La trahison de Jiang Zemin
(Minghui.org)
Par
Lin Zhanxiang
La fausseté et la nature trompeuse de Jiang Zemin
ont été clairement exposées au niveau international. Jiang Zemin fait part de son
intention de se retirer de toute position officielle, pourtant, à l’aide de
complots, il a conservé sa position en tant que chef de la commission militaire
centrale lors du 16ème congrès national. En analysant la situation
il semblerait qu’il continue de demander à tout le monde d’adhérer à sa
déclaration des « trois
représentations » (1). Derrière les scènes, il abuse honteusement de son pouvoir et forme des cliques
pour mieux satisfaire ses intérêts personnels. Il est coupable d’escroquerie et
de corruption et il abrite des dégénérés mais subordonnés fiables. En surface
il apparaît être un gentilhomme honorable, mais en réalité c’est un scélérat
sans scrupule, déguisé.
Dans la persécution du Falun Gong, le truc de la duperie employé par Jiang est pleinement exposé. De l’autre point de vue, il utilise les mensonges pour tromper le
public au moyen des médias d’état. Et d’un autre point, il a choisi les méthodes les plus insidieuses,
vicieuses et cruelles pour torturer les pratiquants de Falun Gong.
Jiang affûtait son couteau derrière les revendications du « Jamais Interdit »
Après l’appel pacifique des pratiquants du Falun Gong le 25 avril 1999, la situation avait été résolue d’une manière satisfaisante, tant le bureau d’appel du comité chinois que le bureau du département de l’appel au niveau national ont émis le 27 avril une déclaration que ni le gouvernement central ni aucun gouvernement local n’avaient jamais interdit le Falun Gong. Le 14 juin, les deux bureaux d’appels ont réitéré le fait que le gouvernement n’avait jamais interdit le Falun Gong. L’agence de presse Xinhua a aussi publié un article affirmant que le Falun Gong n’avait jamais été persécuté ou interdit. Dans cet article on demandait au lecteur de ne pas croire les rumeurs. Le 13 juin, soit quelques jours avant que Jiang Zemin lance sa persécution, le Peoples’s Daily (3) a publié un autre commentaire disant que « pratiquer du Qi-gong ne signifie pas être superstitieux et ni n’est pas contraire à la Loi. »
En même temps que l’Agence de Presse Xinhua prétendait que le Falun Gong n’avait pas été persécuté ou interdit, Jiang, mené par la jalousie et la haine, complotait secrètement et préparait une persécution du Falun Gong à grande échelle
Le 25 avril 1999, Jiang Zemin a envoyé une lettre, pendant la nuit, au politburo. Il a fait circuler sa
lettre personnelle à l’intérieur du
comité central comme un
document ultrasecret. Le 7 juin, Jiang a tenu un discours à une réunion du Politburo concernant la question du
Falun Gong. Le 13 juin, le comité central a distribué le discours de Jiang
Zemin comme discours officiel. Dans son discours, Jiang a, sans fondement, étiqueté le Falun Gong comme un ennemi
politique du parti et a déclaré la suppression du Falun Gong comme « une
bataille politique. » Ce discours a posé la fondation de base pour
mobiliser le parti communiste et le pays entier à secrètement préparer la
persécution du Falun Gong.
Basé sur le discours du 7 juin, le régime de Jiang Zemin a mis en place le
10 juin 1999 le « bureau pour traiter la question du Falun Gong » (aussi connu sous
le nom de « bureau 610. ») Ce bureau a reçu la
responsabilité d’organiser et de diriger la persécution du Falun Gong.
Pendant cette période, Jiang et ses conspirateurs ont publié plusieurs
documents secrets concernant le Falun Gong. Par exemple, le 17 juin, un
document officiel a été envoyé à la province de Shandong –site
d’expérimentation dans l’élimination du Falun Gong- exigeant que tous les
membres du parti et du gouvernement cessent de pratiquer le Falun Gong. Le 20
juillet 1999, lorsque tous les secrets complots et plans ont été complétés,
Jiang a lancé la brutale persécution sur le Falun Gong.
Les actions criminelles de Jiang sous le couvert du slogan « En
Dirigeant selon les lois »
Un des slogans les plus médiatisé par les médias officiels –contrôlés par
Jiang Zemin- est « En dirigeant selon les lois. » En réalité Jiang a remplacé les lois par son
pouvoir. La persécution du Falun Gong viole la Constitution de la Chine. Il n’y a pas eu de discussion au Congrès
du Peuple, ni aucune ouverture d’enquête par la cour de la loi ni par les procureurs. Au contraire, la stabilité
de la société a été détruite et les intérêts nationaux mis de côté. La
persécution a été instaurée par la dictature et, les droits fondamentaux de liberté de croyance du peuple
chinois, protégée par la Constitution, ont été violés. Au nom du gouvernement et du peuple, Jiang Zemin a
utilisé et utilise tout le pouvoir et les ressources du parti et du
gouvernement chinois dans cette persécution. Des personnes innocentes ont été arrêtées
et tuées à volonté. Ce n’est rien d’autre que du
terrorisme d’état.
Jiang Zemin s’est placé lui-même, au-dessus de la loi et a piétiné la Constitution et les lois. Il a détruit tous les efforts qui ont établi un système légal après que la Chine ait adopté la réforme et la politique d’ouverture sur l’extérieur. En même temps Jiang faisait usage de mensonges pour diffamer le Falun Gong, il a aussi contraint le gouvernement, les fonctionnaires du parti et la police à enfreindre la loi. Ils ont arrêté de manière intempestives des pratiquants de Falun Gong, ont fouillé et pillé leur domicile et les ont envoyé en prison et dans les camps de travaux forcés. Ils ont aussi extorqué de l’argent des pratiquants et de leur famille, les ont battu et ont même tué des pratiquants. Les pratiquants de Falun Gong sont privés de tous leurs droits légaux. Par exemple, quand les pratiquants du Falun Gong font appel en accord avec la loi, ils sont accusés de « perturbation de l’ordre social. » Le gouvernement a demandé à la population d’avoir confiance dans le gouvernement, mais lorsque les pratiquants ont essayé de faire part de leur situation au gouvernement ils ont été accusés d’être « anti-gouvernement » et d’avoir des motivations politiques.
Selon une analyse d’experts légaux, le régime de Jiang Zemin a utilisé son pouvoir et a piétiné la loi dans la persécution des pratiquants de Falun Gong, violant la loi criminelle chinoise. Ces actions violent les articles 35, 36, 37, 38, 39, 41 et d’autres, de la Constitution de la République de Chine. Selon les articles 13 et 14 de la loi criminelle chinoise, de telles actions peuvent être catégorisées comme des crimes intentionnels qui incluent le harcèlement, la diffamation, la privation illégale des droits fondamentaux des citoyens à leur croyance, l’abus de pouvoir, des fausses accusations et la des accusations mensongères, la fabrication de fouille individuelle et illégale, d’extorsion et de confession sous la torture, de transgression du droit à la correspondance, ce qui inclus ; l’ouverture, la dissimulation et la destruction de courrier et de télégrammes personnels, les vengeances officielles, la fabrication de preuves, l’empêchement de témoigner, les vengeances contre les témoins, les abus des détenus qui intentionnellement injurient, blessent intentionnellement et ainsi de suite.
La soi disant « Rééducation comme une brise de printemps » est en fait une cruelle persécution
Sous les politiques imposées par Jiang Zemin et ses instructions secrètes telles que
« diffamer leur réputation, les ruiner financièrement et les détruire
physiquement » et « la mort de pratiquants de Falun Gong
sous les coups reçus n’est rien et doit être considéré comme un suicide », les fonctionnaires ont appliquées les tortures les plus inhumaines
à l’encontre des pratiquants de Falun Gong. En voici quelques exemples ; percer
les doigts avec des bâtons de
bambou, le banc de tigre (4), le lit de la mort (5), le
gavage forcé, les mauvais traitements physiques, suspendre par les menottes, l’enfermer dans une
cage, la compresser sous des objets lourds, les électrochocs, la brûler, la pendre et la battre, et les
lavages de cerveau. Ils ont tiré sur des pratiquants non armé et ont injecté
des drogues chimiques à des pratiquants sains et normaux pour détruire leur système nerveux
central. De plus des actes absolument monstrueux -des
abus sexuel et des viols collectifs- ont été perpétrés contre des pratiquantes.
Pourtant Jiang revendique son pouvoir de contrôle sur les médias d’état pour
publier et déguiser d’horribles crimes commis
par son régime en prétendant que les pratiquants de Falun Gong sont
« rééduqués avec soin et amour. » Une propagande si mensongère et si
hypocrite de la part du gouvernement ne peu cependant pas cacher le bain de
sang et les tortures qui arrivent derrière les scènes en Chine, à l’abri des regards. Une
telle démarche a aussi fait en sorte qu’on se méfie de la Chine et a ruiné la
réputation du gouvernement.
Réciter la proclamation d’émancipation du président américain Lincoln
tout en pratiquant un terrorisme d’état.
Beaucoup de personnes parviennent encore à se souvenir de Jiang Zemin, lorsqu’il
recevait des visites gouvernementales d’autres pays, louant la démocratie dans
des langues étrangères. Il a même récité la proclamation du président américain
Lincoln, dans lequel Lincoln déclarait que tous les esclaves devraient être
libérés. Jiang a aussi chanté et dansé comme un clown. Ces facettes aimables ont
été des mises en scènes pour créer
l’illusion d’une amitié envers la communauté internationale. Derrière son jeu
d’acteur Jiang utilise toutes les méthodes dont il a besoin pour exporter ses mensonges et son
terrorisme d’état. Par exemple, Jiang a personnellement distribué aux présidents
d’autres pays des livrets diffamant et calomniant le Falun Gong. Il a ordonné
que les fonctionnaires des consulats de Chine et les agents spéciaux répandent
des mensonges diffamant le Falun Gong et d’ harceler les pratiquants en dehors
de la Chine continentale. Il a même exporté et dirigé le terrorisme d’état. Les
récents incidents qui ont eu lieu en Afrique du Sud, dans lesquels un pratiquant
de Falun Gong australien a été
sérieusement blessé par des tirs en sont un exemple.
En même temps, le régime de Jiang use les intérêts politique et économiques
pour corrompre, mettre sous
pression d’autres pays et acheter le silence de la communauté internationale
concernant les abus des droits humains et
le génocide qu’il est en train de commettre en persécutant le Falun
Gong.
Le comportement immoral de Jiang sous l’emblème de « Gouverner dans
la vertu »
En juin 2004, Jiang Zemin a promu son garde du corps personnel au rang de
général. Cet acte a laissé perplexe les observateurs en dehors de la Chine.
Certains ont même dit que Jiang Zemin était devenu fou. La manière de penser de
Jiang Zemin est complètement tordue et son esprit est gouverné par l’hypocrisie
et la vanité. Avide et empli de la luxure du pouvoir, Jiang est sans scrupule et a un cœur de pierre. Face à sa
faillite à supprimer le Falun Gong, Jiang est rempli de peur et de haine.
Mentir est sa seconde nature. Il utilise le gouvernement pour fabriquer et
répandre des mensonges diffamant le Falun Gong. Il ordonne que les pratiquants
soient enfermés ou condamnés sans charge contre eux. Pour promouvoir la haine
contre le Falun Gong parmi le population, Jiang a même mis en scène l’incident
des « auto-immolations » sur la place de Tienanmen. Avec l’exposition
de ces actes pervers, Jiang ne peut plus cacher sa tyrannie de boucher avec
l’hypocrisie.
Le Falun Gong enseigne aux pratiquants de suivre les principes de
« Authenticité Bienveillance Tolérance » pour cultiver leur esprit et
leur corps. Il est requis des pratiquants d’élever leur niveau moral. Si le
régime de Jiang veut gouverner avec la vertu, il devrait accueillir le Falun
Gong et le promouvoir parmi la
population. Au contraire, Jiang Zemin persécute non seulement le Falun Gong,
mais exige de la police et de la population d’ignorer les vrais criminels et de
concentrer leurs forces sur l’arrestation des pratiquants qui osent parler de la
vérité. Dans le but de capturer les pratiquants de Falun Gong, la police a reçu
l’ordre d’arrêter les touristes et les promeneurs dans le public et de leur demander de
diffamer le Falun Gong en le
profanant. Toute personne qui refuse d’agir ainsi est considérée pratiquer le Falun Gong et
est arrêtée. De tels faits surviennent même sur la place TienAnMen. Le
comportement immoral de Jiang dégrade sérieusement les repères moraux de la
population et minent la culture
chinoise.
Une fois que la population brise le blocage de l’information et les mensonges, elle verra au-delà des « faces souriantes » du régime et reconnaîtra clairement la trahison qu’il a commise. La population comprendra que la persécution du Falun Gong par le régime de Jiang a clairement causé la séparation du gouvernement de ses citoyens. Vu d’une manière superficielle, la Chine se modernise, construits beaucoup de gratte-ciels et bénéficie d’énormément d’investissements de l’étrangers. Mais lorsqu’on soulève cette première couche, on découvre que le régime de Jiang contrôle le gouvernement pour persécuter inhumainement ses propres citoyens. Cette persécution a causé d’énormes souffrances à la population.
Notices :
(1) Les «trois représentations » -- un outil de propagande et de
promotion de Jiang Zemin qui prétend que les supports publics et en général de
la population chinoise soutient le
parti communiste parce que le parti représente les besoins de développement des
forces de productions de la Chine, parce qu’il est garant de la culture
chinoise, et parce qu’il s’occupe du bien-être général de la population. Jiang
a exigé du gouvernement de suivre cette propagande afin de mieux diriger le
pays.
(2) L’agence de presse Xinhua est l’agence de presse officielle du
gouvernement communiste chinois. Cette agence s’occupe de toutes les
déclarations de presses publiques du gouvernement.
(3) People’s Daily est le plus grand journal contrôlé par le gouvernement chinois.
(4) Le banc du tigre – Les pratiquants sont forcés de s’assœire sur un
petit banc en acier qui fait environ 20 cm (6 pouces) de large, les genoux
attachés ensembles. Les mains sont attachées derrière le dos ou parfois sur les
genoux. Les pratiquants sont forcé de s’assœire le dos droit et de regarder
droit en face d’eux. Ils ne sont pas autorisés de tourner leur tête, de fermer
les yeux, de parler à qui que ce soit, ni de bouger. Plusieurs détenus
criminels sont désignés pour surveiller les pratiquants et les forcer à rester immobiles
pendant qu’ils sont assis sur le banc. D’habitude des objets durs sont insérés
sous les hanches ou le bas des jambes pour rendre la torture plus insupportable
et faire craquer les pratiquants.
(5) Le lit de la mort - est
une torture dans laquelle les quatre membres du pratiquant sont étirés et
attachés au quatre coins d’un lit métallique très froid. Le pratiquant ne peut
pas du tout bouger. Il n’est pas autorisé à se lever, à manger, à boire ni à se
rendre aux toilettes. La durée de cette torture varie entre plusieurs heures et
plus d’une douzaine de jours. Ce type de torture cause de graves dommages
physiques et mentaux au pratiquant.
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