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Ma chute avec grâce

24 juin 2004

(Minghui.org)

Bonjour Maître vénéré. Bonjour Disciples de Dafa.

Vous avez peut-être entendu parler d’un pratiquant au Canada qui est tombé d’un arbre, eh bien c’est moi.

Ça a commencé le matin du 9 septembre 2003. Je suis allé à l’Hôpital Sunny Brooke, seulement pour découvrir que le jour de travail avait été cancellé par le directeur de l’hôpital. Puisque nous étions déjà là, j’ai pensé montrer à mon superviseur un sapin dangereux qui menaçait de tomber sur une région peuplée, avec de fortes probabilités de frapper un édifice. Après avoir examiné l’arbre, nous avons découvert que la fissure dans le tronc avait progressivement empiré. Ainsi, la décision a été prise de le retirer immédiatement.

J’ai coupé un bout de 35 pieds en haut de l’arbre. Lorsque j’ai atteint environ 57 pieds, j’ai laissé un bout d’arbre de 20 pieds tomber. Ensuite j’ai décidé de laisser tomber le troisième bout d’arbre. J’ai vérifié que tout était dégagé, ensuite j’ai coupé et je l’ai laissé tomber. Tandis qu’il penchait dans la direction où il allait tomber, ma corde pour grimper s’est librement défaite d’autour d’un moignon sur le premier bout qui tombait à vue -- ma corde de sûreté était attachée le bout qui tombait. Le bout d’arbre tombant qui pesait environ 300 à 400 livres allait me tirer au sol d’une hauteur d’environ 60 pieds. Ma pensée immédiate a été de couper la corde avec ma scie mécanique.

Comme le sort se présentait, ma scie mécanique personnelle avait brisé le vendredi d’avant. La nouvelle qu’on m’avait donnée ne ralentissait pas, ainsi elle ne fonctionnait pas. Après avoir envisagé mes options, j’ai décidé de sauter dans un arbre adjacent vers la direction où j’allais être tiré, cela semblait le meilleur déroulement d’actions pour éviter de tomber sur la clôture en bas. À ce moment je n’avais pas peur, je savais que j’avais obtenu la Loi, et je me sentais très calme et assuré puisque tout était entre les mains de Maître et tout irait bien. Les branches de l’autre arbre ne pouvaient me tenir avec la pesanteur du bout d’arbre qui me tirait en bas tandis qu’elles brisaient sous la pression. Pendant que je chutais dans l’air, mon esprit était clair, calme et confiant. J’ai frappé le sol.

J’ai bien atterri en évitant les obstacles éparpillés par terre autour de moi incluant une scie mécanique de 46 pouces attachée au côté droit de ma ceinture. Miraculeux est le mot qui décrit le mieux la façon dont j’ai atterri sur mon côté gauche même si une scie mécanique de 40 livres pesait vers le bas de ma hanche droite. Je n’ai senti aucune douleur sur le coup après avoir tombé pendant environ 60 pieds. J’ai immédiatement essayé de me lever en disant à mes collègues que ça allait bien. Ils ont insisté pour que je ne bouge pas. Je me suis assis et je luttais pour enlever mon équipement afin de me lever et dire que j’allais bien et que je me sentais vraiment bien et sans mal. Encore une fois mes hommes de terrain m’ont empêché de me lever.

Un infirmier qui avait regardé de la fenêtre de l’hôpital quelques minutes auparavant, ayant vu tout cela, a appelé le 911 et est accouru vers moi. Il m’a demandé de ne pas bouger et m’a demandé où j’avais mal. Ma pensée a en quelque sorte tourné à cette seconde et j’ai ensuite remarqué que mon bras était enflé et difficile à bouger. Je l’ai regardé et j’ai dit « oui ». À cet instant, aussitôt que j’ai dit « oui », j’ai eu mal.

Dans Zhuan Falun, Quatrième lecture, Maître dit: « Nous disons que le bien ou le mal n'est décidé que par une pensée survenue chez l'homme, quand la pensée est différente, la conséquence qu'elle provoque est aussi différente. »

Plusieurs blessures sévères se sont manifestées. Mon diaphragme et ma rate se sont rompus, mes organes internes s’étaient déplacés et remplissaient la cavité de ma poitrine, écrasant mes poumons. Ceci était ma première omission. J’aurais dû tenir fermement à cette première pensée de pratiquant. Heureusement Maître a changé le pire en meilleur. Même avant d’avoir reçu l’appel, une ambulance s’en venait déjà vers moi. Environ dix minutes après ma chute, j’étais conduit dans une salle d’opération disponible dans le centre de trauma le plus achalandé de l’Ontario. Encore une fois, miraculeusement, neuf chirurgiens des plus compétents finissaient tout juste leur pause lorsque j’ai été emmené à l’intérieur. Ils ont immédiatement commencé à opérer. Les os de ma hanche et de mes bras ont été arrangés en 20 minutes environ. Ma rate a été enlevée et mon diaphragme réparé. Mes autres blessures, un pelvis fracturé, des côtes brisées, les poumons contusionnés et un nerf  endommagé dans un bras étaient laissés à la guérison par eux-mêmes.

Je me suis réveillé dans un état sédatif lourd, néanmoins ma première pensée a été: « Je suis un pratiquant », et mon esprit est devenu très clair. Même dans cet état drogué, j’ai réaffirmé que j’étais un pratiquant. J’ai pensé appeler d’autres pratiquants. Je me suis soudainement souvenu d’un numéro d’un pratiquant, que je devais toujours vérifier auparavant. Heureusement lorsque j’en ai eu besoin, le voilà qui était là.

Je me suis senti fort à nouveau. Les médecins commentaient sur ma guérison miraculeuse et je sentais que j’étais prêt à m’en aller chez moi. Mais les médecins voulaient que je reste en observation. Le jour suivant, un test s’est présenté tandis qu’un chirurgien est venu à mes cotés, déclarant que mon aorte était tordue et ils voulaient faire une chirurgie à cœur ouvert. Du profond de mon être je savais que j’allais bien et qu’ils ne devraient pas opérer, et je leur ai dis cela. Mais une partie de moi tentait de mesurer les risques en présentant des pensées telles que: est-ce trop tôt pour opérer, et si mes poumons ne pouvaient supporter l’opération. Ceci était mon côté humain de peur qui apportait ces pensées ce qui me rendaient, du moins à cet instant, vulnérable.

Ils ont procédé à l’opération sans ma permission. La chirurgie n’avait qu’empiré ma condition. Les chirurgiens ont coupé autour de mon épaule et sous mon bras, écartant les côtes, écrasant un poumon pour arriver à l’aorte. En la voyant, ils ont vu qu’elle était déjà guérie. Le médecin m’a dit plus tard que la structure de la composition de mon corps était une parmi un million, à cause de la façon dont la chair autour de l’aorte avait complètement scellé la déchirure - comment une personne ordinaire pourrait-elle l’expliquer. Il a dit que normalement la personne meurt en quelques secondes. Pendant l’opération il y a eu d’autres complications, le poumon restant qui me permettait de respirer ne pouvait subvenir au corps à cause des dommages qu’il avait encouru. Alors mon cœur s’est arrêté et ils ont dû manuellement lui faire un massage pour qu’il se remettre à fonctionner. Ils ont alors décidé d’arrêter l’opération.

Les choses se sont compliquées tandis qu’ils m’ont mis sur toutes sortes de machines. À un certain point, j’avais trente machines connectées à mon corps. La complication suivante a été un cas sévère de pneumonie et ensuite ils ont provoqué un coma sur moi. Avec cela mes expériences de cultivation dans les autres dimensions ont commencé. Elles étaient toutes très vives et j’étais pleinement conscient de qui j’étais et du fait que j’étais un disciple de Falun Dafa. J’ai fait l’expérience de plusieurs choses qui se produisaient au niveau humain et qui étaient reflétées dans d’autres dimensions. Avant de décrire certaines de ces choses, laissez-moi parler du soutien que j’ai reçu des pratiquants.

Tout de suite après avoir appris ma situation, plusieurs pratiquants sont venu et ont passé de longues heures à mes côtés à me supporter avec des pensées droites, et en me faisant la lecture 24 heures sur 24. Cette présence sur 24 heures a rencontré des interférences au début. Leurs pensées et l’interférence du personnel de l’hôpital qui tentait des les tenir à l’écart de moi étaient reflétés dans des situations variées dont j’ai fait l’expérience dans les autres dimensions.

Dans les autres dimensions j’ai senti que j’étais dans une bataille avec le mal, qui tentait de garder les pratiquants à l’écart de moi. Je savais qu’il ne les laissait pas s’approcher de moi, mais cela ne pouvait pas nous empêcher. Je continuais de les rencontrer pour la lecture. Je suis allé à eux à plusieurs reprises pour écouter la Loi.

Le point tournant est survenu le troisième jour. Cette fois mes compagnons pratiquants et moi nous sommes rencontrés sur un balcon ouvert la nuit, exposés au froid glacial et au vent. Tandis que je regardais mes bras et mon torse, je pouvais voir qu’ils étaient si enflés qu’ils étaient au moins deux fois plus gros que leur grosseur normale. De plus, les pratiquants m’ont dit que j’avais une sévère pneumonie. Ce sont des choses que je n’aurais pas dû être capable de savoir puisque j’étais dans le coma. Un pratiquant m’a dit que le mal tentait de les tenir à l’écart mais qu’en tant que pratiquants nous avons nos propres moyens de traiter cela. Un pratiquant est venu dans ma direction et m’a enveloppé de son long manteau d’hivers, à ce moment je l’ai senti comme des plumes sur une aile d’ange me protégeant du froid. Ils ont commencé à me lire Zhuan Falun. Mon cœur est devenu pur, mon esprit droit, ma voix s’est levé en proclamant solidement « Je suis un disciple de Dafa pendant la période de rectification de la Loi! Je suis ici pour aider à sauver les être et vous, êtres maléfiques, ne pouvez m’en empêcher ». Aussitôt que ces mots sont sortis, du profond de la base de mon être, a surgit la force la plus puissante que j’ai jamais sentie. Radiant de chaque pore, elle a grandit de plus en plus en intensité. Tandis que je tendais mon corps, j’ai senti un changement de cap à l’entour de moi et j’ai laissé la force libre complètement. Tandis que je la laissais sortir, je pouvais entendre l’édifice de l’hôpital grincer et grandir sous cette immense force, et je l’ai senti vibrer jusqu’à ses fondations. Avec ces pensées droites le cours a changé.

Un pratiquant me rassurait en disant, « Je suis toi, tu es moi ». Je l’ai vu devenir moi et promettre de prendre soin de ma mère. Ma mère, une nouvelle pratiquante dans ce temps-là, aurait pu être inquiète pour moi et ceci me pesait. J’ai senti cette pression être retirée de moi. Des mois plus tard, lorsque j’étais en dehors de l’hôpital, j’ai raconté cette expérience à ce pratiquant. Il a expliqué comment il était allé à l’étude de groupe et qu’il avait dit à tout le monde qui était là: Le problème de Mike est mon problème. Ces pensées droites et sa pensée pour les autres d’abord étaient assez solides pour m’atteindre dans les autres dimensions. Dans certaines circonstances, j’ai attrapé une parcelle, ou senti un pratiquant qui venait me supporter sans une seule  interrogation dans son cœur, et j’ai vu leur niveau foncer vers le haut. Cela m’a rendu très heureux.

Une leçon de compassion 

Une fois je me suis trouvé attaché dans une position de crucifixion entouré par des millions de personnes qui me jugeaient toutes et m’accusaient de choses que je savais que je n’avais pas faites. Je me suis senti si triste pour eux qu’ils disent des choses si terribles sur un pratiquant et j’ai senti ma compassion pour eux grandir. Ils construisaient cette tour en ivoire avec moi sur son pinacle, la rendant de plus en plus haute. Comme leurs torrents d’insultes s’élevaient, mon cœur semblait s’agrandir avec la compassion pour tous. Avec cela, la tour a grandit tellement en hauteur en rejoignant le ciel que je semblais à des kilomètres au dessus d’eux. Ensuite, un pratiquant est apparu en face de moi en train de questionner ma valeur: étais-je un bon pratiquant, est-ce que tout cela était mon œuvre. Mon attachement à ce que les autres pratiquants pensent de moi semblait être atteint, et soudainement mon cœur a rétrécit ainsi que ma compassion. J’ai senti mon attention se tourner vers le besoin de prouver ma valeur. Avec cette recherche en tête, j’ai bondi de la tour, m’envolant vers le bas pour trouver des choses qui pourraient prouver ma valeur. Tout comme je descendais, Zhuan Falun est apparu avec un pratiquant grand comme 2 pouces qui se tenait sur le livre. Après quelques mots, il a commencé à me lire la Loi. Tandis que j’écoutais, mon esprit est devenu calme et rationnel, mon émotion s’est affaissée et par cela, la clarté et la compassion ont refait surface. J’ai commencé à penser à ces pratiquants qui me jugeaient et j’ai ressenti de la compassion pour eux. Soudainement, l’attachement à ce que mes compagnons pensaient de moi s’est dissous. Presque au même moment, j’étais entouré par les pratiquants qui m’étreignaient tous et ils étaient si heureux pour moi. Les membres de ma famille avaient tous des sourires radieux. Je ne les ai jamais vu si heureux. Tous disaient combien merveilleux sont les pratiquants, et que Falun Dafa est bon. Les larmes ont commencé à couler sur mon visage, j’étais si heureux pour ma famille.

Des mois plus tard lorsque j’étais sorti du coma, le pratiquant qui avait exposé mon attachement a dit qu’il avait en effet exprimé une opinion similaire. Après coup je vois que mon attachement a joué un rôle dans la venue de cette critique, ainsi que sa réflexion dans les autres dimensions comme j’en ai fait l’expérience. Cela m’a montré la puissance de la compassion et m’a rendu conscient de combien il est important d’avoir des pensées droites sur les autres. Pour ce qui est du pratiquant de deux pouces de hauteur qui est apparu me lisant la Loi debout sur Zhuan Falun, il a expliqué que lorsqu’il m’a fait la lecture dans la chambre d’hôpital, l’idée de demander à Maître de bien vouloir faire aller la lecture à ma conscience principale lui est venue. Bien sûr c’est exactement ce qui s’est produit et à plus d’une reprise il est apparu sur Zhuan Falun à des moments où j’étais irrationnel et en détresse, ou lorsque je traversais une épreuve et que j’en avais besoin - heureusement il apparaissait. Pour ce qui est de ma famille, lorsque je suis sorti du coma provoqué, et que chacun est venu me voir, les premiers mots qu’ils m’ont dit ont été combien les pratiquants étaient merveilleux. Mon frère, qui était auparavant empoisonné, s’était en fait retourné et m’avait même lu Zhuan Falun et utilisait des expressions telles que: il était maintenant dans la Loi. Encore une fois des larmes de joie ont coulé sur mon visage. Merci Maître, merci les disciples de Dafa.

Avec toutes les visions que j’ai eu, il semblait que j’avais vécu plusieurs mois dans les autres dimensions. Pendant ces expériences, mes attachements se sont révélés. Un en particulier a été atteint très fort - c’était ma peur. Lorsque j’étais effrayé, j’étais loin de la Loi et le monde où je me trouvais semblais déformé et perverti, et ceux qui étaient dans le monde ne pouvaient pas voir l’état incorrect des choses. J’avais envi de la Loi, je me souviens que j’ai tenté d’atteindre Zhuan Falun mais c’était tout simplement hors de portée, et une pensée m’est venue en tête à ce moment que si j’avais la chance d’apprendre la Loi à nouveau, j’étudierais le plus possible, puisque sans la Loi il y avait du chaos désordonné et de la misère, et que dans la Loi, tout était perfectionné. Plus forte était ma peur, pire les choses étaient. Lorsque j’abandonnais ma peur, j’étais définitivement capable de me concentrer et de regarder à l’intérieur, et je tentais de réciter Lunyu. Lorsque ma peur était délaissée, toutes les choses dans ce monde retournaient à la droiture.

Une fois je m’élevais vers les cieux. Je semblais passer à travers des couches, c’était comme passer à travers des seuil ou des vallées. À un certain niveau, je me suis arrêté et j’ai fait l’expérience d’être physiquement coincé, et j’ai senti combien les attachements étaient littéralement comme des fils, certains tissés si épais que c’était similaire à du tissus, me collant aux substances à ce niveau. Tandis que je luttais pour me libérer, j’ai vu un pratiquant qui était libre et d’autres qui étaient couverts à différents degrés. Je ne pouvais m’en dégager par la force, jusqu’à ce que des mots d’encouragement de ce pratiquant qui était libre, me disant de regarder à l’intérieur et de lâcher prise, ont en quelque sorte fait que je sois libre à nouveau, et allant vers le haut accompagné de ce pratiquant. Ensuite, nous avons passé d’autres couches où des êtres aux allures bizarres entouraient un trou circulaire qui semblait être une fenêtre dans le ciel, travaillant sur toutes sortes de contrôles et de leviers. Ils avaient tant d’intentions sur ce qu’il y avait en dessous d’eux et manipulaient les choses si fiévreusement qu’ils ne nous ont pas vu du tout. Nous avons été plus haut et avons traversé plus de couches, entrant dans un monde très beau, avec des arbres si grands qu’ils ont devaient avoir des milliers d’années, avec des prairies déferlantes, des cours d’eau sinueux et des forets anciennes bordant une aire ouverte. Cela semblait intact nous étions là avec d’autres pratiquants. C’était très paisible et invitant.

  La magnificence manifestée

Les pratiquants sont venus supporter cette particule de Dafa comme un seul corps. Premièrement une pratiquante savait incontestablement ce qu’elle avait à faire. Elle a organisé un horaire pour qu’il y ait un champ droit autour de moi à tout moment lorsque j’étais inconscient. Elle me faisait la lecture pendant des heures. Une fois elle a même lu pendant 18 heures d’affilées. Un tel altruisme est remarquable. Les pratiquants ont nettoyé le champ dans l’hôpital. Leur état d’esprit droit et constant sur l’idée que j’allais être correct a rassuré ma famille et a démontré la qualité d’un disciple de Dafa. Le champ droit était si fort que même mes amis qui vivaient très loin savaient aussi que j’allais être correct. Les médecins et les infirmières n’avait jamais rien vu de tel comme nos pratiquants auparavant, restant là 24 heures sur 24 à envoyer la pensée droite et à me faire la lecture. Ils ont tous appris la vérité sur Dafa et certains étaient très intéressés et voulaient lire le livre. Le bien était reconnu même par le prêtre qui a demandé s’il pouvait garder Zhuan Falun dans sa chapelle. Tant de temps a été passé là-bas par les pratiquants qu’une profonde compréhension et un respect se sont développés chez le personnel de l’hôpital, mes amis et ma famille.

Les pratiquants m’ont dit combien cela les a affectés. Je pense que nous avons tous beaucoup appris. J’ai passé trois mois dans les hôpitaux. Les pratiquants ont continué à venir même lorsque je pouvais lire moi-même. Ils venaient en apportant de la soupe chinoise au poulet faite avec l’essence de leur compassion, ce qui m’a donné beaucoup de force. Je courais presque autour de l’hôpital. Le personnel et les patients étaient émerveillés par ma guérison rapide. Parfois, lorsque c’était difficile avec le personnel et la famille concentrés sur les limitations physiques, les pratiquants visitaient et c’était comme une lumière allumée à l’intérieur de moi, et ma résolution était solidifiée. Je voudrais tous vous remercier et je voudrais remercier Maître pour la guérison compatissante et tout ce qu’il a fait pour moi.

Merci.