(Minghui.org)

16 -- Le choc électromagnétique

Les pratiquants de Falun Dafa sont entrain de résister paisiblement, à la persécution menée par le gouvernement de Chine, afin de pouvoir garder leur foi. Le choc électromagnétique est une des nombreuses formes de torture employée dans les camps de détention, les camps de travail et les centres de lavage de cerveau.

Afin de torturer les pratiquants inébranlables, la police place sur la tête ou sur la poitrine du pratiquant un appareil électronique qui lui apporte un choc instantané. Cet appareil de torture peut endommager sévèrement le cerveau et les organes internes, ceci pouvant amener à une perte de la mémoire, de la confusion, une perte d’énergie, d’extrêmes douleurs mais aucune blessure visible sur la surface du corps, car le dommage est causé par des ondes sonores ou par des vibrations.

Cet appareil est constitué d’une aiguille électrique, comme un bâton électrique, connectée à d’autres petites et grandes aiguilles de même type. Ceci peut causer une convulsion de tous les muscles du corps. Madame Zhao Ru de la ville et de la province de Jilin a été torturée avec cet appareil. Elle s’est effondrée et a dû être emportée.

17 – L’exposition sous le soleil torride

Les pratiquants de Chine résistent avec la non-violence, face aux méthodes contraignantes utilisées par le gouvernement, pour garder la vérité de leur croyance. L’exposition sous un soleil torride est l’une des tortures qui est infligée dans les camps de détention, de travail forcé et dans des centres de lavage de cerveau.

La police met aux fers les pratiquants à l’extérieur sous le soleil brûlant, ceci apportant la déshydratation, l’évanouissement, les coups de soleil, etc.

Durant des séances de lavage de cerveau, la police enferme des pratiquants à l’intérieur d’une cellule étouffante et mal ventilée pour ensuite augmente la chaleur afin de les torturer.

18 – Traînés derrière un véhicule

Les pratiquants de Falun Dafa résistent paisiblement face aux méthodes de torture en restant imperturbables dans leurs croyances. Le fait d’être tiré derrière un véhicule est une des tortures infligée dans les centres de détentions, les camps de travail ou dans les centres de lavage de cerveau.

Des officiers de police et des gardiens de camps traînent les pratiquants, attachés avec des cordes, derrières un véhicule roulant à vive allure, ceci cause de très sérieuses blessures sanglantes dans les chairs et parfois met les os à vifs.