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La différence entre la vie et la mort ne dépend que d’une seule pensée

Vendredi 18 novembre 2005 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa

La différence entre la vie et la mort ne dépend que d’une seule pensée

(Minghui.org)

Il y a quelques jours, j’ai traversé une épreuve dangereuse, ce sont Maître et Dafa qui m’ont aidée à en sortir. Une autre pratiquante m’a encouragée à écrire mon expérience afin d’aider d’autres pratiquants s’ils rencontrent la même situation. Mais j’avais pensé que j’avais simplement fait ce qu’un pratiquant doit faire et n’avais pas réalisé qu’il fallait le partager avec d’autres pratiquants pour nous élever en tant que corps uni. Par rapport à ceux qui ont vraiment bien fait, je sens que j’ai des insuffisances dans différents domaines. Mais voici ce qui m’est arrivé.

Le 12 septembre 2005, en rentrant du travail, j’ai attrapé soudain une terrible migraine. J’ai émis des pensées droites sur tout le chemin du retour. Une fois rentrée chez moi, c’était encore pire. J’avais des vertiges, des frissons et mon cœur battait anormalement. J’arrivais à peine à rester debout pour changer de vêtements. Il m’est difficile de décrire comment je me sentais ; ce mal de tête était insupportable. J’ai réalisé que c’était une interférence démoniaque et que je devais l’éliminer, je me suis donc assise pour émettre des pensées droites. J’étais si étourdie et j’avais si mal au cœur que j’avais l’impression que j’allais mourir.

J’avais eu des éliminations de karma avant le 20 juillet 1999, avant que la persécution ne commence, et après aussi. Mais ça disparaissait rapidement. Cette fois-ci, c’était différent. J’avais même du mal à appeler d’autres pratiquants, mais j’ai compris que je n’étais pas seule. Je savais que Maître et la Loi étaient avec moi, donc je n’avais pas peur.

J’ai compris que lorsque le mal m’a attaqué, bien que j’aie dit que je n’avais pas peur, cela avait suscité chez moi un sentiment de peur et m’avait fait trembler. J’ai pu garder la conscience claire avec des pensées droites. Malgré la violence du mal, j’ai réussi à ériger ma paume de main et à réciter les formules. J’ai senti que je touchais l’univers et je me suis dit : « Maître, aidez-moi, renforcez-moi, que la mal soit éliminé. Je n’ai pas peur. Je ne serai pas vaincue. Ça ne concerne pas seulement moi. Si un pratiquant échoue, beaucoup de personnes ne pourront pas être sauvées. Je n’ai pas encore fini d’accomplir ma mission et je ne reconnais aucune interférence ni aucune persécution. Je suis une disciple de Maître. Personne ne peut m’atteindre. » Dans Zhuan Falun, Maître dit :

« …du moment que vous cultivez et pratiquez vraiment dans une voie juste, personne n’osera facilement s’en prendre à vous, d’ailleurs vous serez sous la protection de mes Corps de Loi et vous ne courrez aucun danger. »

Je n’avais à l’esprit que la Loi de Maître :

« Pendant la rectification de la loi de l'Univers, je peux faire un arrangement raisonnable pour ceux d'entre vous qui n'interfèrent pas avec ma validation de la Loi, je peux vous faire devenir des êtres du futur ; que ceux qui cherchent une solution bienveillante me quittent et attendent dans les environs ; si vous ne pouvez vraiment pas me quitter, vous ne devez en tout cas jouer aucun rôle pour me perturber, dans le futur je pourrai atteindre la plénitude parfaite et je vous offrirai une solution bienveillante ; pour ceux qui sont totalement mauvais, qui interfèrent toujours avec moi et qui ne peuvent pas rester selon le critère, je ne peux que les éliminer, même si je ne vous élimine pas, la Loi de l'Univers ne peut pas vous garder. » 

(« Enseignement de la Loi lors de la conférence internationale de Loi de New York, 2004 »)

Maintenant que je suis une pratiquante, il n’y a plus de maladie. Puisque nous sommes dans la période de la rectification de la loi, ils ont voulu interférer avec moi pour m’empêcher de faire les trois choses que je dois faire. Ils ont aussi essayé de m’enlever la vie, mais je ne les ai pas laissé faire. Je n’ai confiance qu’en Maître et en la Loi. Je n’ai laissé aucune de mes pensées s’égarer et j’ai continué à émettre des pensées droites. Je n’avais plus à l’esprit que la Loi de Maître :

« Si vous pouvez réellement avoir une pensée très droite face aux difficultés, sous la persécution perverse, devant les interférences, une seule phrase que vous prononcez avec une pensée droite résolue peut faire se dissoudre immédiatement la perversité, (applaudissements) elle peut faire que les individus utilisés par la perversité fassent demi-tour et s’enfuient, de sorte que la persécution de la perversité envers vous s’évapore et se disperse comme les nuages et la fumée, que l’interférence de la perversité envers vous disparaisse sans laisser de traces. »

(Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale de la région ouest des États-Unis)

A ce moment là, quelqu’un a frappé à la porte. Ma mère est allée ouvrir, c’était des gens de la famille que j’apprécie beaucoup. J’ai pensé que le mal était très pervers. Je ne les avais pas vus depuis si longtemps, ces gens que je voulais voir venaient justement le jour où ça n’allait pas. Le mal ne voulait-il pas exactement interférer avec moi et me persécuter ? J’ai pensé que le mal ne parviendrait pas à avoir raison de moi. Je devais les sauver aujourd’hui, je ne pouvais pas manquer cette opportunité. Je savais que tous les symptômes comme les vertiges et le mal de cœur n’étaient que des illusions. Bien que je n’étais pas au mieux de ma forme, je n’avais pas peur de perdre la face. Ce n’était que de la sentimentalité, je ne pouvais pas la reconnaître.

Grâce à des pensées droites indestructibles et à la force que j’avais accumulée dans la rectification de la Loi, j’ai éliminé tous les mauvais éléments qui empêchaient le salut des êtres. Je me suis levée, me suis dirigée vers le salon pour discuter avec nos hôtes. Je leur ai parlé de démissionner du Parti, de la ligne des jeunesses communistes et de l’organisation des pionniers communistes. Ils n’ont cessé d’acquiescer. Après un moment ils ont tous décidé de démissionner aussi. Quand ils sont partis, je les ai raccompagnés en bas des escaliers. J’allais mieux. En une heure, Dafa m’avait sortie de ces épreuves. J’avais même pu sauver des gens dans le processus. J’étais contente pour ces trois personnes qui venaient de se libérer des chaînes du Parti pervers. Je sentais la bienveillance de Maître pour sa disciple et les autres êtres.

En regardant en arrière, si je n’avais pas eu la foi en Dafa, face à ces épreuves destructrices des forces anciennes, j’aurais pu perdre la foi en la Loi. Si je n’avais pas fait attention, j’aurais pu être détruite, ainsi que les autres personnes qui ont une relation prédestinée avec moi. J’aurais causé des effets négatifs à Dafa et donné une excuse au mal de nous empêcher de sauver des êtres. J’ai compris qu’il est très important de garder les pensées droites face aux épreuves.

J’ai écrit mon expérience pour encourager les autres pratiquants à avoir des pensées droites quand ils sont face à des épreuves. Nous devons abandonner l’idée de vie et de mort. Tout est illusion, tout passe. Nous avons foi en Maître et en Dafa. Comme il est dit dans Zhuan Falun « La conscience principale doit être forte » et « L’esprit doit être absolument droit ». Nous devons abandonner les mentalités des gens ordinaires, ne pas avoir peur et ne pas être ébranlés. Nous devons nous souvenir que nous sommes des pratiquants et que nous n’avons plus de maladies. Nous sommes protégés par les corps de Loi de Maître et personne ne peut nous atteindre. Tout le reste n’est qu’interférence et persécution. Nous devrions émettre des pensées droites en permanence, étudier plus la Loi afin que nos actions soient guidées par la Loi. Nous devons croire au pouvoir de la Loi qui peut nous donner des capacités supra-normales et peut éliminer toute la perversité. Puisque nous sommes des disciples de Dafa, personne ne peut nous tester. Plus on approche de la fin, mieux on peut se contrôler et plus on doit être diligent. Nous ne devrions pas nous relâcher et devons bien faire les trois choses. Souvenez-vous : « Dès que la pensée est droite, la perversité s'effrondre » (Hong Yin II, traduction validée).

Traduit de l’anglais le 13 novembre 2005