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Trouver le temps d’étudier la Loi

4 septembre 2004

(Minghui.org)

Ecrit par un pratiquant de Chine

Pour avoir plus de temps pour étudier la Loi, j’ai déduit qu’il fallait que je réduise mon temps de sommeil chaque nuit. Ayant pris cette décision consciente, j’ai surmonté le problème de sommeil en pratiquant les exercices de Falun Gong. Je n’arrêtais pas de bâiller en pratiquant le premier, le troisième, et le quatrième exercice. J’ai de nouveau commencé à pratiquer le second exercice et j’ai commencé à transpirer, mon nez coulait et mes yeux étaient tout larmoyants. C’était comme si une grosse montagne me pressait d’en haut et je n’arrivais pas à me redresser. Tout mon corps tremblait, et je me sentais comme si je suffoquais. Je devais garder ma bouche grande ouverte pour respirer. Je commençais à réciter dans ma tête ce que Maître nous a appris : « Sois capable d'endurer ce qui est difficile à endurer, et capable de faire ce qui est difficile à faire. » (Zhuan Falun) Je me sentais prêt à m’effondrer, quand soudain la montagne disparut et je ne sentais même plus où était mon corps. Seul mon esprit était encore là. Je me sentais grandement ressourcé quand j’ai fini l’exercice. Je crois que les facteurs qui causaient le sommeil ont été évacués avec la sueur, les larmes et le nez coulant. Depuis lors, j’ai raccourci mon temps de sommeil chaque nuit et l’ai remplacé par l’étude de la Loi. Dès que j’ai sommeil la nuit, je commence à pratiquer les exercices de Falun Gong. (Notez que ceci est mon expérience personnelle. Chaque pratiquant peut avoir des états différents ; de ce fait ne poussez pas les choses à l’extrême, pour ne pas vous affecter dans votre travail. )

J’étais plutôt introverti. J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998. Au début de la persécution du Falun Gong en 1999, j’ai perdu contact avec les compagnons pratiquants et de ce fait j’ai pratiqué seul. Cependant, je ne me suis jamais senti seul. A chaque fois que je pense aux millions de compagnons pratiquants dans le monde, je me sens tout plein d’un sentiment chaleureux et ne peux pas m’empêcher de pleurer. C’est difficile à décrire pour moi. A chaque fois que je sens de la peur, je récite dans ma tête le poème de Maître :

Non existence

Vivre sans rien poursuivre,
Mourir sans regrets,
Toute pensée absurde éliminée,
Cultiver Bouddha n’est pas difficile.

Traduit en France le 25 août 2004.