Par Li Liping
(Minghui.org)
J'ai lu un livre qui décrivait toutes sortes de méthodes d'exécution employées durant toute l'histoire mondiale, dont beaucoup sont vraiment terrifiantes. Parmi ces exécutions inhumaines, il y avait l’étoffe de soie chinoise (1) et la crucifixion. La plupart des victimes de ces massacres brutaux étaient d’innocents croyants religieux. Ces méthodes d'exécution et ces gens de foi qui ont vaincu leur peur de la mort m'incitent à penser aux pratiquants de Falun Dafa d’aujourd'hui. Peut-être leurs expériences ne sont pas aussi visiblement terrifiantes que les scènes des premiers chrétiens jetés aux lions, mais l’étendue de leurs souffrance est en fait plus grande.
Par exemple, il y a la torture de la camisole de force, qui est employée par le camp de travail pour hommes No. 3 de la ville de Xuchang, province de Henan, et dans le camp de travail provincial pour femmes de Shibalihe de la province de Henan, depuis avril 2003. Il est habituellement employé sur les pratiquants de Falun Dafa immuables qui refusent de renoncer à leur croyance. La veste elle-même est faite en toile. Elle est mise sur la victime par l'avant et serrée derrière le dos. Les manches sont d’environ 10 pouces (925 centimètres) plus longs que les bras de la victime, et elles ont des courroies. On force les pratiquants à porter cette veste et par la suite on croise et attache leurs bras derrière le dos. Ensuite, on leur tire les bras par-dessus des épaules vers l’avant de la poitrine, on leur attache les jambes et on les suspend dans les airs aux châssis de fenêtres.. En même temps, on bâillonne la bouche des pratiquants avec un tissu quelconque, on leur met des écouteurs sur les oreilles et l’on fait jouer constamment sans interruption des messages qui diffament Falun Dafa. Selon un compte-rendu de témoin oculaire, les deux bras des victimes sont immédiatement blessés. Les tendons et les os des épaules, des coudes, et des poignets sont déchirés et rompus. Quand la torture est prolongée, la colonne vertébrale est fracturée et il en résulte une mort extrêmement douloureuse
Un autre exemple vient du camp de travail pour femmes Maojiashan de la ville de Chongqing, où il y a beaucoup de punaises de bois, de puces, de poux, de moustiques et de mouches. Des pratiquants de Falun Dafa sont détenus là pendant de longues périodes, constamment battus, menottés, et enfermés à clef en emprisonnement solitaire. Par conséquent, beaucoup de pratiquants ont le corps enflé et des éruptions. La police du camp de travail torture les pratiquants en appelant cela un « traitement » La police a donné l’ordre à un détenu qui avait été toxicomane de mettre de « l’onguent médical » sur les pratiquants. Parfois, la police laisse six à sept prisonniers s’occuper d’un seul pratiquant. Ils traînent le pratiquant dans la cour de jeu, lui enlèvent ses vêtements pour ensuite lui appliquer la crème sulfureuse sur le corps par poignées. Les gants qu’ ils portent sont couverts de sang et de saletés. Ils ne lavent pas les gants, et s’en servent directement sur les pratiquants. Pour les pratiquants qui résistent, on les suspend par les menottes à la suite de cette torture. Les corps des pratiquants sont couverts de saletés et de sang, et la gale s’empire au lieu de s’améliorer. Cette torture douloureuse est devenue une routine quotidienne-là.
Dans les camps de travail dans tout le pays, beaucoup de pratiquants de Falun Dafa illégalement détenus ont fait la grève de faim pour protester de la persécution. Afin d’accroître le taux de « réforme. » le gavage forcé est devenu un moyen régulier de torture des pratiquants par les gardiens. Dans nombre de cas, plusieurs gardiens ou prisonniers, qui ne sont pas des professionnels de la médecine, introduisent férocement dans le nez et la gorge des pratiquants de tubes de caoutchouc dur ou de plastique, qui ne sont pas les instruments médicaux réguliers et ne sont pas lubrifiés. Puis, par les tubes, ils gavent les pratiquants de solutions à haute teneur de sel concentré dans lesquelles le volume de sel est plus grand que le volume d'eau. Parfois, ils les gavent de farine d'avoine crue et d’eau, de potage de poudre de piment, de boisson alcoolisée et de drogues stimulantes pour l'estomac. Afin d'inciter les pratiquants faibles en raison de la grève de faim à flancher rapidement, la police et les prisonniers font un mouvement de va-et-vient avec les tubes en les rentrant et sortant complètement à plusieurs reprises comme moyen de torture. Presque tous les pratiquants qui passent par la purge de gavage forcé saignent du nez et de la gorge, leurs estomacs sont enflés et ont de vives sensations de brûlure. Quelques pratiquants ont été suffoqués parce que le tube est entré dans leur trachée, et certains ont vomi une grande quantité de sang. Nous voulons préciser que ce genre de gavage forcé est fait à plusieurs reprises : aussi longtemps que les pratiquants respirent, ils sont gavés. Beaucoup de gens ont arrêté leur grève de faim parce qu'ils ne pouvaient plus endurer une telle torture cruelle.
Les tortures des temps anciens visaient à infliger la douleur au maximum pendant le plus longtemps possible, finissant par la mort. Habituellement ceci prenait plusieurs jours au plus. Bien que nous ne devrions pas essayer peut-être de mesurer la douleur, puisque toute douleur de victimes innocentes est inacceptablement immense, je veux juste faire une remarque. La torture des pratiquants de Falun Dafa par Jiang et ses cohortes ne s'arrête pas à la mort. Le but de cette persécution est de forcer les pratiquants à abandonner leur foi. C’est semblable à obliger un bouddhiste à maudire Shakyamuni ou exiger qu’un chrétien maudisse Jésus. C’est inacceptable pour un croyant. Pour cette raison, Jiang a ordonné à la police et aux autres autorités de torturer brutalement ces pratiquants de Falun Dafa.
Jiang a lié le taux de « réforme » avec les bonus pour les officiers de police, et a assigné un taux de « mortalité » à chaque région. Par conséquent, ces policiers emploient toute leur force pour torturer les pratiquants, ne craignant pas la responsabilité, même si des pratiquants sont torturés à mort. Puisque le but de la torture n'est pas la mort, mais la « réforme » le seul but de la torture est de créer une douleur intense et lancinante afin de forcer les pratiquants à renoncer à leur foi. Ce genre de douleur ne se limite pas à quelques heures mais dure de jour en jour, de mois en mois, d’année en année. Ce genre de douleur est pire que la mort, et c'est pourquoi des gens ont dit, « Cela rend la vie plus dure que la mort» Quelques pratiquants ont choisi la mort plutôt que d’endurer la douleur plus longtemps. C'est absolument contre les enseignements de Falun Dafa, mais c'est le résultat de cette persécution perverse. Jiang et ses cohortes emploient les médias contrôlés par l’état pour calomnier le Falun Dafa; ils les torturent à mort, et là ils les condamnent froidement comme ayant commis le suicide.
Il y a une autre différence entre les tortures des anciens temps et celles que les pratiquants de Falun Dafa endurent. Dans les temps anciens, ces massacres avaient lieu en public pour effrayer la population . Il n'y avait pas de dissimulation puisqu'elles avaient lieu pour leur effet terrifiant. Mais actuellement, la liberté de croyance et la liberté de parole sont des valeurs communes dans le monde entier, et sont même affirmées dans la constitution chinoise. Tous ces crimes ont lieu dans les coulisses, et ne visent pas à produire des décès pour effrayer le public, mais pour « réformer » les pratiquants en les forçant à condamner leur propre foi à la TV, et laver un peu plus le cerveau du grand public. C'est pourquoi Jiang a non seulement créé des conditions pires que la mort pour les pratiquants, mais dissimule également ses actions perverses, et décore quelques camps de travail pour montrer au public. En suivant les traces d’ Hitler, il a invité les journalistes d'outre-mer à visiter les camps de travail décorés pour que cette exposition trompe les médias du monde. C’est justement ces duperies qui rendent cette perversité encore plus mauvaise.
Nous devons exposer les mensonges de Jiang et de ses cohortes et aider le public à voir à quel point ils sont cruels Nous devons sans équivoque condamner les crimes de Jiang. C'est une étape indispensable pour faire cesser cette torture cruelle. J'espère que les expositions anti-torture par les pratiquants de Falun Dafa continueront de se perfectionner partout dans le monde, qu’elles s’harmoniseront avec d'autres formes de clarification de la vérité et exposeront à la lumière du jour les actes pervers de Jiang et ses cohortes.
(1) Étoffe de soie: une victime est étranglée à la mort avec un tissu en soie.
(1) Silk-cloth: a victim is strangled to death with a silk cloth.