La pratiquante de Falun Gong Mme Zhou Fengping originaire de Zhuji, dans la Province de Zhejiang a été torturée à mort et sa mère a disparu
(Minghui.org)
Durant les vacances du nouvel an chinois en 2001, Mme Zhou Fengping originaire de Zhuji, dans la Province de Zhejiang, a été kidnappée par la police parce qu'elle avait affiché des brochures sur le Falun Gong, elle a ensuite été condamnée à la "rééducation par les travaux forcés." Mme Zhou a été torturée jusqu'à ce qu'elle craque mentalement, elle a été relâchée un an après parce que les autorités ne voulaient pas prendre leur responsabilité si elle venait à mourir sur place. Après être rentrée chez elle, Mme Zhou a continué à souffrir de dépression nerveuse et six mois après, elle est morte.
La mère de Zhou Fengping, la pratiquante de Dafa Zhou Guilian originaire de Zhuji, dans la Province de Zhejiang, a été kidnappée par des policiers locaux du Bureau de la Sécurité Publique.
Zhou Guilian a plus de soixante-dix ans. Elle se levait tous les jours à 2 ou 3 heures du matin. Elle commençait par lire le livre de Maître, puis pratiquait les exercices de Falun Gong et émettait des pensées droites. Après avoir fait la pensée droite à 7 heures, elle sortait clarifier la vérité sur le Falun Gong aux gens qu'elle rencontrait. Elle allait se coucher après avoir émis la pensée droite à minuit. Chaque jour, elle ne dormait que deux ou trois heures. Elle allait partout dans la ville pour clarifier la vérité sur le Falun Gong. Que ce soit dans les rues très fréquentées ou les petites allées, dès qu'elle voyait des gens, elle leur disait que le Dafa est une bonne chose. Elle parlait avec conviction et révélait aux gens dans les marchés que l'incident de l'immolation à Tiananmen était un coup monté, elle accusait les autorités de comploter contre le Falun Gong.
Récemment elle est allée au Bureau de la Sécurité Publique avec des documents sur le Falun Gong, elle voulait les donner au chef en mains propres; parce que le chef n'était pas là, elle les a laissés aux autres. Elle est allée au Bureau de la Sécurité Publique à deux reprises. La dernière fois, non seulement elle voulait voir le chef, mais elle voulait aussi qu'on lui donne les livres et les documents qui avaient été confisqués par les autorités; en attendant elle voulait aussi parler du cas de sa fille. Mais les autorités ne lui ont pas permis de rentrer chez elle. Depuis on n'a plus de nouvelles.
Traduit de l'anglais le 12 avril 2004 :