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New York : Les pratiquants planifient d’organiser des activités pour la journée internationale des Droits de l’Homme pour demander aux Nations Unies de condamner la persécution (Photos)

17 décembre 2004

(Minghui.org)

Le 10 décembre est la Journée Internationale des Droits de l’Homme et les pratiquants dans la région de New York vont organiser une conférence de presse sur le plaza en face du siège des Nations Unies et vont écrire une lettre aux Nations Unies. Ils vont demander aux Nations Unies de porter leur attention sur la persécution brutale actuelle contre les pratiquants qui dure depuis plus de cinq années, afin d’aider à sauver les orphelins et les parents de pratiquants qui ont été tués pendant la persécution, afin d’aider à arrêter la persécution et afin de soutenir les efforts pour faire juger Jiang Zemin, le criminel en chef.


Wang Jing, orphelin du pratiquant Duan Shiqiong de Chongqing


Liu Mohan, orphelin du pratiquant Liu Chenjun

Le pratiquant Feng Keran, professeur de gestion à l’université de New York, a dit qu’il a été confirmé qu’au moins 1150 pratiquants ont été tués pendant la persécution depuis que le régime de Jiang a commencé à persécuter le Falun Gong en juillet 1999 et la persécution a fait que plus de 300 orphelins de pratiquants sont sans domicile. Il a dit : « Des centaines de milliers de pratiquants, dont nos parents, sont toujours détenus dans des camps de travaux, des prisons et des hôpitaux psychiatriques où ils souffrent de tortures inhumaines et brutales ».

Le Professeur Feng a dit que Jiang et son régime ont utilisé les méthodes les plus vicieuses et les plus brutales de l’Histoire pour persécuter les pratiquants. Plus de cent méthodes de tortures ont été utilisées pour forcer les pratiquants à dénoncer le Falun Gong. Les méthodes de torture consistent entre autres à enfoncer des bâtonnets de bamboo sous les ongles des doigts, suspendre et frapper les pratiquants, les priver de sommeil pendant longtemps, le gavage brutal, choquer les parties sensibles des corps des pratiquants à l’aide de matraques électriques de haut-voltage, le viol (par exemple, la pratiquante Wei Xinyan, une étudiante de 28 ans diplômée de l’université de Chongqing, a été violée par un policier en face de deux détenues), et forcer les pratiquants à manger des excréments humains et de l’urine (le Professeur Feng Guangye a été torturé de cette manière).

Il a dit que les méthodes de torture employées sont trop nombreuses pour être comptées une par une. « Nous faisons appel à toutes les nations pour condamner ensemble et aider à faire cesser la persécution brutale ».

Le Professeur Feng continue : « Les pratiquants du monde entier sont venus dans cette capitale financière pour clarifier la vérité à propos de la persécution en organisant différentes activités telles que des expositions contre la torture. De nombreux New Yorkais ont appris les faits sur le Falun Gong et ont signé leur nom pour nous soutenir. Jusqu’à maintenant, les pratiquants ont rassemblé plus de 35 000 signatures. Un représentant des pratiquants va remettre ces signatures aux Nations Unies lors de la journée internationale pour les Droits de l’Homme ».

 « Nous voulons prendre cette opportunité pour demander aux Nations Unies de porter leur attention sur les graves violations des Droits de l’Homme actuelle contre les pratiquants. Cela a duré cinq ans et dure encore et nous voulons que les Nations Unies condamnent publiquement la persécution et aident à sauver les orphelins et les parents de pratiquants qui ont été persécutés à mort », a déclaré Keran.

Afin de forcer les pratiquants de Falun Dafa à donner leur nom et adresse, la police leur tord les bras vers l’arrière dans la position la plus extrême, leur tire les cheveux et leur frappe la tête contre les murs. Parfois la police pousse de force la tête du pratiquant dans une cuvette de toilette remplie d’excréments.


La police de la ville de Shenyuang, dans la province de Laoning a inséré plus de 100 punaises sur le corps de chaque pratiquant

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La police attache les mains des pratiquants et ensuite les suspend. Ils frappent ensuite les pratiquants avec des matraques recouvertes de clous. Parfois les coups durent plusieurs heures.

Traduit le 14 décembre 2004 en Suède de l’anglais