(Minghui.org) Le 23 janvier est devenu une date importante, Presque comme un autre anniversaire pour le Parti communiste chinois (PCC). Chaque année à cette période, le média porte parole du PCC fait beaucoup de bruit sur un ancien mensonge, et attaque le Falun Gong en consacrant sa une aux victimes qui ont participé à l « auto immolation de la Place Tianamen », ceci dans une tentative désespérée de donner un nouveau souffle à la persécution du Falun Gong. L’ "Interview de Point focal" du programme de CCTV fait cette année encore une fois son numéro pour s’acquitter de sa mission politique. Néanmoins, aussi dur que ce programme TV essaye de faire comprendre que les victimes étaient des pratiquants de Falun Gong, il ne réussit pas à réfuter un fait en béton – que le Falun Gong n’a jamais encouragé quiconque à commettre l’auto immolation ou le suicide, car les enseignements du Falun Gong interdisent explicitement le meurtre et le suicide. Le Falun Gong n’est pas une organisation fermée, il ne demande pas d’inscriptions, n’a pas de liste de membres. Toutes les activités sont ouvertes au public, et n’importe qui peut lire les livres et pratiquer les exercices du Falun Gong. N’importe qui peut prétendre être un pratiquant. Mais si une personne déclare qu’il pratique le Falun Gong, mais que ses actions aillent à l’encontre des enseignements du Falun Gong, alors comment cette personne pourrait-elle être un pratiquant de Falun Gong ? Pouvons nous attribuer un crime qu’il ou elle a commis au Falun Gong ? Il y a des millions de pratiquants de Falun Gong à l’étranger. Pourquoi aucun d’entre eux n’a-t-il jamais commis d’auto immolation ? Judas était aussi disciple de Jésus. Peut-on dire que Jésus lui a enseigné à trahir ? Le reportage du 30 mars d’un réseau de TV câblée aux USA déclarait qu’une mère de 30 ans au Texas était accusée d’avoir tué ses deux fils, huit et six ans, et sévèrement blessé sa petite fille de 15 mois. Elle a déclaré que « Dieu lui avait dit de tuer ses deux fils. » Elle avait été membre de la chorale d’une église locale, mais aucun média en Amérique n’a attribué son comportement irrationnel au Christianisme. Durant la Guerre du Vietnam en 1963, le régime de Ngo Dinh Diem au Sud Vietnam a envoyé des forces militaires pour disperser des bouddhistes qui célébraient l’anniversaire du Bouddha à Hue, et ont abattu quelques moines. Dans un incident qui a choqué le monde, un moine du nom de Thich Quang Duc s’est immolé à mort dans une rue animée de Saigon. Ce moine n’avait manifestement pas eu l’idée de se mettre le feu en lisant les soutras bouddhiques, et personne n’a blâmé le bouddhisme pour son action. Puisque L’ "Interview de Point focal" prétend encore et encore que le PCC et le Gouvernement « accordent le plus grand soin » aux victimes, regardons comment vivent des citoyens ordinaires objets du plus grand soin du PCC. Le Jingzhou Daily rapporte qu’un fermier a bu du poison dans une rue de la ville de Wuchang après que son appel soit tombé dans les oreilles de sourds. Le Hunan Daily rapporte qu’une paysanne d’âge moyen a sauté dans un étang et s’est noyée parce qu’elle ne pouvait pas satisfaire à différentes demandes d’argent du gouvernement. Un ouvrier licencié s’est brûlé à mort sur la Place du Peuple à Shanghai parce qu’il ne pouvait pas payer les dépenses élémentaires pour vivre. Un ouvrier du nom de Zhu qui vivait route Huashan, dans le district de Xuhui, à Shanghai s’est arrosé d’essence et s’est mis le feu pour protester d’une éviction forcée. La mère d’un ouvrier au chômage a été heurtée par un vélo, résultant en une fracture à la hanche. La famille était sans ressources et ne pouvait pas payer les 100 000 yuans de frais d’opération, et toute la famille s’est suicidée en avalant du poison. Un paysan Zhu Zhengliang dans la province de Anhui s’est immolé Place Tienanmen après l’échec de nombreux appels concernant la démolition forcée de sa maison nouvellement achetée. Yang Peiquan, un ouvrier licencié dans la province de Hubei, a fait appel trois fois contre la corruption et la fin précoce de son travail, sans aucun résultat. Il s’est brûlé lui-même Place Tienanmen le 1er octobre, jour de la fête nationale. Tel est le tendre soin du PCC, sous lequel les citoyens ordinaires sont forcés de combattre l’injustice avec la destruction publique de leurs vies, sous lequel des appelants vivant dans un village d’appels à Beijing, souffrent le froid, la faim, des injustices profondes comme la mer, dont de constants passages à tabac, des agressions et sont même tués, et sous lequel des centaines de milliers de pratiquants de Falun Gong sont brutalement torturés dans les prisons, les camps de travail et les classes de lavage de cerveau, simplement pour avoir persisté dans leur croyance. Le « soin attentif » du PCC pour les auto immolateurs n’est en fait rien de plus qu’une tentative cynique de les utiliser comme des outils pour salir le Falun Gong. Le PCC ne s’est jamais soucié de la vie humaine. En tant débouché médiatique, L’ "Interview de Point focal" ignore les graves injustices infligées à la vaste majorité des ouvriers et des fermiers. Bien qu’il ait occasionnellement dénoncé des cas de corruption, ceux qui ont été exposés étaient de petits fonctionnaires sans connexions haut placées, et pas les gens du PCC central qui volent les richesses de la nation. Après avoir gagné la confiance publique en dénonçant des crimes mineurs, l’ "Interview de Point focal" utilise alors ce petit peu de crédibilité pour blanchir et décorer le régime dictatorial, tout en calomniant de gentilles et innocentes personnes. Date de parution: 28/01/2005 |