(Minghui.org)


Du 10 au 11 novembre à Tottori, la Fédération du Japon des Associations du barreau (JFBA) a tenu sa 48e Convention sur la protection des droits de l'homme. Presque 2000 avocats des droits humains ont assisté à la convention. Le 10 novembre, ils ont tenu un forum qui était ouvert au public. On a estimé que plusieurs milliers de personnes ont assisté au forum, y compris des avocats et le grand public. Les pratiquants ont tenu une exposition anti-torture à l’extérieur de la Convention et ont exposé la persécution ayant cours en Chine avec des banderoles et des affiches tout en expliquant aux gens ce qu’est le Falun Gong. Ils ont également présenté les exercices de Falun Gong et ont envoyé des pensées droites. Ils ont invité les avocats et le public à prêter une attention particulière à la tragédie ayant cours en Chine et aux procès contre le chef criminel de la persécution Jiang Zemin et d'autres complices, y compris l'ambassade chinoise au Japon.


Exposition anti-torture


Les pratiquants faisant la démonstration des exercices


Les pratiquants et leur avocat à la conférence de presse

Un avocat qui a assisté à la Convention a dit que la persécution est mauvaise et qu’il appui le procès contre Jiang et contre les autres haut fonctionnaires du parti communiste chinois. Il a dit que la Chine n'a aucune liberté d'expression ou de croyance, comme l’a démontré sa visite en Chine lorsqu’il a rencontré un certain nombre de Chinois qui ne savait même pas que l'ancien Président chinois Liu Shaoqi avait été persécuté à mort. L'avocat a dit allait certainement lire les « Neuf Commentaires sur le Parti communiste chinois. »

Yoko Kaneko, une pratiquante de Falun Gong a participé à la reconstitution de la torture pendant l’exposition. Elle a dit qu'elle voulait que les Japonais soit au courant qu'une persécution aussi brutale se produit toujours en Chine. Ayant subi la torture en Chine pour avoir fait appel pour la justice de Falun Gong, elle connaît la souffrance des pratiquants en Chine et veut saisir chaque occasion d'inviter le public à prêter attention à cette persécution sans précédent.

À 16h30, le 10 novembre, quelques pratiquants et leur avocat d'Osaka ont tenu une conférence de presse au club des journalistes du comté de Tottori. Ils ont détaillé comment des pratiquants japonais avaient été persécutés par le régime chinois, y compris le refus d'entrée, l'annulation du renouvellement de passeport, l'arrestation lors des visites de famille et l'intimidation.

Yoko Kaneko a raconté son expérience à un camp de travaux forcés chinois. Lors de son emprisonnement de un an et demi, elle a été soumise au « lit de la mort », au gavage et à d’autres mauvais traitements. Elle a également saisi cette occasion pour remercier le public et la communauté internationale de l’avoir secourue.

Traduit de l’anglais au Canada le 16 novembre 2005