(Minghui.org)
Depuis le Festival du Printemps de cette année, Mme Cui Yaning est détenue illégalement et maltraitée au camp de travaux forcés de Masanjia. Sa santé se dégradant, elle a été envoyée à l’Hôpital interne de Masanjia. Une vérification a révélé une pression excessivement basse et un électro-cardiogramme anormal. Le surveillant Zhang Xiurong et le surveillant-adjoint Zhou Qian connaissaient bien la situation, mais ils ont menti, disant que Yaning n’avait aucun problème, qu’elle était en très bonne santé, et ont refusé de la libérer. En temps ordinaire, l’hôpital interne n’est qu’un autre moyen pour les autorités du camp de travail d’extorquer de l’argent des pratiquants. Habituellement, ils y sont envoyés inutilement pour des examens et vérifications, à un prix exorbitant pour le pratiquant concerné.
Cui Yaning a été incarcérée pour la 1ère fois en 1999 et a été sévèrement torturée parce qu’elle ne voulait pas renoncer à la pratique du Falun Gong Le 28 décembre 2001 elle a été incarcérée de nouveau pendant plus de 2 ans. Cependant, Cui Yaning est demeurée immuable dans sa foi en Falun Gong. Récemment, le camp de travaux forcés de Masanjia a commencé un programme intitulé « Gérance à trois échelons »; pour augmenter la pression sur les pratiquants incarcérés. Les trois échelons sont : Ouvert, mi-ouvert, et modèle fermé. Le plus grave, le « modèle fermé », vise les pratiquants de Falun Gong les plus fermes.
Nos sources internes nous rapportent que les gardiens de la prison de Masanjia sont présentement très effrayés parce que récemment les pratiquants libérés ont écrit des articles édités sur le site de Clartés et Sagesse (Minghui) exposant la torture brutale au camp de travail. Présentement la vie de Cui Yaning est en danger, mais les gardiens de la prison n'y prêtent aucune attention et l'ont tout simplement enfermée à clef dans une petite cellule solitaire. (1)
Numéro de téléphone de la pratiquante de Dafa, Mme Cui Yaning à son domicile: 86-416-4176855
1) « Enfermer à clef dans une petite cellule »: Le détenu est enfermé à clef dans une très petite cellule isolée. Les gardiens enchaînent les pratiquants dans une position fixe, position dans laquelle le pratiquant ne peut ni bouger ni se coucher. La petite cellule est très humide et il n’y a aucune lumière qui y pénètre. Les détenus doivent uriner et déféquer dans la petite cellule. Seulement la moitié d’un repas est servie chaque jour aux détenus enfermés dans une petite cellule. La puanteur y est telle qu’il y est difficile de respirer.
Traduit au Canada
5/7/2004