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Chaque personne est un parent à moi - Clarifier la vérité à la police et aux fonctionnaires dans mon quartier

25 mars 2004

Chaque personne est un parent à moi - Clarifier la vérité à la police et aux fonctionnaires dans mon quartier
 

(Minghui.org)

 
Préface
 
Le Maître nous a dit : 
 
«… je vous le dis toutes les personnes dans ce monde dans le monde entier ont été mes proches, y compris les pires, sinon en ce moment il serait impossible d’avoir la chance d’être un être humain. L’histoire c’est elles-mêmes qui l’ont traversée c’est elles-mêmes qui l’ont choisie. Le plus détestable sont les forces anciennes, elles osent utiliser la perversité pour tuer à leur guise mes hommes, car les hommes ne leur appartiennent pas. Dans le cœur du Maître il y a toutes les personnes. » (Explication de la Loi durant le Festival des Lanternes à la Conférence de la Loi donnée à l'ouest des États-Unis)
 
 
« Vis à vis des êtres humains, on doit être bienveillant, vis à vis des êtres pervers il faut les éliminer. Quant à ces policiers, ils ne sont pas conscients, ils sont sous contrôle. Si cela ne peut pas être bien réglé, lorsqu’ils agissent mal envers vous ils ne sont pas raisonnables non plus, dans ce processus le conflit s’est aggravé et c’est vous qui en avez subi les dommages, c’est pourquoi il faut les éviter ». (Explication de la Loi durant le Festival des Lanternes à la Conférence de la Loi donnée à l'ouest des États-Unis)
 
« Je vous le dis, vous n’avez qu’à traiter les êtres avec compassion, vous n’avez qu’à clarifier la vérité aux gens avec compassion, vous êtes alors en train de défendre la dignité de Dafa, et vous serez capable de défendre la dignité de Dafa » (Enseignement et explication de la Loi à la Conférence de la Loi tenue dans la région métropolitaine de New York)
 
Durant cette persécution, beaucoup de policiers et des administrateurs du quartier ont joué le rôle de persécuteur du Falun Dafa. Quand ils se présentent pour appliquer quelques directives erronées de leurs supérieurs, certains de nos compagnons pratiquants se sentent blessés parce que leurs droits légaux ont été violés. Nous avons été influencés par la philosophie communiste de lutte de classe, et même si nous refusons de faire ce qu'ils nous obligent de faire, nous avons un attachement à nous battre ou au moins une inclination à la désobéissance, ce qui cause habituellement une confrontation déplaisante et donne aux facteurs pervers un prétexte pour persécuter les pratiquants du Falun Gong. De plus, cela affaiblit nos pensées droites.
 
En fait, chaque situation peut être vue d'une façon positive ou négative. Si nous considérons les problèmes du côté positif, notre mentalité positive touchera ce qui se produit dans une bonne direction, en particulier quand nous utilisons nos puissantes pensées droites. Par exemple, s'ils viennent nous harceler, nous n'avons pas besoin de réfléchir comment ils nous traiteront, parce que nous avons la suprématie, et ils n'ont même pas une once de puissance pour nous vaincre. Nous ne sommes pas supposés reconnaître la partie que les forces anciennes ont arrangée pour qu'ils jouent. Puisque le Maître nous a dit de sauver les gens de la duperie de cette propagande, à chaque fois qu'ils se présentent devant nous, c'est une chance pour eux d'être sauvés. Ils ne sont pas mes ennemis mais des membres de ma famille et cela vaut la peine qu'on s'occupe d'eux. En fait, leur vraie nature originelle est avide de savoir la vérité. En considérant le problème de cette façon, nous sommes capables de leur dire les faits avec une mentalité pleine de tolérance. 
 
Étant invincibles et fermes mais gentils, avec notre compassion nous pouvons fondre les facteurs pervers qui manipulent les gens, sauvant ceux qui peuvent être sauvés. C'est une bonne façon de nier complètement les intentions des forces anciennes. 
 
Voici quelques anecdotes que j'ai entendues en partageant des expériences avec mes compagnons pratiquants. Dans ces récits, le « je » ne signifie pas seulement « moi », parce qu'il représente notre sagesse en tant que groupe.
 
Récits des pratiquants du Falun Gong clarifiant la vérité à la police et aux administrateurs du quartier en Chine
 
1.            Un policier « s'empare » d'un livre du Falun Dafa appartenant à son confrère 
 
Une fois je suis allé faire appel et j'ai été renvoyé sous escorte par le policier A du quartier. Au centre de détention, j'ai dit avec joie les faits à propos du Falun Gong à un policier qui m'interrogeait. Il a accepté complètement la vérité et m'a dit lors de ma libération : « N'oublie pas de m'apporter deux livres la prochaine fois. » Plus tard, je lui ai donné deux livres du Falun Dafa.
 
Le policier A m'a ramené avec lui, et j'ai appris que les autorités lui ont donné une amende de 50 Yuan parce que j'ai fait appel. Après cet incident, il a continué à me surveiller, alors j'ai saisi chaque occasion pour lui clarifier la vérité et éliminer graduellement tout ressentiment envers le Falun Gong. Finalement il était d'accord avec moi et il m'a dit plus tard qu'il a acheté un exemplaire relié de « Falun Gong, La Voie de l’Accomplissement ». Cependant, son confrère, l'a pris, alors j'ai promis de lui donner un autre. En entendant cela, il était tout joyeux.
 
Un jour je suis tombé sur le policier qui avait pris le livre. Quand je lui ai demandé où il se dirigeait, il a répondu : « Je vais étudier la Loi. » Il n'est guère étonnant qu'une personne m'ait dit que le policier a déclaré qu'il a déjà lu le livre huit fois!
 
2.            « Viens me voir si tu y penses et apportes-moi un repas délicieux »
 
Un jour, le policier B m'a reconduit à la maison plutôt et je lui ai parlé joyeusement en cours de route. Finalement il m'a dit agréablement : « Viens me voir si tu y penses et apportes-moi un repas délicieux ». A deux différentes occasions, il a mentionné qu'il était en poste au commissariat le soir. Alors, un soir, j'ai pris des fruits et je suis allé lui parler. Bien sûr, j'ai profité de l'occasion pour lui dire les faits à propos du Falun Gong et lui donner des livres. Quelques jours plus tard, je lui ai écrit une lettre dans laquelle je l’ai encouragé à chérir cette occasion pendant que le Falun Dafa est en train de se répandre partout dans le monde.
 
3.            « J'ai besoin ' d'une version complète ' moi aussi. Écris-moi une note s'il te plaît. »
 
Un jour, les policiers A et C sont venus me voir dans ma résidence. Quand j'ai remis à A le nouvel exemplaire relié qu'il avait demandé, il l'a mis avec soin dans son sac. Cette nuit-là le policier C m'a appelé pour me demander aussi une « nouvelle version ». Étant donné qu'il m'a montré une fois un
exemplaire de Zhuan Falun dans son bureau, j'ai demandé : « Où est votre nouveau livre? » Il a répondu : « Ma femme le garde pour le lire. » Puis, il a ajouté : « Écris-moi une note s'il te plaît. » Je me suis rendu compte que c'est parce que j'ai remis une note au policier A pour lui indiquer de ne pas écrire dans ce livre, de lire le livre du début à la fin et de s'assurer qu'il comprenne la partie concernant l'élimination du karma. Alors, j'ai remis au policier C un nouveau livre avec une note. Il était si content qu'il m'a appelé « Professeur ». Je lui ai dit : « Fais attention – Nous avons un seul Professeur. Il s'appelle Maître Li. »
 
Un soir, j'ai rêvé que j'attendais le retour de mon fils à la maison. Plus tard, j'ai parlé au policier C à propos de mon rêve. Il a dit : « C'est étrange. Tu n'as pas de fils. » J'ai répliqué : « Je pense moi aussi que c'est étrange. » Puis il a souri et a compris que je le considérais de la même façon que s’il était mon propre fils. Un autre jour, le policier C a demandé aux autres policiers de venir dîner afin de célébrer son anniversaire. J'ai mémorisé cette date et lui ai envoyé un VCD sur les exercices du Falun Gong comme cadeau. Il l'a examiné avec admiration. 
 
4.            Dire la vérité à la troupe qui a présenté un spectacle diffamatoire
 
Le Bureau du quartier m'a offert deux billets pour la pièce. Au théâtre, j'ai vu que le spectacle avait été créé en vue de diffamer le Falun Gong, alors j'ai déchiré les billets et ai quitté le lieu immédiatement. Après avoir discuté la situation avec deux autres pratiquants, nous sommes allés derrière les coulisses le lendemain pour parler au directeur de la troupe. Quand nous lui avons demandé poliment combien le spectacle était vrai, il a répondu franchement : « Tout est faux. » Nous lui avons remis un paquet de documents clarifiant la vérité et lui avons dit : « C'est la vérité. Ce que tu fais est nuisible à toi et aux spectateurs. » En Nous serrant la main et nous exprimant sa reconnaissance, il nous a promis de les lire. Plus tard, quand j'ai dit au policier A ce qui s'est passé, il s'est inquiété au sujet de ma sécurité et m'a demandé : « Ont-ils appelé la police pour te rapporter? » J'ai répondu : « Non. Comme nous étions courtois, ils étaient polis eux aussi. »
 
5.            La vérité a surgi après qu'un policier ait bu du vin
 
J'ai été arrêté et emprisonné dans un centre de détention parce que j'ai accueilli plusieurs étudiants du collège qui sont allés faire appel. Une personne m'a rapporté auprès des autorités, mais il a compris la vérité après avoir lu la documentation que je lui ai remise. Plus tard, le président de leur collège a acheté un dîner pour le policier responsable de l'interrogatoire. Après avoir bu quelques verres de vin, la vérité est sortie et il a dit : « En fait, je ne vous emprisonnerai pas un seul jour. J'aimerais vous libérer tous, mais je n'ai pas ce pouvoir. Je suis une machine de l'état. » J'ai répondu : « Nous ne faisons pas affaire avec des machines de l'état, et selon moi, vous êtes une personne qui dites la vérité, une personne fidèle. Nous pouvons être amis. » Je lui ai rendu visite à nouveau pour reprendre ma carte d'identité après ma libération. Il était assez content de prendre toute la documentation que je lui ai apportée. 
 
6.            « Je vous traite toujours comme les membres de ma famille et amis »
 
Un jour durant la période « sensible », à 2h:00 du matin, le policier A m'a appelé : « Es-tu à la maison? Que fais-tu? » J'ai répondu : « Je dors. » Il a demandé : « Iras-tu à la place Tiananmen? » Il a dit : « Je suis soulagé aussi longtemps que tu es à la maison. Je ne viendrai pas chez toi. » Alors je lui ai dit : « En fait, je ne te traite pas comme un policier, mais comme un membre de ma famille et un ami. » Il a répondu rapidement : « Je ne t'ai jamais traité comme un ennemi. » Le lendemain il a prétendu avoir une migraine parce qu'il ne pouvait pas dormir. Ils ont cessé de faire de telles vérifications après un certain temps.
 
Une fois, le commissaire politique m'a reconduit en personne chez moi et m'a demandé mon numéro de téléphone pour m'appelé la nuit quand il travaillait au poste de police. Comme je m'y attendais, il m'a donné un coup de fil avant que j'aille me coucher et a déclaré qu'il ferait un autre appel le matin. Puisque je devais lire les livres et faire la méditation assise, j'ai débranché le téléphone. Après le déjeuner, le policier C a frappé à ma porte parce que le commissaire politique n'arrivait pas à me rejoindre au téléphone. Il a demandé à plusieurs reprises : « Es-tu toujours à la maison? » J'ai répondu : «Non, je ne suis pas chez moi. » Il riait quand j'ai ouvert la porte pour le laisser entrer. Comme je lui expliquais la vérité, le policier A frappait à ma porte pour la même raison. Alors j'ai ouvert la porte pour leur parler ensemble.
 
Au moment de leur départ, j'ai dit au policier A : « Je t'appellerai s'ils viennent m'arrêter. La police du peuple est supposée protéger les gens, n'est-ce pas? » Il a répondu immédiatement : « Non, ne fais pas ça. Dans ce cas, je pourrai être arrêté moi aussi. ». J’ai ri et lui ai dit : « Si les bonnes personnes ont peur d'être arrêtés par des méchants, ces derniers ne seraient-ils pas plus fous ? » Depuis, je leur dis toujours d'être de bons policiers, parce que les bons policiers doivent protéger des bonnes personnes et arrêter les méchants. De plus, je les ai avertis de ne pas écouter les gens corrompus qui leur font commettre des mauvaises actions en les menaçant par les mises à pied, les amendes et les licenciements.
 


Traduit au Canada le 20 mars 2004.