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Méthodes utilisées pour torturer les pratiquants de Falun Gong au camp de travaux forcés de Yimianpo, province de Heilongjiang (avec illustration)

30 décembre 2004

(Minghui.org)

Méthode de torture n°1 : Écraser avec d'énormes paniers remplis de pierres

Deux détenus criminels se tiennent debout sur une plate-forme et un pratiquant se tient sous la plate-forme. Les détenus transportent deux énormes paniers remplis de pierres et les font tomber sur les épaules, le cou et la tête du pratiquant. Les deux paniers pèsent plus de cent kilos. En conséquence, le pratiquant saigne de la tête, son visage et son cou bleuissent et noircissent. De plus, après que le pratiquant soit tombé par terre, les bourreaux lui écrasent le panier sur le cou et les épaules, sa peau commence immédiatement à saigner et à se déchirer.

Méthode de torture n°2 : Frotter les plaies avec de l'alcool et du vinaigre

Une fois que le pratiquant a été blessé ainsi, plusieurs détenus écrasent le pratiquant au sol et lui versent de l'alcool et du vinaigre sur ses plaies. Les bourreaux frottent de façon démoniaque les plaies avec des brosses à dents, cela va infecter les plaies vers les vertèbres cervicales. Les gardiens forcent encore le pratiquant à porter des paniers de pierres. Les plaies ne guérissent que deux à trois mois plus tard et après guérison, il reste encore des entailles qui ressemblent à des tumeurs.

Méthode de torture n°3 : Porter des pierres sur le dos

Les pratiquants sont forcés de porter deux énormes paniers de pierres et de courir en avant. Si le pratiquant est lent, le détenu derrière lui le frappe violemment avec une branche d'osier. Même au plus fort de la chaleur de l'été, on ne donne pas d'eau aux pratiquants de toute la journée.

Porter deux énormes paniers de pierres sur le dos

Méthode de torture n°4 : Plier le corps

Les détenus criminels forcent le pratiquant à se plier la tête en bas, aussi bas qu'il arrive en-dessous du lit, il a les deux bras levés par derrière et tirés en haut. Le pratiquant est forcé à tenir cette position. Le détenu lui donne alors des coups de pieds au derrière et pousse le pratiquant encore plus loin sous le lit.

Traduit au Canada le 27 décembre 2004