, j’en suis venue à comprendre que ce dont il parlait dépassait les principes du Bouddhisme et du Taoïsme, c’étaient les principes de l’univers tout entier. Le Maître peut créer le Falun, Il connaît l’origine de la vie, et il peut éliminer pour nous le karma. Alors qui est-il ? Je n’osais pas y penser. Je savais qu’introduire le Falun Gong devait être un événement immense sans précèdent, alors je l’ai dit à mon mari et lui ai demandé de venir et d’apprendre avec moi. J’ai aussi appelé ma sœur, qui vivait à l’étranger, et lui ai demandé de revenir le plus vite possible pour assister aux enseignements du Maître.

Je me souviens que c’était durant la seconde classe à Tianjin, que pour la première fois, le Maître a dit qu’il laisserait la Loi au monde. Le mot « laisser » a explosé dans ma tête. J’ai réalisé que le Maître ne donnerait plus jamais d’enseignements. Ici et là, j’ai décidé que si le Maître donnait des enseignements, j’y assisterais tant que je pourrais, peu importe où. Avec ma faible constitution, ça m’était très difficile de suivre la route du Maître. Cependant, à la seconde où j’apprenais qu’il y avait une conférence, toutes les tribulations étaient oubliées. J’abandonnai tout afin d’assister aux enseignements. Chaque fois que je voyais le Maître marcher sur la scène pour enseigner, la joie émergeait du profond de mon cœur. Je me sentais très proche du Maître, et ces jours ont été si éclatants et magnifiques. À la fin de chaque classe, il nous demandait d’écrire quelque chose afin de partager nos expériences avec les autres. Je me sentais coupable parce que je n’avais rien à dire et n’écrivais rien. Je ne voulais pas parler de comment le Falun Gong avait amélioré ma santé ni dire quelle gratitude je ressentais.

En avril 1994, je suis retournée à Beijing de la seconde classe de Dafa dans la ville de Hefei. Je suis restée au lit pendant tout un jour et une nuit tant j’étais épuisée. Les prochaines classes devaient avoir lieu à Changchun, la ville natale du Maître. Visiter la ville natale du Maître était un souhait de longue date. Lorsque le train arriva à Changchun, les pratiquants là-bas tenaient des pancartes et se relayaient pour accueillir les pratiquants des autres villes. Nous étions logés dans un hôtel relativement loin du centre ville parce que c’était moins cher. Nous étions tous excités et regardions attentivement le paysage à travers la vitre du bus. Soudain, une pratiquante locale venue nous chercher a indiqué un bâtiment du doigt et il a dit : « Regardez, c’est la maison du Maître ! » Nous avons regardé dans la direction qu’elle montrait et avons vu un immeuble de brique sans décoration de mosaïque. Il avait à peu près quatre ou cinq étages. J’ai pensé, « Maître vit dans un tel endroit, malgré qu’il ait de grandes capacités. C’est vraiment rare. » Nous ressentions admiration et respect pour le Maître et dévisagions la bâtiment en silence.

La résidence du Maître dans la ville de Changchun

Les classes avaient lieu dans l’Auditorium de Mingfanggong à l’Université de Jilin. Parce que de nombreux pratiquants venaient d’autres villes, Maître a tenu deux sessions : une de 9h à 11h et l’autre de 19h à 21h. J’ai acheté un ticket pour la classe du matin mais n’ai pas pu avoir de ticket pour celle du soir. Après la classe, j’étais attristée et je suis retournée à l’hôtel. Le jour suivant je suis restée sur la prairie devant l’auditorium et j’ai attendu le début de la classe du soir, espérant trouver un ticket. Soudain une pratiquante à mes côtés m’a dit, « Qui veut un ticket ? » J’ai immédiatement pris le ticket et lui ai donné l’argent, puis je me suis dirigée vers l’auditorium dans une superbe humeur. Juste au moment où j’allai m’asseoir, une ancienne pratiquant que je connaissais se dirigea vers moi et cria, « Je te cherchais. » J’ai pensé, « ça y est. Je ne vais pas pouvoir garder le ticket. » Juste comme je m’y étais attendu elle m’a dit qu’une pratiquante de la province de Qinghai venait aux classes pour la première fois et ne comprenait pas bien le mandarin. Elle voulait écouter les enseignements de nouveau et, comme j’étais une ancienne pratiquante, je pourrais peut-être lui donner le ticket. Je lui ai donné le ticket à contre cœur et suis sortie de l’auditorium. L’endroit était plein et la classe avait commencé, pourtant, des pratiquants sans tickets comme moi étaient toujours à attendre dehors. Ce soir-là il y avait un spectacle de danse au sous sol de l’auditorium de Mingfanggong. N’importe qui aurait pu entrer dans la salle de conférence en passant par une porte de côté avec un ticket pour la danse, mais personne ne le fit. Un jeune homme de la Ville de Tianjin dit, « Si nous trichons ainsi, nous n’obtiendrons rien même si nous entrons. » Plus tard, j’ai entendu que le contrôleur de tickets à la porte avait été si touché par la persévérance des pratiquants qu’il les avaient tous laissés entrer.

Durant cette série de classes, Maître est venu chaque jour à pied à l’endroit de la conférence. Des pratiquants ont invité Maître à monter dans leur voiture, mais Maître a poliment refusé.

L’Hôtel dans lequel nous étions descendus était loin de l’Université de Jilin. A l’époque le prix d’un ticket de bus était plutôt bon marché – moins d’un yuan. Certains pratiquants quittaient l’hôtel pour la conférence très tôt le matin. Une fois j’ai demandé à un pratiquant pourquoi il ne prenait pas le bus pour aller si loin. Il a dit qu’il voulait économiser de l’argent afin de pouvoir assister à une autre classe. J’étais très touchée. C’était la dernière classe que Maître a tenu à Changchun. A la fin de la classe, Maître a dit quelque chose aux gens dans sa ville natale avec une grande sincérité et gentillesse, et tout le monde était ému aux larmes. C’était moins d’une demi-heure avant que le bus ne parte et pourtant tout le monde était en train d’écouter Maître et ne voulait pas partir.

J’ai entendu que Maître tiendrait des classes dans la ville de Chengdu le 29 mai, juste après avoir enseigné dans la ville de Chongqing. Je savais qu’il n’y avait pas de point de pratique à Changdu parce qu’aucune classe n’y avait encore été donnée. Je voyais Maître travailler très dur pendant le voyage. Pendant qu’il enseignait à Tianjin, Maître vivait dans un hôtel qui coûtait seulement 20 yuan par jour et qui ne fournissait pas de douche. Nous rentrâmes à la maison pour dormir après la classe, et pourtant Maître était en train d’ajuster nos corps 24h sur 24. Même ainsi, certaines personnes sont quand même allées là où le Maître restait et se sont prosternées devant lui, le suppliant de traiter les maladies pour des gens de leurs familles, et ils ne voulaient pas écouter ce que Maître leur disait. Les anciens pratiquants étaient contrariés et ils n’embêtaient pas le Maître, espérant qu’il puisse prendre un peu plus de repos. A ce moment, mon mari travaillait dans la ville de Chengdu, et je pensais que je pourrais utiliser cette circonstance favorable pour voir si je pouvais aider à faire quelque chose, donc je suis allée à Chengdu.

Ce jour-là, Maître est descendu du train avec de nombreux pratiquants, qui étaient venus avec lui de la ville de Chongqing. C’était à la fin mai et le temps était chaud. Les gens qui assistaient le Maître pour les classes portaient de gros paquets de la version éditée des livres du Falun Gong et transpiraient beaucoup. L’Association de Qigong envoya un taxi et Maître demanda aux assistants avec les livres de le prendre. Mon mari essaya de conduire sa propre voiture à la sortie du train afin que Maître n’ait pas à marcher trop longtemps. Tout de suite après qu’il se soit garé dans le parking, de nombreuses voitures sont apparues de nulle part embouteillant l’intersection devant la gare. Heureusement, mon mari conduisait une voiture importée. Il pouvait démarrer un peu plus vite parce qu’elle avait une transmission automatique. Il fit tout ce qu’il put et finalement sortit de l’embouteillage. Il était si anxieux qu’il développa même des ampoules dans sa bouche. A cause de l’embouteillage, Maître resta debout à attendre devant la gare pendant plus de 40 minutes, ce pourquoi je me suis sentie très mal pendant plusieurs jours. Plus tard, Maître a dit que c’était une interférence et qu’il avait rencontré de nombreuses telles interférences auparavant.

La classe dans la ville de Chengdu eut lieu dans un hall d’hôtel. Maître ne faisait jamais de publicité pour ses classes. De plus, il y avait beaucoup d’autres classes de qigong dans la région et les gens n’y faisaient pas beaucoup attention au début. Le premier jour de la classe le hall n’était pas plein. Toutefois le nombre de gens a augmenté de façon spectaculaire après que les classes aient commencé. A la dernière classe, il y avait plus de 800 personnes dans la salle. Chaque jour, mon mari conduisait le Maître à l’hôtel après la classe. J’étais très heureuse que nous puissions aider Maître un petit peu.

Lorsque le Maître voyageait pour enseigner la Loi, il devait arranger son propre itinéraire, ainsi que sa nourriture et son logement. C’était beaucoup de travail.

Dans la ville de Chengdu, je suis allé avec le Maître dans beaucoup d’endroits. Le premier jour nous sommes allés au Temple Wenshuyuan, un monastère. Notre voiture était devant plusieurs autres voitures se dirigeant vers Wenshuyuan. Il y avait aussi dans la voiture un homme d’affaires de Hong Kong. Il attendait dans la ville de Chengdu lorsqu’il a entendu qu’une classe y aurait lieu. Comme il ne comprenait pas bien le Mandarin en écoutant les conférences, Maître lui a expliqué les choses durant le voyage. Après que nous soyons descendus de voiture, nous avons vu quatre assistants guerriers de Bouddha. Maître s’est retourné et m’a dit, « Ils étaient tous là pendant que j’enseignais. » J’ai dit, « Pourquoi ont ils l’air si laids ? » Maître a dit, « Ils ont des pouvoirs tout puissants. » A cette époque, les temples étaient chaotiques et remplis de renards et d’autres êtres. Maître les a tous nettoyés partout où il allait, et il n’a eu qu’à agiter sa main.

Dafa grandiose dans la Montagne Leshan Mountain, Province de Sichun (1998)

Plusieurs jours plus tard, Maître est allé à la Montagne Qingcheng. Les principaux assistants des villes de Dalian, de Guizhou et de Wuhan et plusieurs autres pratiquants sont allés avec lui. Durant ce voyage, j’ai soudain compris un ancien dicton, « Peu importe que la colline ne soit pas haute, elle est grande si des divinités y résident. » Etant donné mon état de santé, je me suis étonnée moi-même en escaladant la montagne et redescendant. Lorsque je suis retournée chez moi, les collègues de mon mari étaient extrêmement surpris d’entendre ce que j’avais fait. Après la classe à Chengdu, nous sommes allés à la Montagne Leshan et au Mont Emei avec Maître. Dans le Hall des Arhats dans la Montagne Leshan, un pratiquant s’est précipité vers Maître en courant et a dit que la Bodhisattwa telle et telle (Je ne peux plus me souvenir du nom) était embarrassée lorsqu’elle voyait Maître, et qu’elle envoyait ses salutations au Maître. Maître a dit, « Lorsque nous partirons, ils vont marcher avec nous pendant une longue distance. » J’étais bouleversée d’entendre tout ça parce que tout ce que pouvais voir étaient des statues d’argile. Après que nous ayons quitté le hall, un moine derrière nous a dit, « Ce groupe de gens est étonnant. » Il a manifestement vu quelque chose dans les autres dimensions. Le Mont Emei était vraiment différent des autres endroits. A Jinding, (Sommet Doré), le plus haut pic du Mont Emei, j’ai eu ma première véritable expérience avec mon œil céleste. J’ai fait un voyage avec Maître et j’ai vu tant de choses supra normales. J’ai découvert que mon esprit me tournait un peu. J’ai demandé à Maître, « Alors les légendes sont vraies finalement ? » Maître a répondu, « Les légendes ne sont pas nées de rien. ».

La prochaine série de classes allait avoir lieu à Zhengzhou. J’ai juste réussi à obtenir un ticket pour une couchette dans le train et j’étais dans le même train que Maître. Il faisait très chaud ce jour là pendant le voyage. Lorsque nous sommes arrivés à la gare, il y avait foule. Tout comme nous, Maître portait son bagage et il était trempé de sueur. Je me sentais mal à cause de ça mais je ne pouvais rien y faire. Après que nous soyons montés dans le train, nous avons découvert que notre voiture était la dernière et n’appartenait pas à la même compagnie de chemins de fer que les voitures à l’avant. Le train principal appartenait au Bureau des Chemins de Fer de Chengdu, tandis que notre voiture appartenait au Bureau des Chemins de Fer de Zhengzhou. Cela signifiait que les voitures de tête ne fourniraient aucun service, pas même de l’eau, à notre voiture, et nous ne pouvions pas aller dans les voitures de tête du train parce que la porte était fermée. Un pratiquant de Wuhan qui voyageait avec nous a trouvé une cruche à eau. Quand le train s’est arrêté dans une gare, nous sommes descendus et sommes allés en tête de train remplir la cruche d’eau. Mais nous n’avions plus suffisamment de temps pour retourner en courant à nos places et avons du rester debout dans la voiture jusqu’au prochain arrêt. Il y avait juste suffisamment d’eau pour boire. Nous n’avons pu que tremper un bol de nouilles instantanées dans l’eau comme repas pour le Maître. Nous avons acheté 6 tickets ensemble avec Maître et nous étions dans la dernière voiture de ce train.

Lorsque le train est passé devant le Mont Hua, Maître se tenait à la fin du train. Il n’y avait pas de fenêtre à la porte de notre voiture. Maître est resté là debout un long moment, regardant les montagnes au loin. A ce moment, j’étais perplexe et me demandais ce que le Maître regardait, alors j’y suis allée aussi et j’ai scruté le lointain. Maître m’a dit que beaucoup de gens qui avaient cultivé le Tao sur le Mont Hua étaient descendus pour lui rendre visite. Ils suivaient le train. Maître leur a demandés, « Que pensez-vous de mes disciples ? Certains d’entre eux avaient cultivé pendant une longue période de temps. » Ils ont dit que peu d’entre eux pouvaient se comparer aux disciples de Maître. Ces personnes nous ont accompagnés tout du long jusqu’à Zhengzhou pour écouter le <a href=http://fr.clearharmony.net/articles/200411/16974.html><fontsize=-1>"Fa"</font></a>

. Plus tard, durant son enseignement, Maître a parlé de ce qui s’était passé ce jour là.

Les conditions à l’installation de Zhengzhou étaient quasiment les pires que j’avais jamais vues. L’Association de Qigong avait fourni un gymnase désaffecté pour les classes. Le plancher central de bois du gymnase était assez vieux et cassé par endroit, et les gradins étaient construits avec des briques cassées. Il n’y avait même pas de vitres aux fenêtres. La classe a commencé le 11 juin. Quelques jours plus tard, c’était le week-end et, à la moitié de l’enseignement, un vent hurlant a commencé à souffler à l’intérieur et les nuages ont assombri le ciel et tout obscurci. Une lourde pluie et de la grêle ont commencé à tomber, et des éclairs accompagnés des grondements du tonnerre ont rempli le ciel et la terre. La pluie entrait par les fenêtres. Les gens dans les tribunes se sont précipités au centre du gymnase. Bientôt des grêlons aussi gros que des noix sont tombés, qui ont sauvagement et bruyamment fait trembler le toit de fer du gymnase. Jamais je n’avais vécu une telle situation. Avec le vent violent, les grêlons et le tonnerre et les éclairs, ont aurait dit que la tempête allait fendre en deux le toit du gymnase.

Le toit au-dessus de la plate forme du Maître commençait à fuir. La pluie est entrée très vite et bruyamment, puis la principale prise électrique a court-circuité. Les lumières se sont éteintes, il faisait sombre à l’intérieur comme si c’était la nuit. Tout cela s’est passé en quelques minutes. Tout le monde regardait le Maître et l’a entendu demander, « Qui est là-haut ? » Nous avons vu le Maître fermer doucement les yeux et placer ses mains devant sa poitrine avec les paumes dressées. Les pratiquants qui étaient assis près du Maître fixaient leurs yeux sur lui,. Certains pratiquants ont dit, « Regardez les mains du Maître ! » Peu après, Maître a fermé les poings comme s’il attrapait quelque chose. Puis il a ouvert la bouteille sur la table, a bu l’eau, et a mis la chose dans ses mains dans la bouteille. Immédiatement, la tempête s’est calmée et le soleil a réapparu et illuminait le gymnase. Nous avons tous applaudi et nous sommes réjouis. Après cela, Maître s’est assis sur la table et a accompli une série de grand gestes de mains. Puis Maître a dit, « J’ai fait une grande chose pour vous. J’ai enlevé beaucoup de choses. » A ce point, les lumières se sont rallumées une à une et le Maître a continué sa conférence. Plus tard, un jeune homme de Zhengzhou, qui suivait souvent le Maître pour assister aux classes, a dit qu’il était à ce moment dans la principale chambre de contrôle. Après que le principal commutateur ait été court-circuité, il n’y avait plus de courant électrique, mais les lumières ont été rallumés malgré cela. Le jour suivant, les journaux de Zhengzhou ont rapporté que les toits de plusieurs bâtiment avaient été emportés pendant la tempête. Le bureau météorologique était dans la panique et a dit qu’il n’y avait eu aucune indication qu’une tempête était imminente. Le sponsor de l’Association du Qigong a dit, « Nous avons vu une scène extraordinaire aujourd’hui. » Le jour suivant, le Maire de la ville de Zhengzhou est venu respectueusement serrer la main de Maître. On a dit que sa belle-fille avait assisté à la classe.

La prochaine série de classes était la seconde session tenue dans le gymnase de Jinan, qui avait une capacité d’accueil d’environ quatre mille personnes. Tous les sièges étaient occupés. Durant les classes de Jinan, Maître a donné une conférence détaillée et nous a dit aussi certaines des choses qui allaient arriver peu après.

Jinan 1998 Conférence de Partage d’Expérience du Falun Gong

La prochaine série de classes avait lieu à Dalian. Maître ne voulait pas que nous allions tous à Dalian. Il nous dit de ne pas prendre le vol pour Dalian le 30. Maître rencontra diverses interférences en se rendant à Dalian. L’interférence de la perversité était énorme. A la fin, Maître prit le bateau pour Dalian.

Je me souvenais qu’à Chengdu, la pratiquante chargée du centre d’assistants de Dalian m’avait dit une fois qu’il y avait des dragons sur une photo qu’ils avaient prise avec le Maître. J’étais plutôt surprise et lui demandai si je pouvais voir la photo lorsque j’irai à Dalian. Elle répondit que oui. Lorsque j’arrivai à Dalian, je pensais encore à la photo et la cherchai pour lui demander à voir la photo. Un jour, elle m’apporta une photo à regarder. En la regardant, je vis que cela était vrai. Dans le ciel derrière Maître et les pratiquants, il y avait deux dragons proches l’un de l’autre, un de face et un de dos. Les têtes des dragons étaient grosses. Les contours de leurs naseaux et de leurs yeux étaient très clairs. On aurait dit qu’il y avait des gens assis sur les dragons. Puis elle pointa du doigt la photo et me dit, « Vous voyez, il y a deux épées à double tranchant. Je les regardai. Les épées étaient assez petites mais clairement discernables. Je fixai la photo un moment sans expression. Elle dit que la photo était la seule qui montrait toutes ces choses. Lorsque nous avons pris le négatif pour développer d’autres tirages, ils ne sont pas sortis. Son fils ne voulait pas croire ce que montrait la photo alors il essaya d’investiguer 20 fois pour finir par renoncer. Plus tard, durant la dixième conférence alors que Maître répondait aux questions des pratiquants, un pratiquant dit qu’il avait vu les épées à double tranchant en lisant Zhuan Falun, Maître répondit, « Oui, je les ai amenées du cosmos et elles ont une puissance sans limites.

Le 5 août, les classes commencèrent à Harbin. Elles furent tenues dans le stade de Hockey sur glace de Harbin. A l’époque, le stade était encore en construction. Il n’y avait de sièges que sur trois côtés, et le quatrième mur était juste du contreplaqué. Le personnel du stade n’avait jamais vu tant de gens ayant voyagé des dizaines de milliers de kilomètres pour assister à une classe de qigong et ils écoutèrent donc aussi les enseignements du Maître. Un jour avant que la classe ne commence, le Maître vint au stade pour voir les pratiquants. Quand il marcha devant les pratiquants, les pratiquants qui étaient assis sur les gradins et qui étaient les plus près du Maître se levèrent ensemble, exprimant avec révérence leur respect au Maître. Maître continua à marcher, les pratiquants assis à l’avant se levèrent aussi ensemble. De cette façon, alors que le Maître marchait autour du stade, un groupe de pratiquant se levait et un autre groupe s’asseyait, en ordre et de façon continue. La scène était extrêmement spectaculaire. A ce moment, le stade tout entier était imprégné de sacré et de révérence. Même les pratiquants eux-mêmes étaient stupéfaits. Cela arrivait spontanément et n’avait pas été planifié du tout. Une personne qui assistait aux classes pour la première fois et assise à côté de moi murmura, « Wow, je n’ai jamais vu une telle scène. Il est impossible qu’un quelconque des dirigeants nationaux reçoive cela. »

Les classes de Yanji eurent lieu dans le gymnase de Yanji. Un pratiquant local, qui était d’ascendance coréenne et qui avait été la première personne à assister aux classes du Maître dans d’autres villes, avait ardemment fait des arrangements pour cette classe. Il dit qu’il voulait faire une bonne action pour les gens de sa ville natale. On a dit que 70% des gens de son entreprise assistaient à la classe. Le dernier jour de la classe, les pratiquants coréens portaient des vêtements folklorique aux couleurs éclatantes, ce qui était la formalité la plus cérémonieuse, pour exprimer leur gratitude au Maître et voir le Maître s’en aller. Il y eut une brève cérémonie de clôture après la classe. Maître fit don de 7000 yuan, la totalité de son revenu pour cette série de classes, à la Croix Rouge de Yanjin.

Après avoir quitté la salle de classe ce jour là, j’allai directement à la gare et pris le Numéro Tumen. Un train allant à Changchun, où je changeai de train pour Harbin.

Après avoir voyagé toute la nuit dans le train, j’arrivai à Changchun le matin, je tirais ma valise et sentais la fatigue. Arrivée à la porte du passage souterrain, je vis Maître debout derrière moi, me regardant avec gentillesse. J’étais si heureuse et touchée mais j’avais peur que Maître ne veuille porter ma valise, aussi je dis précipitamment ?’ » Maître, allez le premier, et ne vous inquiétez pas pour moi. Tout ira bien. Je voyage souvent seule et n’aurais pas de problèmes. » Après que le Maître ait continué, je descendis une marche après l’autre en direction du passage souterrain. Je portais ma valise et marchais en direction de la sortie, suivant la queue pour sortir de la gare. En levant les yeux, je vis le Maître devant moi, m’attendant pour sortir. Il me regardait encore si gentiment. A ce moment, je ressentis un flux chaud traverser mon cœur. Je pressai mes mains pour faire Heshi (salutation montrant de la révérence) et dit, « Maître, s’il vous plaît ne vous inquiétez pas pour moi. Je peux me débrouiller seule. » Ce jour là, j’arrivai à Harbin sans aucun ennui et retournai à Beijing miraculeusement le jour suivant.

Le 21 décembre, la Cinquième Session de Conférence de Loi à Guangzhou, dans la province de Guandong commença. C’était la dernière Session de Conférences de Loi tenue en Chine. A l’époque, le Falun Gong était déjà très répandu et les gens venaient de tout le pays pour assister aux séminaires, même des provinces du nord est et de la Région Autonome Uighur du Xinjiang. Ils venaient pour obtenir le Dao (la Voie), qu’ils considéraient être la plus grande chose dans leurs vies. Il y eut beaucoup d’histoires touchantes. Certains arrivèrent trop tôt et n’avaient apporté qu’une petite somme d’argent pour leurs dépenses quotidiennes. Ils réduisirent donc leur dépense quotidienne de nourriture à deux yuan, ce qui dans une ville comme Guangzhou, est à peine suffisant pour nourrir une personne. Par conséquent, certains pratiquants de Beijing donnèrent cent yuan à chacun d’entre eux. Une fille du nord est de la Chine n’avait pas de revenus car son entreprise tenue par l’état, avec quelques grandes et moyennes entreprises, avaient fait faillite. Elle avait vendu des légumes afin de se faire un peu d’argent pour assister aux conférences de Loi, et avec ce peu d’argent elle aidait d’autres personnes à assister aux conférences, aussi. Deux frères, qui étaient venus en portant leurs couvertures, vivaient comme des vagabonds sur la nourriture dont les gens leur faisaient don et dormaient dehors, exposés à toutes les intempéries.

Maître donnant les Conférences de Loi à la Seconde Session de Conférences de Loi à Guangzhou en 1993

On disait que plus de cinq mille personnes étaient venues et ceux qui sont venus plus tard ne pouvaient pas obtenir de tickets pour les conférences. Longtemps avant que la première conférence ne commence le matin du premier jour du séminaire, la place devant le gymnase n’était déjà qu’une mer de gens. Parmi eux, environ 500 n’avaient pas de tickets. Des pratiquants de Beijing leur ont donné leurs tickets. Au moment où les tickets étaient offerts, donneurs, receveurs et ceux qui regardaient avaient tous les larmes aux yeux. Après que la conférence ait commencé, des gens sans tickets restaient encore sur la place devant le gymnase. Leur persévérance toucha profondément le personnel du gymnase, qui fit une exception et ouvrit un bâtiment adjacent où ils installèrent une télévision connectée à un lecteur vidéo de sorte qu’ils puissent suivre les conférences.

La Cinquième Session de la Conférence de Loi à Guangzhou fut une occasion exceptionnellement grandiose. On pouvait voir que les gens attendaient ardemment d’obtenir la Loi. La conscience des êtres humains avait été éveillée et leur respect pour le Maître ne peut pas être exprimé par des mots. Un jour, les pratiquants arrivèrent très tôt, attendant patiemment debout de chaque côté du couloir entre la porte du gymnase et le hall à l’intérieur. Les foules ne laissaient aucun espace dans le gymnase excepté le couloir par lequel le Maître entrerait. Lorsque Maître est venu, il a été accueilli avec le plus grand respect. La grande révérence du plus profond du cœur de chacun pour le Maître surprit les ouvriers au gymnase. Ils demandèrent aux pratiquants : « Quel genre de personne est vôtre Maître ? Nous n’avons jamais vu tant de gens vouer autant de respect à quiconque. »

La Cinquième Session de Conférence de Loi à Guangzhou excita et encouragea les pratiquants. Nous réalisions quelle grande chose le Maître nous avait enseignée, et quel genre de route nous allions prendre sur les chemins de nos propres ‘cultivation’. Tout le monde prit la décision de pratiquer jusqu’à la fin.

La Cinquième Session de la Conférence de Loi à Guangzhou était la dernière classe que le Maître donnait en Chine Continentale. En à peine quelques années, le Falun Gong était au sommet de sa propagation en Chine.

Pour assister au cinquième séminaire, des gens avaient fait spécialement le voyage des USA, de Hong Kong et de quelques pays européens. Après être rentrées chez eux, ils devinrent le premier groupe de pratiquants de leurs régions et plus tard travaillèrent beaucoup pour propager la Loi dans le monde entier, offrant une grande contribution pour la Loi.

En me rappelant mon parcours de ‘cultivation’ durant les huit dernières années, je me suis beaucoup réjouie de ma chance de vivre au moment où Dafa était propagé, d’écouter les enseignements du Maître en personne, et de recevoir l’enseignement de la pratique par le Maître en personne. Quelle précieuse relation prédestinée était-ce là ? Beaucoup de gens m’envieraient pour une telle relation. Bien que durant ces années j’ai été confrontée à de nombreuses tribulations et beaucoup souffert, mes sentiments et ma mentalité étaient totalement différents du temps où je n’avais d’autre choix que de supporter la souffrance et les mauvais traitements avant ma ‘cultivation’ dans Dafa. Dans ma cultivation, après avoir souffert, j’ai clairement ressenti des matières sales être éliminées un morceau après l’autre de mon corps. À présent mon corps était plein d’énergie, ma vie pleine d’espoir, et je pouvais apercevoir un futur stimulant et magnifique.

En fait, la vie de chaque être était originellement magnifique. Du fait de l’ignorance des principes de l’univers, un être s’est causé beaucoup de karma et sa vie a sombré dans un abysse de souffrance. Maître nous a dit les vrais principes de l’univers, il a purifié nos corps, et nous a équipés de la Roue de la Loi Falun et de tous les mécanismes nécessaires à notre ‘cultivation’, ce qui nous a permis de nous cultiver nous mêmes dans Dafa et d’élever continuellement nos niveaux, à la fois physiquement et spirituellement. Les non pratiquants peuvent voir de la souffrance dans la vie des pratiquants, mais en tant que pratiquants nous sommes très heureux parce que nous sommes des êtres en train de s’élever et capables d’exister pour toujours avec l’univers. Dans le passé, ceci aurait été seulement considéré comme manifester la bonne volonté êtres humains, tandis qu’aujourd’hui nous sommes véritablement et sérieusement en train de marcher sur ce chemin, et nous sommes véritablement capables de sauter par delà l’abysse de souffrance et retourner à nos vraies origines.

Ça a été très dur pour nôtre Maître de répandre la Loi. Il l’a fait sans une seule minute ou seconde de repos durant les neuf années de propagation de la Loi. Il y a de nombreuses choses que nous ne saurons peut-être jamais et que nos cœurs ne pourront peut-être jamais retenir La solitude et la grandeur de son caractère moral et la vastitude et magnificence de sa sagesse, même un dix millième ne peut pas être exprimé dans un langage humain. En juillet 1999 en Chine Continentale, j’ai vu des stations TV et Radio fabriquer frénétiquement des rumeurs. Avec des motifs cruels, ils font naître les mauvaises pensées des gens. Non seulement des gens ordinaires, mais même certains pratiquants ont commencé hésiter. J’ai seulement ressenti que c’était pitoyable au point d’en être absurde. Comment peut on prouver le cœur du Bouddha de la perspective des notions humaines et juger les principes de Bouddha en utilisant la raison humaine ?

A ce dernier moment de rectification de l’univers en utilisant la Loi, nous devons suivre le Maître sur la voie en avançant comme nous l’avons fait jusque là, pour nous-mêmes et spécialement pour le futur éternel des êtres vivants dans l’univers.

(Note du traducteur: Le texte ci-dessus a été copié des articles suivants :

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/10/13/27517.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/10/15/27589.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/10/25/27794.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/10/26/27760.html)

Souvenir précieux, inoubliable enseignement

Par Guangyu

(Minghui.org)

En avril 1994, ma petite soeur m’a dit qu’il y aurait un enseignement du Falun Gong dans la ville de Jingzhou. Elle insistait pour qu’y assiste. J’ai trouvé une nonne bouddhiste âgée que je connaissais et l’ai interrogée là-dessus. J’ai dit, « Il va y avoir une classe de Falun Gong, il enseigne la Loi de Bouddha. Avez-vous jamais entendu parler de la Loi de Bouddha au cours de toutes ces années où vous avez été nonne ? » Elle a répondu, « Je n’ai jamais entendu parler de la Loi de Bouddha, je ne sais même pas ce que c’est. » Alors elle et moi avons prévu d’aller ensemble à la classe. Ce jour là, une bouddhiste laÏque est venu voir la nonne demandant elle aussi à devenir nonne. Elle ne savait pas que nous partions pour assister au cours du Falun Gong. Sous-entendant que nous prenions la nouvelle venue avec nous, la nonne me demanda, « Que faisons nous avec elle ? » « Suivons notre relation prédestinée, » ai-je répondu. Dès que j’ai parlé du cours à la bouddhiste laïque, elle a immédiatement dit qu’elle aussi voulait y assister. Comme j’avais de nombreux problèmes de santé (dont un cancer de la gorge depuis sept ans), j’avais perdu le sens de la soif, et n’avais pas sué depuis des années. Mais dès que je suis montée dans le train, mes mains et mes pieds ont commencé à transpirer une substance collante. Pus tard j’ai réalisé que le Maître avait commencé à purifier mon corps avant même que je le vois.."

En arrivant à Jingzhou, nous sommes directement allées au cours. Lorsque Maître est apparu sur le podium, j’étais si excitée. La nonne, qui avait été végétarienne pendant 40 ans, était assise à côté de moi. Elle m’a dit, « Je viens de voir La Bodhisattva Avalokitesvara, apparaissant comme une fille de 13 ou 14 ans avec des boucles d’oreille en or. Si solennelle et magnifique ! La Bodhisattva apparaît partout où le Maître prend la parole. Lorsque le Maître parle de la Loi de Bouddha, l’image sera celle d’un Bouddha. Lorsque le Maître parle de la Bodhisattva Avalokiteshvara , l’image apparaît comme celle de la Bodhisattva Avalokiteshvara , les mains émettant constamment des anneaux de lumière. Tant de Falun ont empli la pièce, comme des flocons de neige. » Cette nonne avait su dès son jeune âge qu’elle serait capable de voir la Bodhisattva Avalokitesvara si elle devenait nonne bouddhiste. Je suppose que c’était Bouddha qui l’avait menée à Dafa. Par la suite elle m’a dit, « Je ne vais plus être une nonne bouddhiste. Je ne pratiquerai plus que le Falun Gong. Maître est un Bouddha. Il vient au monde pour sauver les gens. »

Après deux conférences, la nonne comprenait déjà que Maître enseignait la Loi de Bouddha et la ‘cultivation’. Comprenant qu’elle avait été nonne Bouddhiste pendant tant d’années sans vraiment comprendre quelle école elle avait pratiqué, elle ne pouvait s’empêcher de pleurer. Le dernier jour des conférences, Maître répondait aux questions des étudiants. Parce que la nonne pleurait encore et qu’il ne restait pas beaucoup de temps, je suis allée interroger le Maître à ce sujet. Maître était assis sur un canapé à droite de l’estrade. Il m’ a egardée gentiment, je suis arrivée devant lui et ai dit, « Maître, il y a une nonne, et elle ne sait pas quoi faire. Elle pleure. » Maître m’a dit, « Allez lui dire que c’est la même chose. » J’allais repartir quand Maître m’a dit, « Revenez. Allez la chercher et amenez la ici. » Je suis allée chercher la nonne et toutes les deux nous nous sommes dirigées vers l’estrade. En arrivant près du podium, la nonne s’est soudain agenouillée en inclinant la tête des larmes coulant sur ses joues. Maître est descendu et l’a aidée à monter, en disant, « Ne soyez pas ainsi. » Il a aidé la nonne à avancer jusqu’au canapé. Elle était incapable de dire un mot à cause de l’émotion. Elle a simplement demandé, « Que dois-je faire ? » » Maître l’a regardée et indiquant le podium, lui a dit, « Ils sont tous là. Bodhisattva Avalokitesvara et Sakyamuni sont ici aussi. » En entendant les paroles du Maître, la nonne était remplie de joie. Elle a compris qu’il en était ainsi, et que les Divinités et les Bouddhas des cieux étaient tous venus pour aider le Maître à propager la Loi et sauver les gens ! Elle se sentait si chanceuse d’avoir l’opportunité d’entendre l’instruction du Maître et d’obtenir Dafa ! Une si grande chance !

Un jour le cours s’est achevé à 21h. Nous étions assises au dernier rang et fûmes donc les premières à sortir. Il pleuvait dehors. Nous nous éloignions du hall de la conférence lorsque j’ai vu le Maître de derrière sous la pluie. J’ai alors crié d’une voix forte « N’est-ce pas le Maître ? » Maître a entendu ma voix et s’est retourné pour nous sourire. Du train je regardais le dos du Maître s’éloigner à mesure qu’il marchait. A ce moment, je me suis demandée presque avec reproche, pourquoi les pratiquants d’ici n’ont-ils pas prévu une voiture pour le Maître. Comment pouvions nous laisser le Maître marcher sous la pluie ? D’autres maîtres de qigong étaient amenés et emmenés en voiture, mais nôtre Maître marchait sous la pluie.

Cette expérience inoubliable est encore pénétrante aujourd’hui. Comme si c’était arrivé hier. Chérissez l’opportunité d’aujourd’hui, nous l’avons attendu des milliers d’années. Ne la laissez pas passer !

(Copied from http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/11/17/28823.html)

Un souvenir précieux

Par des pratiquants de Dafa de la ville de Nanjing

Je suis un pratiquant de Falun Dafa de la ville de Nanjing, dans la province de Jiangsu. J’ai commencé à pratiquer Falun Dafa en 1996. Maître n’a pas donné de conférences dans la ville de Nanjing, alors les pratiquants de Nanjing avaient toujours voulu voir le Maître en personne. Peu après que j’ai obtenu la Loi, j’ai assisté à une conférence de partage d’expériences. Dans la conférence, un ingénieur que j’appellerais « T » de la province de Jiangsu a parlé de son expérience de rencontrer Maître dans un avion alors qu’il allait en visite à l’étranger. J’écris son expérience d’après mon souvenir pour la partager avec tous.

"J’étais allé en Amérique et avais rencontre Maître Li dans l’avion durant mon voyage de retour. En fait, Maître Li était sur le même vol que moi lorsque je suis allé aux Etats-Unis, mais alors je n’avais pas remarqué le Maître. Sur le vol de retour, j’ai vu un grand homme d’âge moyen marcher peu après que le vol ait commencé. Mes yeux se sont agrandis et j’ai pensé, « N’est-ce pas Maître Li ? »

"Je n’avais jamais rencontré Maître Li auparavant et n’avais pas commencé à pratiquer Falun Dafa, mais ma femme et ma fille cultivaient. J’avais vu Maître Li à la télévision alors qu’ils regardaient la vidé des conférences du Maître, et cela m’avait fait une profonde impression.

"Je savais que Dafa était bon et je respectais aussi beaucoup Maître Li. J’ai pensé en moi-même, “je ne dois pas manquer cette opportunité. » je me suis donc levé et j’ai dit, « Excusez-moi, puis-je vous demander si vous êtes Maître Li ? « Maître Li a dit avec un sourire, « Oui. » Après que Maître Li se soit assis, je voulais m’asseoir à côté de lui mais le pratiquant qui l’accompagnait n’était pas d’accord et il a dit, « Maître est très fatigué, et il a besoin de repos. » Le Maître a compris mes sentiments et il a dit à ce pratiquant, « Vous deux échangez vos places pour un moment, laissez le s’asseoir à côté de moi. » J’ai donc eu la chance de m’asseoir à côté du Maître. Je voulais parler à Maître mais je ne savais pas quoi lui dire. Le Maître ne parlait pas non plus. Il a pris un journal, a commencé à lire, et m’a tendu un autre journal. J’étais assis tranquillement mais ne pouvais pas me concentrer sur la lecture du journal. Je voulais de tout mon cœur demander certaines choses à Maître Li. Après être demeuré dans cette humeur conflictuelle pendant une demie heure, je me suis décidé à parler. J’ai dit, « Maître Li, je comprends le Falun Gong que vous avez enseigné, je vous respecte aussi beaucoup. » Maître a souri, mais n’a pas dit un mot, » Je voulais aussi apprendre le Falun Gong mais je n’ai jamais assisté aux cours du Maître, je souhaite que le Maître me donne un Falun.

"Maître Li m’a regardé et il a souri, comme un adulte regardant un jeune enfant innocent. Puis il a dit, « Lis le livre, Lis davantage le livre.” Mon visage est devenu tout rouge. Je savais que ma question avait été très naïve.

"Après un petit moment, j’ai du retourner à ma place à la demande répétée du pratiquant. Mais après que je me sois assis à ma place pendant un moment, j’ai voulu poser au Maître encore deux questions, et donc je suis allé encore une fois m’asseoir à côté du Maître pour lui poser encore deux questions. Le pratiquant m’a de nouveau demandé de partir.

"La troisième fois, Maître Li a demandé au pratiquant de me dire de venir m’asseoir à côté de lui. Maître m’a demandé de regarder par la fenêtre. J’ai soudain vu un très grand anneau coloré de lumière sous l’aile de l’appareil. C’était très beau et spectaculaire.

"Avant de dire au-revoir à Maître Li à Beijing, je lui ai dit, 'Les pratiquants de Dafa de Nanjing souhaitent que Maître puisse venir à Nanjing donner une classe. » Maître a Li a dit, “Nous devrons attendre la juste opportunité. L’emploi du temps de cette année est déjà complet. » J’ai dit aussi, « Maître pouvez vous donner quelques suggestions aux pratiquants de Nanjing ? » Maître Li a dit, “Vous devriez lire les livres davantage, lire les livres davantage, et lire les livres davantage.."

(Copied from http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/1/19/31081.html)

Souvenirs précieux

Par Hui Lian pratiquant de Dafa de Chine

[Clartés et sagesse] J’ai été très touché lorsque j’ai lu l’article d’un pratiquant intitulé « Suivre le Maître des milliers de kilomètres à travers la Chine. » Cela m’a rappelé mon expérience de suivre le Maître à Chengdu, dans la province de Sichuan, et d’assister aux conférences du Maître en personne de nombreuses fois. J’ai eu des expériences similaires à celle de l’auteur et j’ai vu toutes sortes de difficultés durant les 10 ans de transmission de Dafa dans le monde humain.

Je ne suis pas très éduquée, mais j’étais dans une position unique d’avoir vu comme il était dur pour le Maître de propager la Loi au début. Je veux faire de mon mieux pour l’écrire, le partager avec mes compagnons de pratique, dénoncer les mensonges, et valider Dafa. C’est aussi un processus pour moi de briser les blocages des vieilles notions.

Souvenir 1

J’ai quitté ma maison, et j’ai du errer d’un endroit à l’autre à cause de la persécution. Peu avant la veille du dernier Nouvel An, je n’ai pas trouvé d’endroit où vivre. Je pensais, « Le Dafa de l’univers est actuellement persécuté, Maître est calomnié, l’esprit des chinois est empoisonné, et les pratiquants qui sont forcés à partir de chez eux ne peuvent pas trouver d’endroit où demeurer ! » Je me sentais triste et Maître me manquait beaucoup. Je suis allée dans les rues où Maître avait marché et suis allée dans le Jardin Fangze dans le parc Ditan. Je me suis assise sur un rocher pendant un long moment et me suis souvenue des scènes de la conférence de Loi tenue en décembre 1996. Le souvenir était très vivant dans mon esprit. Nous avons eu la Conférence de Loi le matin et les partages d’expériences l’après midi. Après les exercices de groupe, nous avons dîner ensemble dans deux les deux principaux halls. Maître est venu se joindre à nous. En voyant le Maître, tout le monde s’est levé immédiatement, certains ont applaudi, certains ont pressé leurs paumes ensemble dans le geste de respect de « Heshi ». Nous manifestions tous notre respect au Maître. Maître a souri et marché tout autour. Il ne s’arrêtait pas, il continuait à nous faire signe, «Asseyez-vous tous. Continuez à manger. Appréciez votre repas. Je reviendrai vous voir dans un petit moment.” Plus tard, j’ai entendu que Maître venait de revenir des Etats-Unis. Il s’était précipité à l’endroit de la rencontre dès qu’il était descendu de l’avion, et n’avait pas dîner lui-même. Après le dîner, Maître est revenu et a enseigné pendant plus de 40 minutes. En me souvenant de la voix du Maître et de ses sourires, j’ai pensé à ma chance et ne pouvais cesser de pleurer. Tout à coup, je n’ai plus ressenti de souffrance. En pensant au Maître mettant toute son énergie à sauver les êtres, notre comportement aujourd’hui doit être digne du Maître et digne de Dafa !

Souvenirs II

L’été 2001, quelqu’un m’a trahie et a conduit les gens du “Bureau 610” et sept ou huit officiers de police dans deux voitures de police pour m’arrêter. Il s’est trouvé que je n’étais alors pas chez moi, ils ne m’ont donc pas trouvé. Ils ont adopté tous les moyens possibles, durs et doux, envers les membres de ma famille, qui ne sont pas pratiquants. Ma famille a été trompée et a commencé à aider la police.

A l’époque, je n’avais pas réalisé qu’un problème existait à l’intérieur de mon propre espace. Mes membres de famille sont venus me trouver et ont essayé de me forcer à aller dans une classe de lavage de cerveau. Je leur ai dit sérieusement, « La Loi est profondément ancrée dans mon cœur. Je suis déterminée à prendre cette voie, et personne ne devrait penser à m’influencer. » J’éliminais sans cesse les facteurs pervers derrière eux et les débarrassai de leur pensée d’appeler la police cette nuit-là. Ils ont été d’accord pour me laisser dormir quelques heures et me laisseraient partir le lendemain. Je les ai entendus murmurer qu’ils appelleraient le véhicule de police pour qu’ils viennent me chercher dans la matinée. Aux environs de 2h de l’après midi, j’ai pensé, « Je ne devrais pas suivre du tout la perversité. Chacun de mes pas doit être droit. Je suis une particule de Dafa. » Puis je n’ai cessé d’émettre des pensées justes pour éliminer les facteurs pervers dans d’autres dimensions qui contrôlaient ma famille et ai demandé que la porte ne soit pas fermée. Chaque nuit à minuit, la porte est fermée et ré-ouverte à 6h du matin. Je ne devais pas me laisser mener par mon sentiment mais devais partir avant l’aube. La serrure s’est ouverte avec une légère torsion, et j’ai franchi le « blocus » facilement avec mes fortes pensées justes. Il pleuvait ce jour-là. J’ai marché au hasard pendant toute la journée, sans avoir à dix heures trouvé d’endroit où passer la nuit. Debout sur un pont, j’étais fatiguée, j’avais soif, faim et froid. Notre ancien site de pratique était juste au-dessous du pont. Des événements passés sont apparus devant mes yeux un à un.

J’avais vu nôtre Maître enseigner en personne, dans les débuts, et il m’avait personnellement appris les exercices. Dafa est bon. Maître est bon. Bientôt, nous avons été plus d’une dizaine à pratiquer sur notre point de pratique. Nous étudiions la Loi et nous exercions ensemble et partagions nos expériences. C’était une terre si pure. Aujourd’hui, j’ai perdu contact avec ces pratiquants à cause de la persécution. En pensant au passé et à aujourd’hui, j’avais envie de pleurer mais n’avais pas de larmes. Comment est-ce que je valide la Loi maintenant ? Soudain, j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose d’incorrect dans mon esprit. J’ai éclairci mes pensées, ajusté mon état d’esprit, et me suis calmement demandée à moi-même « Quelle est ta responsabilité ? » J’ai vu le Maître rencontrer les assistants et enseigner en janvier 1995. Après que j’ai ajusté mon état d’esprit, j’ai analysé la situation rationnellement. Actuellement, les anciennes forces prennent avantage de notre pensée humaine. D’un côté, elles nous séparent et essaient de nous détruire. De l’autre côté, je pense que cela peut être attribué au fait que nous n’avons pas suffisamment étudié la Loi comme un seul corps. Rien n’est accidentel. J’en suis responsable. Je n’ai pas bien fait dans ma cultivation.

Maître nous a enseignés, “Bien guider un groupe de pratiquants accumule un mérite et une vertu sans limite. Mais si vous ne guidez pas bien les gens, je dirais que vous n’avez pas accompli votre devoir. » (Expliquer le Contenu de Falun Dafa)

C’est vrai je n’ai pas rempli mon devoir et ai causé tant de pertes à Dafa. Maître ! j’ai honte devant Dafa et devant vous. A ce moment, je ne me suis plus sentie perdue. Je me suis dit à moi-même que je ne devais pas être indigne des attentes du Maître. Je dois aborder correctement chaque pas de ma rectification de la Loi, être responsable envers les gens, et envers le Dafa universel. Je me suis fixée une devise pour moi-même, « Un Maître, une Loi. Crois fermement, sois déterminée, cultive fermement et va jusqu’au bout du chemin. » Je peux vaincre toutes les tribulations. A part éliminer les perversités qui me persécutent, je me suis dit à moi-même que je ne devrais pas être perturbée parce que je n’ai pas pu trouver un endroit où vivre. Rien ne pourrait me détruire. Comme dans le dicton « Le ciel est la couverture, la terre est le lit, l’arrosage de la pluie est comme la douce rosée. » Personne n’est aussi libre que moi. Plus tard cette nuit-là, miraculeusement, j’ai découvert un endroit provisoire où rester. Puis j’ai trouvé un endroit le jour suivant et ai commencé mon nouveau parcours de rectification de la Loi.

Souvenir III

Dans la seconde moitié de 2001, les pratiquants ont eu beaucoup de difficultés à se trouver l’un l’autre, et il n’y avait que peu de documentation clarifiant la vérité sur la persécution. Les pratiquants n’étaient pas capables de lire les nouveaux articles du Maître lorsqu’ils étaient publiés et incapables de tenir de grands événements de partage d’expériences. Sous toutes les pressions, j’en suis venue à clairement comprendre la responsabilité de chaque disciple de Dafa de sauver les êtres humains, et je n’ai pas attendu ni dépendu de qui que ce soit d’autre. J’ai commencé à utiliser toutes les opportunités possibles pour rétablir le contact avec les anciens pratiquants que je connaissais et reformer le groupe de nouveaux pratiquants de ma région. Pour ces pratiquants qui étaient trompés par la propagande de la perversité, je n’ai jamais abandonné l’espoir en eux quelles que fussent les circonstances et leur ai offert un encouragement. Maître ne laisserait aucun véritable pratiquant en arrière et cela m’a rappelé quelque chose qui s’est passé au début de 1994.

Un pratiquant vétéran m’a dit que dans les premiers jours des classes d’enseignement en Chine, chaque étudiant remplissait une étude concernant leurs conditions de santé et Maître les lisaient une par une. Le nombre d’étudiants augmentait énormément à l’époque. Ils venaient de toute la Chine. Quelquefois les assistants pour le séminaire du Maître se levaient tôt le matin pour le trouver encore en train de lire les études une par une. Après chaque conférence, Maître demandait toujours à chaque étudiant d’écrire ses expériences de sorte qu’il puisse les lire. Il y avait tant d’étudiants. Qui pouvait imaginer combien d’articles Maître lisait chaque jour ? Certains des étudiants qui aidaient Maître à tenir les séminaires disaient souvent, « je ne sais quand le Maître va dormir. Habituellement quand le jour se lève, je le vois encore concentré sur la lecture des articles de partage d’expérience. Lorsqu’il arrivait que je revois le Maître alors, il avait avec lui des articles d’expériences d’élèves partout où il allait et les lisait dès qu’il avait du temps libre. Il était véritablement responsable envers chacun de ses élèves ! Quelquefois je voyais que les rapports de certains élèves étaient très confus et difficiles à lire et j’étais vraiment désolée pour le Maître qui devrait essayer de les lire tous. Même dans la vie quotidienne, les rapports remis à nos professeurs et superviseurs doivent être propres et ordonnés.

De nombreux pratiquants, même jusqu’à aujourd’hui, peuvent ne pas vraiment réaliser à quel point il était difficile pour le Maître de veiller sur chaque étudiant alors, mais il n’a jamais cessé d’espérer en chacun en dépit de cela. Nôtre Maître n’abandonnera pas une seule relation prédestinée et ceci montre à quel point il est grand et compatissant. Tout cela est comme ce qu’il a dit dans « Eliminez le dernier attachement ». (Essentiels pour un avancement diligent II), « La vérité est que je vous chéris plus que vous ne vous chérissez vous-mêmes ! » Maître a vraiment supporté beaucoup pour ses disciples et pour tous les êtres

Sous cette lumière, j’ai réalisé qu’il est de la responsabilité de chaque pratiquant de s’aider et s’encourager mutuellement dans la période de la rectification de la Loi et de ne jamais perdre espoir en ces pratiquants qui ont été trompés par la propagande perverse. Après avoir réalisé ceci, j’ai commencé à contacter davantage de pratiquants, et ensemble en tant que groupe nous avons commencé à émettre des pensées justes pour éliminer les êtres mauvais qui persécutent Dafa et les pratiquants de Dafa et font dévier les pratiquants. J’ai émis des pensées justes pour tous les pratiquants qui pratiquaient autrefois mais qui ont abandonné et leur ai dit que ce genre d’opportunité est très difficile à retrouver et de ne pas rester en arrière dans la période de la rectification de la Loi.

Souvenir IV

Je ne suis pas sortie valider Dafa et exposer le mal dans les étapes du début de la rectification de la Loi. A l’époque, je ne savais pas quoi faire, et suis restée à la maison pour étudier la Loi toute la journée, pensant que j’étais sur la bonne voie. Mais à partir du début de 2000, lorsque Maître a publié ses nouveaux articles commençant par «Voir la vraie nature », je me suis éveillée à ma responsabilité de sortir et valider Dafa et exposer le mal. Dans « Rationalité » (Essentiels pour un avancement diligent II), Maître a dit, « Vous devez permettre aux gens dans le monde de connaître leur perversité – c’est sauver les gens, également. » Lorsque j’ai décidé de sortir, je ne pouvais trouver aucun document pour clarifier la vérité et je pensais que si je pouvais seulement obtenir une copie de matériaux de clarification, je saurais quoi faire ensuite. J’ai donc décidé de ne pas attendre et j’ai immédiatement commencé à agir en fabriquant moi-même quelques documents. Après être sortie un petit peu pour valider Dafa, j’étudiais la Loi de nouveau et sentais que le Maître avait été très clair sur la nécessité de sortir. Pourquoi avais-je été incapable de le réaliser avant ? Après avoir regardé en moi-même j’en ai découvert la raison : mes attachements à l’égoïsme et à la peur et ma mentalité obstinée de toujours penser que j’avais raison, combiné à une attitude irresponsable et un cœur peu droit. Aux alentours de la fête nationale 2000, je ne pouvais plus attendre et ai porté une bannière avec les mots « La Loi Rectifie l’Univers » sur la place Tianamen avec plusieurs autres pratiquants.

Je me souviens encore très vivement de ce qui s’est passé Place Tiananmen ce jour là. Il y avait environ une centaine de pratiquants qui étaient venus jusqu’au centre de la place, et j’étais l’un d’eux. Les policiers en civil et en uniformes et les voitures de polices étaient partout regardant les pratiquants de Falun Dafa. Mon esprit était très droit et je n’avais au cœur aucune crainte lorsque j’ai déployé la bannière « La Loi Rectifie le Cosmos. » Lorsque la police et leurs voitures sont arrivés pour m’attraper, je les ai regardés et ai dit, « Que faites-vous ? » Dès que j’ai eu prononcé ces mots on aurait dit qu’ils avaient reçu une décharge électrique et ont relâché leurs mains sur moi en reculant simultanément. J’ai fait l’expérience de la magnificence et du pouvoir tout puissant d’ « Un esprit droit peut venir à bout de cent perversités. » (Zhuan Falun) Je suis rentrée chez moi saine et sauve le même jour et immédiatement j’ai pris des matériaux clarifiant la vérité pour sortir et continuer à valider la Loi et marcher sur mon nouveau chemin de rectification de la Loi

Souvenir V

Chaque jour depuis le 20 juillet 1999, avait paru un ans. D’attendre la fin de la persécution à valider la Loi ouvertement et noblement, nous sommes graduellement devenus de plus en plus mûrs durant cette période. Les rumeurs et la diffamation de Dafa sur la TV m’ont rendue plus claire et plus ferme dans ma croyance en Dafa. Je me souviens une fois où le directeur et le secrétaire du comité de voisinage sont venus chez moi pour tâcher de me forcer à renoncer à la ‘cultivation’. J’ai montré du doigt la télévision et leur ai dit, « Je regarde les nouvelles sur la télévision chaque jour. Ce qui est dit diffère complètement de ce dont j’ai fait l’expérience. Ce sont les pratiquants qui lisent chaque jour Zhuan Falun et qui connaissent le mieux ce qui est écrit dans ce livre. Nous pratiquons le Falun Gong et cultivons notre xinxing (caractère moral) chaque jour. Nous sommes aussi ceux qui sont le plus clairs sur ce que nous faisons chaque jour. Par exemple, je mange une poire chaque jour. Qui peut décrire le goût de la poire, moi, où quelqu’un qui n’en a jamais mangé ? Comment pourrais-je vous croire et vous suivre ? » Ils se sont tus immédiatement. Puis le leur ai dit sévèrement, mais avec une attitude paisible, que s’ils voulaient me demander ce qu’est Falun Dafa et ce qu’est la ‘cutlivation », ils étaient les bienvenus à n’importe quel moment. Cependant, s’ils voulaient me parler d’autre chose, alors ils feraient mieux de ne pas perdre leur temps. Ils ne sont pas revenus depuis.

Quand il m’arrivait de voir les rumeurs et la diffamation de Maître Li sur la télévision, je ne pouvais pas empêcher mes larmes de couler . La Loi se propage dans le monde humain, j’avais assisté aux tribulations rencontrées par Dafa et aux épreuves auxquelles était confronté Maître Li en propageant la Loi. Comment les rumeurs haineuses n’auraient elles pas profondément blessé le cœur d’un disciple ?

Je me souviens qu’à la Foire de Santé Internationale de 1992 à laquelle j’assistais il y avait le Bâtiment du Commerce International. Lorsque je suis entrée dans le hall, diverses formes de Qigong éblouissaient les yeux. J’a vu que le file d’attente pour le Falun Gong était la plus longue et avait le plus de gens, alors je me suis précipitée à l’avant pour jeter un coup d’œil. Une énorme excitation s’est levée dans mon cœur. Au premier coup d’œil, j’ai vu un « jeune homme » avec une haute stature et un visage gentil s’adresser à un journaliste. A ce moment, j’ai dit à l’amie qui m’accompagnait, « Ce doit être le Maître de Qigong. » « Comment sais tu cela ? « m’a-t-elle demandée. « Un feeling, » ai-je répondu.

C’était très étrange, et alors que je le dévisageais j’ai senti que j’avais déjà vu cette personne (Maître Li) avant quelque part, où que nous avions fait quelque chose ensemble, mais je ne pouvais pas me souvenir clairement, malgré mes efforts. Il m’était vraiment familier ! Je le regardai attentivement, de la tête au pied. Il portait un manteau ordinaire, avec un vieux sweater, d’un brun léger dessous (qui semblait tissé à la main, mais plus tard j’ai découvert que le sweater était reprisé) Ses pantalons et ses chaussures étaient aussi usagés, mais très propres. Il semblait très abordable.

Souvenir VI

Je me souviens de quand j’ai assisté à la conférence de Tianjin, j’ai remarqué que Maître Li descendait toujours dans un hôtel peu coûteux. Après la conférence, Maître avait souvent beaucoup de choses sont il devait s’occuper. Lorsqu’il retournait à l’hôtel, il était souvent 9h à 1h du soir, et chaque soir Maître ne prenait comme dîner qu’une soupe de nouilles instantanée.

J’ai remarqué aussi (je l’ai remarqué naturellement parce que j’ai assisté à de nombreuses conférences) que Maître changeait rarement de vêtements mais qu’il prêtait attention à son apparence et était habillé très simplement. A part lors des changements de temps, Maître Li portait toujours les mêmes vêtements. Une fois, j’ai interrogé là-dessus les pratiquants qui connaissaient le Maître, et j’ai appris que Maître lavait ses vêtements chaque soir pour les remettre le lendemain. J’ai observé que le Maître achetait rarement de nouveaux vêtements, car il avait de très rares pièces vestimentaires. Lorsque Maître donna les conférences à Tianjin, ses vieilles chaussures, qui avaient été portées des années, étaient usées. Mais il ne voulait pas les remplacer par une nouvelle paire. Plusieurs disciples insistèrent vivement pour l’accompagner au magasin et lui achetèrent une paire de chaussures.

Lorsqu’il arrivait que plusieurs de nos pratiquants vétérans se rassemblent, nous ne pouvions pas nous retenir de mentionner le Maître. Une fois nous parlions de la conférence à Tianjin. Je me plaignis des pratiquants qui travaillaient avec le Maître. Pourquoi ne prenaient-ils pas davantage soin du Maître au lieu de le laisser se nourrir de nouilles instantanées chaque jour ? Cependant, une pratiquante me dit que ça n’était pas seulement arrivé à Tianjin. Maître Li mangeait souvent des nouilles instantanées. Elle mentionna aussi que Lorsque Maître sortait enseigner la Loi au tout début, c’était très difficile. Les fonds collectés durant la conférence n’étaient parfois pas suffisants pour couvrir le coût de location de la salle, parce que le loyer en était fixé indépendamment du nombre de gens qui assistaient à la conférence. Le budget était très serré. Elle me dit aussi, « Maître ne nous a jamais dit quel était son niveau social. Je ne voyais Maître que comme un enseignant exemplaire, bienveillant et paisible. Je sentais que Maître n’était pas un maître de Qigong ordinaire. Dans mon cœur, je savais que Maître Li était tellement plus que ça. Lorsque Maître a donné des conférences dans ma ville natale, je l’ai invité souvent à prendre un repas chez moi, parce qu’il habitait loin de la salle de conférence, ce qui lui demandait plusieurs heures pour faire la navette. Maître n’aimait pas manger de viande. La nourriture végétarienne lui suffisait. En cuisinant et en demandant à Maître Li ce qu’il voulait avoir, Maître disait toujours, « Je mangerais ce que tout le monde mange. Ne vous donnez pas de peine, faites un repas simple. » Une fois Maître a dit avec humour, « J’aime le pain à la vapeur de Shandong que vous faîtes. » Comme il disait ceci , il a mordu dans le pain chaud et dit qu’il était bon. En fait, Maître Li pensait toujours à ses disciples. Il ne voulait ennuyer quiconque, et il ne voulait pas que nous dépensions d’argent.

Elle m’a dit aussi qu’une fois, après le déjeuner, il y avait des restes de nourriture dans une assiette ainsi que de la soupe de légumes. Ce soir là, lorsqu’ils sont revenus de la conférence, elle a dit au Maitre, « C’est très facile de cuisiner un plat végétarien. »

Mais Maître a dit, “Je me contenterais des restes.”

Elle essaya de dire au Maître qu’habituellement ils ne mangeaient pas aussi simplement. Elle pensait, « Comment puis-je laisser le Maître manger un reste de soupe de légumes ? »

Mais l’expression de Maître était sérieuse et il indiqua les restes (la soupe de légumes restante) et dit, « Je mangerais les restes. » L’humeur du Maître était très ferme, et à ce moment, cela sembla un ordre que personne ne pouvait contredire. Maître Li versa la soupe de légumes dans son bol, avec d’autres nourritures et mangea calmement.

En entendant cela, tout le monde eut des remords. Mes yeux étaient mouillés de larmes. Maître, vous avez souffert ! Vos disciples ne pouvaient exprimer leur respect même avec des milliers et des milliers de mots. Chacune de vos paroles, chacune de vos actions était si touchante. J’ai senti que je n’avais pas bien fait moi-même, j’étais vraiment indigne de l’instruction et de l’enseignement du Maître.

Souvenir VII

La Télévision Centrale Chinoise et le “Bureau 610” propagèrent la rumeur que le Maître n’était pas capable d’écrire Zhuan Falun , et que le livre avait en fait été écrit par tel et tel. Lorsque j’entendis que CCTV allait jusqu’à propager des mensonges aussi mauvais, j’ai vraiment senti que le Gouvernement Chinois perdait la face. Je suis témoin ! Je suis honorée d’avoir été capable de participer à transcrire les enseignements enregistrés initialement. Zhuan Falun fut transcrit mot par mot des enseignements du Maître à Changchun, Jinan, Zhengzhou, Dalian, etc , il nous fallut à peu près six jours pour finir. L’été 1994, j’ai accepté cette tâche sacrée et ne me suis pas relâchée le moins du monde. Du fait que mon niveau d’éducation n’était pas élevé, je ne savais pas écrire de nombreux caractères dans la conférence de Maître. Même ainsi, j’ai vérifié le dictionnaire en passant la conférence une phrase après l’autre. Puis je les ai transcrits mot à mot avec un magnétophone en l’absence d’un meilleur équipement de transcription. Ensuite, je les ai copiés en caractères sans omettre un seul mot. Travaillant jour et nuit pendant des dizaines d’heures, plus de dix pratiquants ont finalement terminé la tâche de transcription à temps. La transcription a plus tard été envoyée à d’autres pratiquants pour qu’ils la tapent puis elle a été remise au Maître pour correction. Je connaissais l’importance de cette tâche. Me rappelant comment je me suis agenouillée sur le sol appuyée penchée sur le canapé pour faire cela parce que ma famille dormait et je devais travailler sur le canapé du couloir, et en voyant les mensonges honteux à la télévision, je n’avais pas d’autre choix que d’écrire ce dont j’avais fait l’expérience.

Je n’ai jamais écrit d’articles jusque là. Pourtant, en tant que disciple de Dafa, je sens fortement qu’il est de mon devoir de rendre compte de la gloire du Maître et de Dafa, pour aider davantage de gens à apprendre la vérité, et exposer la fourberie des mensonges. Si je n’avais pas de profondes impressions laissées par les enseignements du Maître ou l’exemple qu’il a donné, mes pensées justes ne seraient pas si fortes. Je suggère que davantage de disciples vétérans écrivent leur expériences personnelles et rendent publique l’authentique grandeur du Maître, afin que nos compagnons de pratique puissent devenir plus diligents et les gens du monde plus clairs.

(Copied from http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/18/32266.html, http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/25/32540.html, http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/28/32696.html)

Se souvenir des épreuves du Maître et de sa pureté droite au cours du processus de transmission de la Loi

Par Liu Xinyu

[Clartés et sagesse] Je n’étais pas un pratiquant diligent et j’ai souvent trébuché sur mon chemin de ‘cultivation’. J’ai honte de dire que, bien que j’ai vraiment senti le Falun tourner et ai vu le Fashen du Maître lorsque j’ai commencé à pratiquer les exercices, j’ai quand même douté de Dafa et du Maître.

Ce n’est que quand un pratiquant vétéran m’a dit quelque chose qui était arrivé à Wuhan que j’ai laissé tomber mes doutes sur le Maître. Je ne me souviens pas exactement à quelle conférence c’était, mais un jour lorsque Maître a fini son enseignement et est sorti de l’auditorium, un pratiquant l’a suivi à distance, curieux de savoir où Maître allait. Il a vu Maître accélérer et traverser rapidement la rue, suivi par une voiture. Le véhicule s’est arrêté à côté de lui et quelques personnes sont sorties. Elles ont demandé au Maître de monter dans la voiture mais il leur a dit quelques mots déclinant leur proposition. La voiture est partie. Maître a continué à marcher et a trouvé un vendeur vendant des brioches à la vapeur et en a acheté quelques unes pour le déjeuner. Le lendemain, le pratiquant s’est trouvé voir ces personnes qui étaient la veille dans la voiture et les a reconnues comme l’Association de Qigong locale. Les conférences du Maître étaient habituellement parrainées par les Associations de Qigong locales, qui traitent conventionnellement les maîtres de Qigong en visite avec trois repas par jour, mais Maître a rejeté leur offre. Ils ont dit que tous les maîtres de Qigong acceptaient leur invitation excepté Maître Li, qui ne suivait pas la coutume corrompue.

Aujourd’hui, j’écris cette histoire pour m’encourager moi-même ainsi que mes compagnons de pratique. Souvenons nous des épreuves du Maître en introduisant la Loi au public, suivons de près la Rectification de la Loi, et ne décevons pas le Maître

Je demande aussi à tous les pratiquants d’écrire ce qu’ils savant à propos du Maître, de sorte que les gens sachent sa grandeur et sa bienveillance. Cela peut aider à exposer le mal et permettre aussi à davantage de gens de respecter Dafa et Maître, plantant par conséquent les graines de la ‘cultivation’ dans leurs cœurs. Cela peut aussi permettre aux futurs disciples de Dafa de connaître la Loi, permettant à Dafa de se transmettre sans à coups et inchangé à la prochaine génération.

(Copied from http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/3/2/32698.html)

Un incident qui a eu lieu lorsque Maître donnait des conférences en Chine

Un pratiquant de Dafa de Chine

J’ai commencé à pratiquer Falun Dafa en 1999. Un incident s’est produit durant le temps où Maître Li enseignait en Chine. Cette histoire, dont beaucoup de pratiquants se souviennent, a profondément affecté mon chemin de cultivation, ainsi je n’ai pas pu l’oublier

C’est arrivé après que Maître ait fini ses conférences à Yanji, dans la province de Jilin, et était sur le point de partir. Maître et plusieurs directeurs de centres d’assistance ont pris un taxi pour aller à la gare. Après y être arrivés, Maître a insisté pour payer le chauffeur du taxi. Les gens autour de lui ne comprenaient pas. Il a expliqué que son enseignement à Yanbian avait pris fin et que tous les comptes avaient été remis à zéro. Puisqu’il n’existait plus de relation financière, il voulait payer, car il ne voulait pas prendre un centime de ses étudiants.

L’incident a fait son chemin parmi les gens, et il a grandement influencé les pratiquants. Je continue à le raconter à des pratiquants. Cette opportunité m’a enseigné à être attentif à comment me conduire. Maître montre à ses disciples, à travers ses actions, comment ils doivent gérer certaines situations.

(Copié de )

Traduit bénévolement en France de l’anglais le 6/12/2004