(Minghui.org) Par la pratiquante de Falun Dafa Mme Liu Jinghang vivant
à Sydney, Australie Mon nom est Liu Jinghang, je suis une ancienne chercheuse associée à l’Institut de Recherche d’Application Sensitive à Distance de l’Académie chinoise des Sciences. J’ai maintenant plus de 60 ans. Parce que je pratique Falun Dafa et crois en ‘’Authenticité, Compassion et Tolérance’’, j’ai été arrêtée par le régime de Jiang Zemin six fois sans aucune raison légale, et mon domicile a été fouillé trois fois. J’ai été condamnée à trois ans de prison et détenue jusque dans 10 endroits différents. J’ai personnellement expérimenté et été témoin de la persécution et du génocide contre les pratiquants de Falun Dafa par le régime de Jiang Zemin. Clarifier la vérité au Département de police de Haidan Le soir du 6 février 2004, la police est soudainement apparue pour fouiller ma maison, et j’ai été emmenée pour la sixième fois. J’ai été détenue au Département de police de Haidan de la ville de Pékin. Lorsqu’ils m’ont interrogée, j’ai découvert qu’ils étaient après moi parce que j’avais participé à l’organisation d’ activités de rectification de la Loi pour les pratiquants Place Tiananmen, la veille de la nouvelle année chinoise 2002. Au début, ils m’ont effrayée, disant, ‘’C’est une grosse affaire dont Jiang Zemin a personnellement demandé qu’elle soit ‘minutieusement examinée’ et ‘cette fois tu ne dois pas t’attendre à sortir.’’ J’étais très calme, parce que je savais que chaque chose que j’avais faite était pour Falun Dafa et qu’il n’y avait rien de honteux ou de mal là dedans. Je savais qu’il y avait Maître et la Loi et que je n’avais rien à craindre. Ainsi j’étais toujours calme et je souriais. Pendant sept jours ils m’ont interrogée au moment d’aller me coucher. Ils
essayaient seulement de me priver de sommeil. Mais j’étais une pratiquante,
et capable de garder ma tête claire. Je leur ai dit de façon répétée que
Falun Dafa n’avait aucune organisation et que je n’avais donné aucun ordre
à qui ce soit de faire quoi que ce soit. Je leur ai dit que les actions de
chaque pratiquant relevaient de leur propre choix personnel et que je ne
connaissais aucun pratiquant à l’étranger. Bien que la police soit très brutale,
je continuais à sourire et restais calme. Chaque fois que j’en avais la chance,
je leur parlais de mon expérience personnelle de cultivation et comment cela
m’avait aidé à améliorer mes standards moraux, ainsi que des effets miraculeux
de Falun Dafa qui m’avaient rendue en forme et en bonne santé. Souvent j’étais
la seule à parler, et ils gardaient juste le silence et ne disaient rien.
Je sentais que le pouvoir de Falun Dafa suffoquait les intentions perverses
de la police. Arrêter le mal au Centre de Détention du département de police de Pékin. La section # 7 est l’endroit le plus horrible que la faction de Jiang a imaginé pour persécuter les pratiquants de Falun Dafa. Une fois que vous avez mis un pied à l’intérieur, vous pouvez immédiatement sentir l’influence du mal et du meurtre. C’était très terrifiant. Je dormais prés de détenues qui avaient commis des meurtres et celles qui étaient condamnées à mort. Je pouvais toucher les chaînes froides. Lorsque vous etes dans la cellule, vous pouvez entendre le son de chaînes traînant dans le corridor. Chaque jour, quelqu’un était tiré à l’extérieur pour être exécuté. Je pouvais aussi entendre les cris de douleur de ceux qui étaient battus par les gardes. Chacun dans la cellule était déprimé et d’humeur maladive. Les coups éclataient sur des questions mineures. Le passage a tabac était vraiment terrifiant. Beaucoup de rumeurs se répandaient autour de la cellule.
Par exemple, il était dit que la Section # 7 exécutait parfois les détenues
par l’injection de poison. >Les gardes avaient la réputation de vouloir
vendre les organes des détenues exécutées, ainsi c’était mauvais signe
si quelqu’un subissait fréquemment des examens physiques. Quelqu’un a même
dit que la cellule au bout du corridor était hantée parce qu’il y avait
trop de morts arbitraires dans la Section # 7. Si les rumeurs restaient
des rumeurs, je trouvais à chaque interrogatoire que les agents, les gardes
et les capitaines de la Section # 7 avaient des visages gris et lugubres Vivre sans recherche, (Hong Yin, traduction provisoire sujette à amélioration) Habituellement, lorsque les détenus passaient devant les gardes à la porte du centre de détention, ils devaient s’accroupir avec les bras autour de leur tête. Mais je ne me suis pas accroupie parce que j’étais innocente, pas une criminelle. La Section # 7 était réellement ’’ l’Académie Avancée’’ du système correctionnel.
La salle d’interrogatoire était très grande, avec un tapis rouge et toutes
sortes d’équipements. Ils surveillaient les systèmes dans des pièces séparées.
Quelques gardes jouaient les gars gentils et d’autres jouaient les gars mauvais.
Quelquefois, ils essayaient de vous effrayer et quelquefois essayaient de
vous tromper. Mais quelles que soient les tactiques qu’ils utilisaient, je
les traitais de la même façon que ceux du Centre de détention Haidian. Je
n’avais pas besoin d’y penser ou de préparer. Je pensais simplement que je
faisais une chose juste et que j’étais innocente. Et dés que j’en avais la
chance, je leur clarifiais la vérité. Ils m’ont demandé pourquoi j’étais
si ‘’accrochée’’ au Falun Dafa. Je leur ai alors dit que j’avais beaucoup
de maladies chroniques depuis l’age de 20 ans. J’étais malade pendant prés
de 35 ans. J’avais pratiqué beaucoup de sortes de qigong et aucun d’entre
eux n’avait été efficace pour me rendre en bonne santé. Seul Falun Dafa avait
eu l’effet miraculeux de me guérir de mes maladies et de m’aider à me sentir
en forme. Je leur ai dit que depuis que je m’étais mise à la pratique de
Falun Dafa, je n’avais eu besoin de prendre aucun médicaments et que je n’avais
rien coûté au gouvernement en dépenses de santé. Ils m’ont demandé pourquoi
une scientifique comme moi était devenue ‘’superstitieuse’’. Je leur ai alors
dit que Falun Dafa était la science la plus profonde et la plus extraordinaire
et n’était pas une superstition. Je leur ai aussi parlé des limitations de
la science moderne, de l’ancienne science chinoise et de mes propres expériences
miraculeuses. lls ont dit que Falun Dafa perturbait la stabilité publique.
Je leur ai alors montré avec mes propres exemples combien Falun Dafa bénéficiait
à la nation et à la société et ne causait aucun tort. Je leur ai dit ce que
j’avais fait en regard des deux plus importants intérêts personnels du peuple
chinois : promotions professionnelles et logement. Je leur ai dit que j’avais
abandonné une opportunité de promotion de Professeur Titulaire de Recherche
pour que les autres puissent avancer. J’ai aussi décrit comment mon mari
et moi- avions renoncer au droit à un logement plus grand et meilleur à cause
de l’intense compétition pour le logement sur mon lieu de travail. Je n’étais
pas non plus inquiète au sujet de mon salaire et travaillais juste durement
sur mes recherches. Trois fois, j’ai reçu la Récompense pour l’Accomplissement
de 2eme classe de l’Académie de Science Chinoise. Les gardes sont restés
sans voix et ont perdu leur arrogance.. A la fin, il a dit, ‘’Je vois que vous etes une gentille dame. Nous ne voulons pas vous condamner à la prison. Mais si je vous relâche, pouvez vous garantir que vous ne sortirez pas pour participer à des activités ? Vous pouvez juste rester chez vous pour pratiquer les exercices si vous voulez.’’ J’ai répondu fermement, ’’Non, je n’écrirais pas une telle déclaration.’’ Il a dit, ‘’ Vous n’avez pas à écrire une telle garantie, juste la dire verbalement.’’ Je savais que c’était un appât pour me faire abandonner la pratique. J’ai secoué ma tête et dit : ‘’Je ne le dirai pas. Je juge avec Dafa pour savoir si je dois participer à des activités. Si c’est en accord avec les principes de Falun Dafa, je le ferai. Si ce n’est pas en accord avec ces principes, je ne le ferai pas, peu importe qui me dit de le faire. Je n’ai commis aucun crime. Pourquoi me détenez-vous ici ? Vous devez me laisser rentrer chez moi.’’ Plus tard, le procureur m’a appelée aussi dans le couloir et m’a dit, ‘’Si vous dites seulement que vous ne sortirez pas participer à une activité quelle qu’elle soit, vous serez relâchée.’’ Mais j’ai refusé. Lorsque les détenues dans la cellule ont entendu cela, elles ont toutes pensé que j’étais trop têtue. Elles ont dit,’’ Tu dois rentrer chez toi dés que possible. Ne restes pas dans cet endroit de torture.’’ Je leur ai dit, ‘’Pour ma croyance et ma pratique d’Authenticité, Compassion et Endurance, je préfère rester en prison que de dire que je ne participerai plus aux activités de Falun Dafa.’’ Bien qu’elles ne pouvaient pas complètement me comprendre, elles ont toutes admiré la droiture et la ferme croyance des pratiquants. Toutes les autres détenues dans la cellule étaient des délinquantes criminelles emprisonnées pour meurtre, trafic de drogues, vol, corruption, et ainsi de suite. J’étais la seule qui n’avait commis aucun crime. J’étais détenue dans un endroit si horrible juste pour avoir essayé d’être une bonne personne et de croire en Authenticité, Compassion et Endurance. Elles sentaient toutes que la faction de Jiang était trop cruelle et déraisonnable. Clarifier la vérité en prison La faction de Jiang a réalisé que les menaces et les séductions ne marchaient
pas. Ainsi ils ont demandé que les gardes me torturent et me privent de mes
droits fondamentaux dans une tentative d’user mon pouvoir de volonté. Mais
ces tactiques n’ont pas marché. Au contraire, j’étais capable de parler de
Falun Dafa à plus de gens. Selon l’article # 64 de la Loi Criminelle Chinoise, les autorités doivent
informer la famille du détenu ainsi que son unité de travail des raisons
et de l’endroit de la détention dans les 24 heures après la détention. Mais
la police n’a jamais informé ma famille ou mon unité de travail du début
jusqu’à la fin. Lorsque ma famille a demandé après moi au bureau de police
et sur mon lieu de travail, ainsi qu’au comité de voisinage, ils ont tous
répondu qu’ils ne savaient pas et qu’ils n’avaient aucun moyen de le découvrir.
Une personne avait juste disparu dans l’air. Ma famille était très anxieuse.
La soi-disant loi était devenue pure décoration et gaspillage de papier.
Je ne pouvais pas non plus obtenir des informations au sujet de mon mari
et des autres membres de la famille. Le centre de détention a aussi forcé des détenues à prendre des tours la nuit. Si la personne de faction était découverte faisant un somme ou avec ses yeux fermés, elle était punie. La seconde moitié du changement de nuit, de 2 : 00 à 6 : 00, était la plus difficile. Le second jour il n’y avait pas de repos pour la personne de garde la nuit. C’était très fatigant, et personne ne voulait assurer le tour de nuit. J’étais l’une des plus âgées de la cellule, mais j’étais pratiquante, alors j’étais souvent assignée au deuxième tour de nuit. Je ne me plaignaispas. J’utilisais le temps en service pour faire les exercices et présentais Falun Dafa a ceux qui étaient sur le deuxième tour de nuit avec moi. Je leur enseignais les exercices de Falun Dafa et les articles de Maître. Bien qu’ayant moins de nourriture et de sommeil, et étant plus âgée, ma résolution n’a pas du tout flechie sous cette persécution. Sans considération pour les crimes dont les détenues de ma cellule étaient accusées, je n’avais pas de discrimination contre elles. Au lieu de ça, je les ai traitées avec tolérance et gentillesse. J’ai souvent aidé celles qui étaient menottées a peigner leurs cheveux, mettre des vêtements et prendre des douches. J’ai pris sur moi-meme pour faire des choses comme balayer le sol, plier les draps et les couvertures et nettoyer. Les détenues voyaient que je pouvais endurer les épreuves bien que je sois la plus âgée et intellectuelle. Elles ont aussi vu que je considérais toujours les autres d’abord, n’étais jamais difficile, était toujours compréhensive et traitais bien les autres. Ainsi, elles aimaient toutes parler avec moi et en découvraient plus au sujet de Falun Dafa. D’après mon comportement, elles ont compris que les pratiquants étaient tous de bonnes personnes et que la persécution contre Falun Dafa par la faction de Jiang n’était pas justifiée. J’ai utilisé chaque opportunité pour leur clarifier la vérité de façon positive. Elles se sont senties toutes encouragées, pleines d’espoir, et désireuses d’écouter. Elles posaient beaucoup de questions et beaucoup d’entre elles disaient qu’elles voulaient apprendre Falun Dafa. Alors, je leur ai enseigné Hong Yin. Presque toutes d’entre elles pouvaient réciter ‘’Etre une personne élevée’’, ’’Endurer les épreuves’’, ‘’Différence entre un être humain et un éveillé’’, et d’autres articles. J’ai souvent utilisé le temps imparti a regarder la TV pour faire la méditation assise. La détenue qui était supposée surveiller tout le monde, prétendait juste qu’elle n’avait rien vu. Personne ne me dénonça auprès des gardiens. Neuf pratiquants étaient détenus dans differentes cellules et nous avons rendu possible pour les personnes dans toutes les cellules de comprendre Falun Dafa. Beaucoup de personnes apprenaient Falun Dafa. La faction de Jiang n’avait jamais imaginé que pendant qu’ils persécutaient franchement les pratiquants, ils perdaient les cœurs de gens. Où que se trouvaient les pratiquants, nous pouvions clarifier la vérité là et valider la Loi avec dignité. La peur de la faction de Jiang Alors que le printemps laissait la place a l’été, une détenue a du quitté la cellule. Elle a offert d’envoyer un message a mon mari pour moi. C’était risqué, parce qu’elle pouvait être fouillée en sortant. Elle a pris le numéro de téléphone de mon domicile, et l’a sorti. Puis elle appelé mon mari et lui a parlé de ma situation dans la Section # 7. Elle a demandé à mon mari de m’envoyer de l’argent et des vêtements sur-le-champ. Mon mari s’est senti si chagriné qu’il a pleuré. Il s’est rendu à la Section # 7 avec de l’argent et des vêtements. Mais les gardiens ont nié qu’ils détenaient quelqu’un du nom de Liu Jianghang et ont refusé de prendre l’argent et les vêtements, disant : ‘’Ne dites pas ça. Nous n’avons pas une telle personne ici. Allez-vous-en !’’. Mais mon mari n’a pas abandonné et est revenu le lendemain. Il a été repoussé de nouveau. Le troisième jour, il est revenu là de nouveau et a dit qu’il voulait juste apporter à une vieille femme de l’argent et des vêtements de sorte qu’elle puisse rester en vie. Il a dit, ‘’Peu importe combien ses crimes sont terribles, elle ne doit pas être persécutée de la sorte. Encore moins si elle n’a commis aucun crime.’’ Le gardien semblait être affecté par sa détresse, et lui a dit, ’’Je vois que vous etes venus plusieurs fois. Ce n’était pas facile. Je vais vous dire la vérité. Je vais vous dire la vérité. Le cas 204 était un secret, un très important secret, assigné à un haut niveau. Votre femme est ’classée’ et interdite d’échanges d’informations avec l’extérieur. C’est une règle dure et rapide et nous ne pouvons changer cela. Ne poireautez pas ici en pleurant. C’est inutile. Rentrez chez vous et ne revenez pas. Autrement vous serez aussi lié à ce cas.’’ Puis ils ont poussé mon mari dehors. Je n’ai jamais entendu quelque chose de mon mari, ni vu aucun des vêtements qu’il a essayé de m’envoyer. Plus tard, le Departement de police de Pékin a arrêté mon mari et l’a détenu dans la Section # 7. Il a été enlevé le matin du 26 juin, le même jour où j’ai été transférée au Centre de détention du département de police du district de Xicheng. Ainsi nous n’avons pas pu nous rencontrer et nous ne connaissions toujours pas la situation de l’autre. Briser la persécution Le printemps à Pékin est très court. Il était très chaud fin mai, et il
y avait beaucoup de gens dans la cellule. Le sytéme de ventilation était
très léger, ainsi c’était étouffant a supporter. Tout ce que j’avais à porter
était les vêtements que je portais lorsque j’ai été arrêté en hiver, un pull-over
et une tenue de dessous. Je transpirais sérieusement et avais des éruptions
dues a la sueur. Cependant, je n’avais pas d’autres vêtements de rechange.
Je pensais que je ne devais pas céder à la persécution. Je devais utiliser
la sagesse donnée par Dafa pour briser la persécution. Je pensais à fabriquer
mes propres pantalons d’été. Cependant c’ était interdit dans la prison.
De nos jours, il y a toute sorte d’équipements de surveillance dans la prison.
Et les gardiens surveillaient les pratiquants de très prés. Ils venaient
souvent pour des inspections et fouillaient les cellules. Cela semblait très
difficile puisque je n’avais même pas d’outils ou de matériaux. Cependant,
je savais que si j’étais déterminé je pouvais l’accomplir. Elles ont suggéré que j’utilise ma couverture matelassée verte pour fabriquer
deux paires de pantalons fins au-dessus des genoux. J’ai dit qu’une paire
serait suffisante. Elles ont dit que je devais avoir deux paires pour être
capable de les changer et de les laver. J’ai utilisé un morceau de savon
rouge comme d marqueur pour dessiner des lignes sur le vêtement. Comment
couper le vêtement ? Les ciseaux sont absolument de la contrebande et impossible
a obtenir. Ainsi nous avons tiré fortement le vêtement et utilisé le bord
d’un mur en béton pour couper le vêtement le long des lignes dessinées. Une
détenue de la Province de Xinjiang, emprisonnée pour avoir vendu de la drogue,
était très bricoleuse. Elle savait que Falun Dafa était bon et que les pratiquants
étaient tous de bonnes personnes. Elle a essayé de faire de son mieux pour
m’aider. Elle a utilisé la semelle de caoutchouc d’une paire de chaussures
pour l’écraser sur un morceau de tube de dentifrice en métal qu’elle avait
gardé. Elle l’a travaillé sur le sol en béton et a fabriqué une épingle.
Meme avec ses mains et ses pieds attachés a la fois, elle m’a aisé encore
a coudre les pantalons. Il était difficile pour moi de décrire mes sentiments.
Prés de dix jours plus tard, mes pantalons furent finalement fabriqués. Ils
avaient même une poche. Personne ne pouvait attendre pour que je mette les
pantalons. Ils allaient bien. Toutes étaient très contentes et m’ont demandé
de marcher tout autour en les portant. C’était comme des vacances et j’étais
très touchée. Meme si le matériau était très rude, nous pensions toutes qu’ils
étaient très jolis. 31 octobre 2004 Date d’envoi : 8/1/2005
|