(Minghui.org)
Par Fei Ming, un commentateur du « Site Clartés et Sagesse »
Le vice-président chinois Zeng Qinghong et le Ministre du commerce Bo Xilai ont été en visite en Afrique du Sud du 27 au 29 juin. Les pratiquants du Falun Gong qui étaient allés là-bas, faire appel contre la persécution des fonctionnaires chinois du Falun Gong en Chine, ont été victimes de tirs à vue, le 28 juin, vers 20h :30. Au moins cinq balles ont touché la voiture des pratiquants. M. David Liang, le conducteur, a été touché aux deux pieds. Il était le seul pratiquant qui portait une veste avec les mots « Falun Dafa » dessus. Il y a évidence que ce cas pourrait représenter encore un autre acte du terrorisme d’Etat perpétré par le groupe de Jiang à l’encontre des pratiquants de Falun Gong.
Zeng Qinghong, Bo Xilai et quelques autres fonctionnaires de haut rang qui sont impliqués dans la persécution du Falun Gong de Jiang Zemin sont face à des plaintes déposées contre eux par des pratiquants de Falun Gong en dehors de la Chine durant leur visite dans des pays étrangers. Cette fois-ci, M. David Liang et d’autres pratiquants d’outre-mer sont allés en Afrique du Sud et ont projeté de porter plainte contre Zeng et Bo. Des fonctionnaires chinois comme Zeng et Bo qui ont abusé souvent de leur pouvoir en Chine et qui voyagent à l’étranger pour se montrer, craignent bien sûr que des plaintes soient déposées contre eux et ils en sont également furieux.
En Chine, Zeng et Bo ont le pouvoir de donner des ordres à la police ou des agents spéciaux du Département de la Sécurité Nationale d’arrêter des gens à leur gré, sous prétexte « d’infraction à la loi » ou à la « sécurité nationale ». Sous leur manipulation, ils ont à leur disposition les tribunaux et les juges pour mettre les gens, selon leur gré, dans des prisons et ceci au nom de la loi. Le 10 juin 1999, le régime de Jiang a établi le « Bureau 610 » (1) pour persécuter Falun Gong en contournant le système judiciaire chinois. Durant les cinq dernières années, le « Bureau 610 » a eu un pouvoir absolu sur les lois existantes. Des pratiquants de Falun Gong innocents ont été brutalement persécutés et tués. Le « Bureau 610 » est très semblable à la Gestapo des Nazis et le régime de Jiang est un groupe de politiciens très corrompus pratiquant le terrorisme d’Etat.
Dans les pays démocratiques autour du monde, Jiang et ses complices ont beaucoup de mal à mettre à exécution leur persécution. Ce genre de pays dans lesquels on peut vraiment trouver un sens de la justice ne sont pas des places où un petit nombre de fonctionnaires pourraient tirer les ficelles afin de faire ce qu’ils veulent. Les pays occidentaux ont des systèmes légaux stricts. Jiang et ses complices n’ont pas encore osé, jusqu’à maintenant, commettre un meurtre en public. Est-ce déraisonnable alors de dire qu’afin de se décharger de leur haine, ces terroristes auraient décidé de louer les services de bandits armés pour tirer sur des pratiquants, en Afrique du Sud, un endroit où la sécurité publique est incertaine ? Néanmoins, cet acte s’ajoutera à leur dossier judiciaire et va permettre à la communauté internationale de voir plus clairement les faits que ce sont les politiciens corrompus qui mettent en œuvre le terrorisme d’Etat.
Quand Bo Xilai était gouverneur de la Province de Liaoning, il avait ordonné l’arrestation du journaliste Jiang Weiping, qui avait exposé sa corruption et l’a fait condamner à 9 ans de prison. Bo était connu pour ce genre de chose. Zeng Qinghong est un proche de Jiang Zemin et a été responsable des agents spéciaux dans le Parti Communiste Chinois. Dans ce mouvement politique qui persécute Falun Gong, Bo et Zeng ont, tous les deux, les mains souillées du sang des pratiquants innocents. Ils sont de vrais criminels qui veulent à tout prix supprimer les autres. Ces politiciens crapuleux qui règnent par la terreur, seront certainement punis par la loi et par les principes célestes dans le futur.
(1) « Bureau 610 » : une agence spécialement créée pour persécuter le Falun Gong et possède le pouvoir absolu sur tous les niveaux de l’administration du Parti, des autres systèmes politiques et judiciaires.
Traduit le 1er juillet 2004