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Grâce aux soins bienveillants du Maître, il a été possible pour moi d’être là où je suis aujourd’hui

27 décembre 2004 |   Écrit par une pratiquante de la province de Guangdong

(Minghui.org)

Depuis mon enfance j’avais une mauvaise santé et j’ai failli mourir à l’âge de 8 ans quand j’ai attrapé l’hydrocéphalie (accumulation de fluide dans le cerveau). J’ai souffert des effets de la maladie. Par conséquent, avoir des maux de tête était une chose courante. Pour être plus spécifique, les maux de tête m’attaquaient au moins une fois par mois et j’étais si affligée qu’il m’arrivait parfois de vouloir mourir.

En juillet 1998, mon mari a emprunté un exemplaire de Zhuan Falun(1). Il a lu le livre avant et l’a trouvé très bon et alors il m’a demandé de pratiquer les exercices de méditation avec lui. Au début, je ne portais pas très attention aux exercices. Je me disais que puisque même les médecins célèbres ne pouvaient pas guérir ma maladie, les exercices n’auraient pas d’effet sur moi. En septembre, j’ai assisté à la conférence d’échanges d’expériences de cultivation du Falun Dafa dans notre ville. Dans la conférence, j’ai vu la photo de Maître et le diagramme du Falun pour la première fois et j’ai entendu beaucoup d’histoires vivantes de cultivation. Je me suis rendue compte plus tard que mon mal de tête, qui était revenu à cette période là, avait disparu sans que je m’en aperçoive. Ma confiance envers la pratique s’est agrandie. Comme mon enfant avait besoin de mon attention, je ne participais pas aux exercices en groupe. Quand mon fils est devenu plus grand, mon mari a proposé de rester à la maison et de s’en occuper afin que je puisse me joindre à la pratique en groupe. Après avoir participé aux exercices en groupe, j’ai progressé rapidement et j’ai pu finalement m’asseoir dans la position du lotus, chose que je n’ai jamais osé essayer auparavant. Sept ou huit jours après, la persécution a commencé comme si elle éclipsait le ciel et couvrait la terre.

Je persiste dans ma croyance envers le Dafa et je valide la Loi

Après le 20 juillet, je me suis consacrée entièrement à étudier la Loi et à pratiquer les exercices de méditation à la maison pendant très longtemps. En étudiant les nouveaux articles du Maître et en échangeant avec d’autres pratiquants, je me suis rendue compte que je devais aller de l’avant pour valider la Loi. Alors j’ai commencé à rendre visite à mes collègues, amis et proches pour leur clarifier la vérité dans mon effort pour valider la Loi. Au début, il n’y avait pas beaucoup de documentation de clarification de la vérité. Un pratiquant m’a remis un exemplaire manuscrit d’une « lettre adressée aux professeurs ». Mon mari et moi avons décidé de photocopier la lettre et de l’envoyer aux professeurs ayant des affinités prédestinées. Nous n’avons pas osé faire trop de photocopies au début. Graduellement après avoir abandonné nos peurs, nous avons fait cent copies une à la fois et le processus s’est très bien déroulé. Le jeune homme dans le magasin savait le contenu de la lettre mais il n’a jamais rien dit quoi que ce soit.

En 2001, il y avait dans un exemplaire d’un examen simulé dans notre ville de la matière diffamatoire sur le Falun Dafa. Après avoir discuté avec mon mari, j’ai décidé de clarifier la vérité dans la salle de classe. Quand le directeur a appris cela il « m’a critiquée et éduquée ». Il a dit : « Ce genre de choses ne doit pas se produire à nouveau, sinon l’école ne sera pas sélectionnée comme « meilleure école » lors de l’évaluation à la fin de l’année. » Je lui ai dit que j’ai appris la vérité et afin d’être responsable de leur futur, je dois en parler à mes étudiants. En même temps, j’ai commencé à clarifier la vérité au directeur. Comme résultat j’ai été sélectionnée « professeur remarquable » lors de l’évaluation à la fin de l’année et j’ai gagné une gratification d’un mois de salaire supplémentaire. Le département de l’Éducation a donné des directives aux écoles pour qu’elles s’arrangent que le personnel et les étudiants organisent une campagne de signatures en vue de dénoncer le Falun Dafa. Ayant appris la vérité au sujet du Falun Dafa, le directeur a décliné la requête sous prétexte que les étudiants étaient très occupés avec leurs études. Par conséquent, la campagne de signatures n’a jamais été organisée dans notre école.

Je persiste dans ma croyance à clarifier la vérité et à sauver les êtres vivants en suivant le Maître

Pendant que mon mari souffrait de la persécution, je ne suis pas sortie pour clarifier la vérité pendant un certain temps. Puis j’ai eu la pensée que je devais briser les arrangements de la perversité et alors je suis allée clarifier la vérité en compagnie de mon fils. Au tout début, nous sommes partis à pied. Cependant, il ne pouvait pas marcher très loin. Après lui avoir dit que nous étions en train de sauver les êtres vivants et que nous ne devrions pas avoir peur des tribulations, il s’est amélioré. Plus tard, on a opté pour une bicyclette et ensuite une motocyclette. Je restais normalement à côté de la motocyclette et mon fils allait distribuer les documents de clarification de la vérité et retourner en toute hâte en direction de la motocyclette. Le résultat était très bon. En affichant des posters, nous avons collaboré très bien. Mon fils enlevait le papier de protection et me le donnait. Ensuite je l’affichais dans un emplacement approprié. Cela allait beaucoup plus vite que si je l’avais fait moi seule. Chaque fois nous étions capables de finir notre tâche sans problèmes. Je savais que le Maître s’occupait très bien de nous et nous donnait la sagesse.

Quelques collègues ayant bon cœur m’ont avisée : « Cesse de parler du Falun Gong dans ta classe. Si tu es arrêtée, ce sera très difficile pour tes étudiants. » J’étais reconnaissante envers eux pour leur conseil, cependant, je savais dans mon cœur que comme mon emploi m’a été offert par le Maître et le Dafa, cela signifiait que je devais clarifier la vérité et sauver ceux qui ont des affinités prédestinées dans ce poste. Parmi mes étudiants il y avait des gens qui attendaient pour apprendre le Falun Dafa, alors je dois faire de mon mieux pour leur clarifier la vérité et les sauver.

En octobre 2002, j’ai été placée dans une classe de lavage de cerveau menée par un poste de police. Dans la soirée, j’ai eu une lettre de mes étudiants. La lettre disait : « Professeur, quand le directeur nous a informés que nous devions changer de professeur, plusieurs filles dans la classe ont pleuré. Nous ne voulons pas changer de professeur. Nous sentons tous que nous ne sommes pas capables de vous quitter. Nous pensons que nous sommes inséparables parce que nous vous aimons ! Voyant les filles pleurer, les garçons qui ne cèdent pas normalement ne pouvaient pas s’empêcher eux aussi de moucher leur nez. » Ayant lu leur lettre, j’ai aussi pleuré. J’ai compris encore plus clairement la tâche importante qui m’a été confiée. La raison pour laquelle les étudiants m’ont rencontrée était due au fait qu’ils sont venus pour le Dafa. Quand je n’ai toujours pas eu le temps de leur parler à propos de la beauté du Dafa, comment peuvent-ils avoir le cœur de me quitter ! Ils ont supplié les autorités de l’école de ne pas changer de professeur et ils ont dit qu’ils préféreraient plutôt étudier seuls dans la classe. En voyant leur côté qui s’éveille, j’ai décidé d’abandonner mon intention d’arrêter le métier de professeur et de rester avec mes étudiants. Quand je donnais des cours, j’utilisais un magnétophone à cassettes pour faire jouer « Pudu » pour eux. Certains d’entre eux ont dit : « Nous ne savions pas qu’il y avait une si belle musique dans le monde ! » Quand j’ai vu que c’était le moment approprié, j’ai commencé à leur clarifier la vérité. J’avais planifié de leur parler pendant une classe, cependant, quand la cloche a sonné personne ne voulait partir et ils restaient tous assis silencieusement. Alors j’ai décidé de continuer et j’ai aussi parlé au cours de toute la deuxième classe. Je leur ai demandé de devenir de bons étudiants ainsi que de bonnes personnes dans la société. A la fin des deux classes, ils ont applaudi chaudement en guise de remerciements. J’ai enseigné deux classes en 2003 et habituellement je combinais deux classes ensemble en donnant des leçons. Quand j’ai fini de clarifier la vérité en classe et les étudiants applaudissaient chaleureusement, j’étais très contente. J’ai pressé ensemble mes paumes pour manifester ma reconnaissance et j’ai écrit « Falun Dafa est magnifique » sur le tableau. En 2004, j’ai eu la chance d’enseigner deux classes, et une d’elles avait le plus grand nombre d’étudiants. Quand le chef du groupe de l’enseignement et de la recherche a découvert que j’étais extrêmement occupée, il a proposé de me donner deux classes plus petites. J’ai décliné son offre parce que je voulais plus d’étudiants. 85 étudiants dans cette classe étaient principalement ceux qui voulaient étudier la politique. Ils étaient de ceux qui avaient été le plus empoisonnés par les mensonges.

Sur le chemin de la cultivation, j’ai ressenti que Maître s’occupait de moi avec compassion et qu’il m’a donné des indices. Je continuerai à suivre de près le Maître, à clarifier la vérité et sauver les êtres vivants.

C’étaient seulement quelques unes de mes expériences de cultivation et de compréhension au cours de ces dernières années. Si quoi que ce soit n’est pas approprié, veuillez m’en faire part avec bienveillance.

Note :

(1) Zhuan Falun est le livre principal du Falun Dafa