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Chérir le temps, car la vie est vraiment brève- Inspiré par la question d'un enfant

Mercredi 2 novembre 2005 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org)

Un jour mon enfant m'a demandé combien de jours, il y avait dans une année. Je lui ai dit : « Il y a 365 jours dans une année ». La question m'a inspirée à faire quelques calculs ; pour calculer combien la durée de vie d'un homme est en jours. Supposons qu'un homme puisse vivre pendant cent ans, alors il a environ 36,000 jours de durée de vie. Mon salaire annuel est d'environ 20,000 yuans. Alors j'ai soudainement réalisé que ma vie est aussi limité que mes revenus annuels. Dépenser un jour c’est comme dépenser plusieurs yuans, jusqu'à que je sois à court d'argent.

Je suis une jeune pratiquante de Falun Dafa. J'ai toujours senti que j'avais un long chemin devant moi et que j'avais beaucoup de temps à ma disposition. Pendant une longue durée, j'ai été très léthargique dans ma cultivation pratique et attachée à ma vie confortable. Je ne voulais pas aller de l’avant dans la cultivation parce que je sentais que j'avais une cultivation pratique très difficile et épuisante. Lorsque j'ai fait le calcul, une phrase est soudainement entrée dans ma tête: « La vie est vraiment brève. » En fait la vie est vraiment brève. Comment puis-je être léthargique dans ma cultivation pratique, Au lieu de gaspiller le temps limité à ma disposition pour cultiver et valider le Falun Gong, je me suis adonnée à une vie confortable et j'ai eu de la difficulté à me séparer du confort. Je ne veux pas veiller tard. Je ne veux pas sacrifier mon sommeil. J'ai peur de ne pas être capable de bien clarifier la vérité parce que je suis introvertie et peu éloquente. J'ai peur de rencontrer mon mari ou d'autres personnes suspicieuses ou des regards moqueurs. Chaque fois que je rencontre un obstacle, j'en fais le tour au lieu d'essayer de le dépasser. Je n'ai jamais semblé être capable de répondre à chaque chose avec les pensées droites ou un esprit déterminé pour sauver les gens du monde.

Comme un enfant qui continue de tomber lorsqu'il apprend à marcher, j'ai fait tellement de chutes que j'ai complètement peur de marcher. Mais je sais que je ne dois pas arrêter de marcher. Autrement, comment serai-je capable de développer mon propre chemin?

Maître a tellement enduré pour moi, mais il ne m’a jamais paru à moi que je devais continuer mon propre chemin de cultivation avec des pas solides afin de rembourser Maître, qui m'a rendu un service aussi grand qu'une montagne. Il ne m'est jamais arrivé que je doive participer au Falun Gong! Je suis profondément endetté envers Maître ! J'ai laissé tomber Maître! Que dois-je faire? Peut être qu'étudier la loi solidement avec un esprit tranquille est la seule solution à mes problèmes. Je dois tout le temps me considérer comme une pratiquante et bien me cultiver en continuant à valider la Loi et remplir ma promesse. Je dois constamment faire des efforts en avant dans mon voyage vers la divinité!