(Minghui.org)

Le pratiquant M. Lei Ming, la trentaine, est originaire de la ville de Baishan de la province de Jilin. Pour aider à clarifier la vérité à beaucoup de personnes en Chine qui avaient été trompées par la propagande diffamatoire du gouvernement contre le Falun Gong, M. Lei a aidé d’autres pratiquants à diffuser des émissions de clarification de la vérité sur des chaînes de télévisions de la ville de Changchun dans la province de Jilin le 5 mars 2002. À cette époque là, le régime de Jiang avait émis un ordre secret de « tuer sans pitié » les pratiquants de Falun Gong découverts alors qu’ils posaient des documents de clarification de la vérité. M. Lei a été arrêté arbitrairement sous cet ordre. A la suite de son arrestation M. Lei Ming a souffert de persécution cruelle et de tortures inhumaines entre les mains de la police. Le tribunal intermédiaire de la ville de Changchun a condamné M. Lei Ming à 17 années de prison et l’a envoyé à la prison de Jilin ou il été torturé davantage. Lei Ming a été emprisonné pendant plus de deux années et demies avant de tomber gravement malade. Après avoir déposé une caution il a été libéré en 2004 pour suivre des traitements médicaux, mais il est maintenant invalide à cause de la torture. Ses muscles se sont atrophiés et il ne peut plus se déplacer et prendre soin de lui-même.

Pendant les deux années et les deux mois qu’il a passés dans la prison de Jilin, Lei Meng a été témoin de la souffrance des pratiquants sous la persécution. Par exemple, Zhang Hongwei a été attaché dans une position immobile pendant 60 jours dans l’équipe de disciple stricte et a ensuite passé deux années dans une cellule de discipline stricte. Diao Shujun et Wang Fengcai ont été attachés dans une position immobile dans des petites cellules pendant six semaines chacun. Les prisonniers qui les surveillaient ébouillantaient leur estomac avec de l’eau brûlante. Liu Zhaojian a entamé une grève de la faim lorsque la prison a commencé à émettre des informations diffamatoires sur le Falun Dafa. Il a alors été amené à l’équipe de discipline stricte pour être gavé de force avec de l’eau salée ce qui lui a donné une grande soif. Liu Zhaojian a été attaché dans une position immobile pendant 15 jours et forcé de s’assoire pendant 11 mois dans l’équipe de discipline stricte.

Souffrant de torture dans le bureau de la sécurité publique de Changchun

Le 15 mars 2002, la police et d’autres personnes du poste de police de Qingming de la ville de Changchun ont arrêté Lei Ming pour avoir intercepté des signaux de télévision. La police l’a fouillé et a confisqué 200 yuans. Ils ont menotté ses mains derrière son dos et l’on forcé à s’asseoir sur le sol. En moins d’une heure un groupe d’officiers de police du bureau de la sécurité publique de la ville de Changchun est arrivé. Quelques officiers ont soulevé Lei Ming et l’ont porté au dehors. Lei Ming a vu depuis la porte qu’il y avait beaucoup de gens qui s’étaient réunis à l’extérieur. Certains tenaient des microphones et des caméras vidéo. Aussitôt que Lei Ming est passé par la porte ils l’ont entouré essayant de mettre en scène une interview. M. Lei a refusé d’être interviewé par la police.


Le poste de police de Qingming de la ville de Changchun


Le bureau de sécurité publique de Changchun


La police a emmené Lei Ming au bureau de la sécurité publique de Changchun. Il a été emmené dans une pièce au sixième étage et attaché au banc du tigre. Ce banc du tigre était en fer et est plus grand qu’une chaise normale de telle sorte que la personne doit être levée physiquement sur la chaise. Après être assis dessus, les pieds ne touchent pas le sol. Les malfrats ont fixé les jambes de Lei Ming à la chaise et ont inséré des anneaux en fer dans les trous situés dans les accoudoirs et ont fermement fixé une barre qui passait au-dessus de son estomac. Puis ils ont menotté ses mains derrière le dos de la chaise. Un des policiers a cruellement torturé à plusieurs reprises le cou de M. Lei Ming avec une matraque électrique.

A ce moment là, plusieurs officiers de police sont entrés dans la pièce, ont détaché Lei Ming et lui ont couvert les yeux. La police l’a alors emmené dans une voiture. Lei Ming a perdu une chaussure lors de l’arrestation. La police avait enlevé sa ceinture et son pantalon est ainsi tombé. Après que Lei Ming ait été mis dans la voiture il a entendu les sirènes comme s’il se trouvait dans un cortège de voiture. Lei Ming ne sait pas où il a été emmené. Après plus de 30 minutes de route, les voitures se sont arrêtées et la police lui a retiré sans bandeau. Il était environ 21 heures ou 22 heures. Parce qu’il faisait relativement sombre il ne pouvait qu’à peine voir un immeuble, mais il a remarqué qu’il était grand et entouré de murs. Il a aussi vu que la porte en acier venait de se fermer derrière lui.

Les policiers ont traîné Lei Ming dans une pièce qui était remplie de bancs du tigre, de matraques électriques, de sacs en plastiques. Il y avait aussi un grand seau en fer, un fourneau électrique, etc. La pièce était tapissée avec simplicité et avait l’air d’une chambre d’hôtel désafectée. La chambre n’avait pas de chauffage. La police a mis Lei Ming sur un banc du tigre, a solidement ficelé ses jambes avec une fine corde puis lui a bloqué l’abdomen avec une barre métallique verrouillée. Pour augmenter l’effet de la torture ils lui ont menotté les mains derrière le dos, faisant en sorte que les aisselles soient contre le dos de la chaise. Puis ils ont passé une ceinture en cuir à travers les menottes, l’ont passée derrière les pieds de la chaise et ont tiré dessus. Deux policiers ont cruellement tiré la ceinture vers le bas et ont essayé de la serrer au maximum. Du fait que la ceinture était attachée aux menottes les muscles de ses bras étaient tirés vers le bas et il souffrait d’une douleur insoutenable. Lei Ming a utilisé toute sa force pour résister à être attaché de manière si ferme et y est parvenu jusqu’à ce qu’un des policiers frappe furieusement les menottes ; la ceinture a été sanglée sur le champ. Sous la douleur Lei Ming s’est évanoui. De la transpiration recouvrait son corps et la douleur était atroce. A ce moment là, Lei Ming ne pouvait plus du tout à bouger, tout son corps était complètement immobilisé.

Après cela la police était épuisée. Comme il faisait froid dans la pièce ils ont enclenché le radiateur électrique et se sont assis pour parler. Un chef de police nommé Gao a diffamé le Maître. Bien que Lei Ming souffrait de douleurs insupportables il a fortement crié à la police « Arrêtez cela ! » Gao est devenu enragé s’est précipité sur Lei Ming et l’a frappé à la tête encore et encore jusqu’à ce qu’il soit trop fatigué pour continuer. Puis deux officiers de police ont apporté une matraque électrique, lui ont retiré ses habits de façon à exposer sa poitrine et son cou, lui ont enlevé son pantalon pour exposer ses parties intimes. Ils ont ensuite torturé son cou, sa bouche, ses cuisses, sa poitrine, ses parties intimes et son anus avec des matraques électriques. La douleur était terrible. Sous la douleur il n’a pu éviter de crier. La police ne s’est arrêtée qu’une fois que les batteries des matraques électriques ont été à plat.

Les cicatrices laissées sur le corps de Lei Ming ont été infligées sous la torture par le bureau de police de la sécurité publique en mars 2002. Cette photo a été prise deux années après que Lei Ming ait été relâché de prison.


Deux policiers ont alors recouvert la tête de Lei Ming avec un sac en plastique. Ils l’ont serré si fortement que Lei Ming ne pouvait plus respirer et a presque suffoqué. Lorsqu’il était sur le point de suffoquer ils ont relâché le sac. Après avoir autoriser à Lei Ming quelques respirations seulement ils l’ont recouvert une fois de plus. Ils ont appliqué à répétition cette torture jusqu’à ce que les matraques électriques soient rechargées. Puis les deux autres policiers ont même poussé la torture plus loin. Ils ont prit deux tournevis, les ont chauffés sur le poële et ont brûlé le cou de Lei Ming. La peau sur son cou a été détruite.


La police du bureau de sécurité publique de Changchun a causé la cicatrice sur le cou de Lei Ming avec un tournevis et des matraques électriques. Cette photo a été prise deux années après qu’il ait été libéré.


Lei Ming a serré les dents pour endurer l’immense douleur. La police l’a encore torturé de manière plus horrible. Ils ont électrocuté les parties blessées avec des matraques électriques puis ont versé de l’eau sur son cou. La douleur a atteint un point indescriptible et la pièce était remplie de terreur. La police a mis un grand seau sur la tête de Lei Ming et a frappé aussi fort qu’elle le pouvait avec une barre métallique pour le rendre sourd.

Les policiers ont aussi inséré le bout d’un bâton en bois dans l’anus de Lei Ming calant l’autre bout du bâton sur le dos de la chaise. Ils ont torturé son anus avec une matraque électrique provoquant d’horribles douleurs.

Après quatre ou cinq heures, les bras et les os des poignets de Lei Ming était étirés jusqu’à être déformés. La douleur était insupportable et il transpirait abondamment. Ses habits étaient trempés. Lei Ming a tiré sur la ceinture avec ses poignets jusqu’à ce qu’elle se casse. Les policiers ont une fois de plus essayé de la sangler mais ils n’ont pas pu le faire, bien qu’ils aient essayé de le faire de toutes leurs forces. L’un d’entre eux a pris la main de Lei Ming, qui était menottée derrière son dos et a tiré de toutes ses forces pour la faire remonter. Cela a obligé la poitrine de Lei Ming de toucher fermement ses cuisses. Son estomac était compressé par la barre en fer. Ils l’ont torturé dans cette position pendant cinq minutes et ils ont ensuite essayé de l’attacher avec une corde, mais ils ne sont pas parvenus à le ligoter fermement. A ce moment ils ont ouvert les menottes et les ont fixées aux accoudoirs. Comme ses deux mains avaient été tirées sans retenues et étendues, son bras droit était luxé. Son avant bras droit était gravement contusionné et pendait inanimé. Ses deux mains étaient enflées et ses doigts faisaient deux à trois fois leur taille habituelle.

La police a torturé Lei Ming à tour de rôle pendant toute la nuit. Plus tard les policiers étaient épuisés et ils sont rentrés chez eux dormir. Deux policiers sont restés sur place pour surveiller Lei Ming mais les deux se sont endormi. A ce moment Lei Ming a voulu partir. Il a cassé la menotte de son bras gauche en la frappant contre l’accoudoir. Malheureusement son bras droit n’a pas pu casser la menotte parce qu’il n’avait plus de force. Ainsi il l’a cassée avec la main gauche. Maintenant les mains de Lei Ming étaient libres et il a ainsi essayé de délier la corde à ses pieds. Il est parvenu à le faire avec la grosse corde, mais la plus petite, il n’en a pas été capable car elle était attachée trop fermement et ses doigts étaient enflés. La barre en fer était aussi un obstacle. Lorsque les policiers se sont réveillés et ont découvert que Lei Ming avait cassé les menottes ils l’ont une fois de plus frappé et cogné.

Lei Ming a été détenu dans ce lieu pendant deux jours. Puis la police l’a emmené dans un autre hôtel. Ils ont apporté le banc du tigre. Il est resté dans le second hôtel pendant deux jours. Ainsi il a été attaché à la chaise en fer pendant quatre jours et quatre nuits. Après que la police l’ait torturé ils l’ont emmené dans le centre de détention de Tiebei.

Au centre de détention, on l’a déshabillé pour un examen. Les gardiens au centre de détention ont vu que Lei Ming était gravement blessé et l’ont refusé. Mais après que le bureau de la sécurité publique ait eu une discussion avec les gardiens, ils ont accepté Lei Ming. Une fois que M. Lei est entré dans la cellule de la prison il a eu besoin de prendre une douche et d’avoir les cheveux coupés. Lorsqu’il a dû se déshabiller, ses blessures ont été dévoilées et les prisonniers ont été bouleversés. Certains ont grimacé et d’autres ont tourné la tête. Les marques noires et les cicatrices provenant des électrochocs recouvraient tout son corps y compris ses poignets ses bras et ses pieds. C’était horrible à voir. A ce moment le prisonnier en charge a dit « Je ne croyais pas que le Falun Gong était persécuté si violemment. Aujourd’hui, après avoir vu cela, je crois au fait que le Parti Communiste va s’effondrer. »

Les officiers de police qui ont torturé Lei Ming sont : Liu Huibin, Jiang Tao, Gao Hang, Jiang Bo, un chef au nom de Gao, etc.

Le jugement de M. Lei Ming et d’autres pratiquants

Après que M. Lei Ming ait été détenu dans le centre de détention pendant plus de six mois, le tribunal intermédiaire de la ville de Changchun a illégalement jugé certains pratiquants pour avoir intercepté les signaux de télévision. Le 18 septembre 2002, 11 pratiquants masculins du centre de détention de la ville de Changchun ont été transportés dans des voitures, chacun flanqué de deux policiers armés. Deux autres voitures remplies d’officiers de police armés les suivaient. Plusieurs voitures de police ouvraient la route devant le cortège. Quatre pratiquantes du troisième centre de détention de Changchun ont aussi été amenées au tribunal. Lorsqu’ils sont arrivés au tribunal, des huissiers ont remplacé les officiers de police. Quinze pratiquants escortés de 30 huissiers sont entrés en ligne dans le tribunal.

Le tribunal intermédiaire de la ville de Changchun


Le pratiquant qui est entré en premier dans la salle du tribunal a fortement crié « Falun Dafa est grandiose ! » D’autres pratiquants derrière lui ont aussi crié à l’unisson « Falun Dafa est grandiose. » Plus de 300 personnes étaient assises dans la salle et les huissiers ont emmené les pratiquants un par un dans une chambre disciplinaire. Trois policiers se trouvaient dans chaque pièce et chacun tenait une matraque électrique de haut voltage et électrocutait les pratiquants jusqu’à ce qu’ils cessent de crier. Puis ils emmenaient à nouveau les pratiquants dans la salle d’audience. Lorsque certains pratiquants criaient à nouveau « Falun Dafa est bon » une fois de plus ils étaient poussés dans la chambre disciplinaire.

La troisième fois dans la salle d’audience, les officiers de police ont fermé la bouche des pratiquants pour les empêcher de crier. Pendant le jugement les pratiquants ont été privés du droit de se défendre eux-mêmes. Lorsqu’ils exprimaient quelques mots leurs micros étaient enlevés de force. Le jugement n’était qu’une simple mise en scène. Une fois le jugement terminé, les pratiquants ont été emmenés dans une pièce un par un et leurs empreintes digitales ont été saisies. Les pratiquants ont résisté et les officiers de police ont apposé leur doigt de force sur le papier. Après que les empreintes de tous les pratiquants aient été prises ils ont été renvoyés dans le centre de détention.

Le 20 septembre, le tribunal devait tenir un autre jugement. Le tribunal était effrayé à l’idée que les pratiquants s’écrient « Falun Dafa est bon ! » et ainsi les notices de condamnation des pratiquants ont été directement envoyées dans le centre de détention. Tous les pratiquants ont fait appel contre leur condamnation au tribunal supérieur de la province de Jilin le 20 octobre. Avant l’audience, un officier de police a dit à quinze pratiquants qu’ils n’avaient pas besoin de crier et que s’ils n’étaient pas satisfaits de la sentence ils seraient autorisés à faire une fois de plus appel. Mais lorsque le chef de la justice a décidé de maintenir la condamnation originale les pratiquants ont réalisé qu’ils avaient été trompés. Ils n’avaient plus la possibilité de faire appel. Le système judiciaire et les organisations de sécurité étaient devenus les complices du régime de Jiang Zemin en commettant des crimes.

M. Lei Ming a souffert de tortures brutales dans la prison de la province de Jilin

Le 25 octobre 2002, M. Lei Ming et dix autres pratiquants masculins ont été emmenés à la prison de la province de Jilin et ont été répartis dans onze différents blocs de la prison. Lei Ming a été envoyé au quatrième bloc. Dans la cellule, les détenus ont fouillé M. Lei et l’ont forcé à s’asseoir sur une planche avec les deux jambes tendues et son dos droits, ses deux mains sur les genoux. S’il bougeait il était battu. Un des détenus a frappé à deux reprises la tête de Lei Ming.

Après le déjeuner, un détenu a convoqué Lei Ming à l’extérieur dans le corridor et lui a ordonné d’écrire les « quatre déclaration » [elles sont semblables aux trois déclarations.] M. Lei a refusé et ainsi le détenu l’a menacé de l’envoyer dans l’équipe de discipline stricte ou les personnes étaient torturées sans merci. Le détenu a longtemps parlé, mais Lei Ming est resté ferme. Un autre détenu les a rejoints. Ils se sont assis chacun d’un côté de M. Lei et l’ont frappé dans les yeux, le cognant jusqu’à ce qu’il tombe la face contre le lit.

Lorsque M. Lei s’est lentement levé, ils l’ont une fois de plus battu. Ils ont aussi utilisé une planche en bambou pour frapper le front de Lei Ming. Lorsque M. Lei a refusé tout compromis ils ont encore trouvé deux détenus supplémentaires et ont poussé M. Lei contre le sol. Deux détenus ont maintenu ses jambes, un autre maintenait ses mains et le dernier lui a retiré son pantalon. Ils ont tiré d’un coup si sec sur ses parties génitales que M. Lei s’est presque évanoui. Lei Ming s’est débattu et a crié à l’aide, mais les détenus ont recouvert sa bouche. Il est finalement parvenu à s’échapper. Puis un des détenus est venu avec des anneaux en fer dans le but d’attacher M. Lei au lit.

M. Lei a réalisé que les détenus continueraient à le torturer jusqu’à ce qu’ils atteignent leur but et qu’il renonce au Falun Dafa. Un des détenus a dit « Tu as trois heures pour y réfléchir. » Un autre a dit « Laisse-lui une demi heure. » Lei Ming n’avait pas le choix, préférant mourir plutôt que d’abandonner sa croyance. Lorsque M. Lei est revenu des toilettes il s’est frappé la tête contre un mur et s’est immédiatement évanoui avec sa tête qui saignait. Ces quatre détenus n’ont pas abandonné et ont continué à le cogner et à le frapper [note : compagnons de pratique chérissez s’il vous plaît votre corps. Sous aucune condition ne devrait-on se suicider ou s’infliger des blessures. Les malfrats qui ont persécuté M. Lei jusqu’à ce stade de désespoir si profond seront certainement punis par la loi et par la justice.] Puis un policier est venu et a envoyé Lei Ming à la prison de l’hôpital avec deux des persécuteurs. M. Lei a eu plusieurs points de suture sur la tête et a été transféré à l’équipe de discipline stricte.

Les gardiens ont donné l’ordre aux détenus de l’équipe disciplinaire stricte de torturer M. Lei. Quatre ou cinq détenus l’ont transporté jusqu’à un lit spécial. Ils ont étiré les bras de Lei ming au maximum puis ont immobilisé ses deux chevilles et ses deux mains avec des anneaux en fer. Ses mains et ses pieds se sont enflés et ils transpiraient à profusion. Dans cette position, M. Lei était totalement immobilisé et il dépendait des détenus pour être nourri. Il avait le droit d’utiliser les toilettes deux fois par jours. Après deux jours l’inconfort est devenu insupportable : c’était comme si des fourmis rampaient sur tout ses os. Son coeur souffrait à chaque pulsation sur son poignet et la douleur était atroce. Le troisième jour, la douleur ressentie par le corps de Lei Ming était au-delà de toute description et il a craqué et a écrit les « déclarations » Les détenus avaient atteint leur but et ont relâché M. Lei de son lit. Ils ont continué à le maltraiter et lui ont donné l’ordre de s’asseoir pendant une longue période avec les jambes croisées légèrement, le dos droit et les deux mains sur ses genoux. S’il bougeait ils le battaient. Lei Ming a été forcé de s’asseoir de 5 heures du matin à 19 heures 30. A cause du temps prolongé passé dans cette position assise, ses fesses sont devenues à vif, des ampoules se sont formées, du sang s’est écoulé et de la vermine s’est formée.


Lei Ming a été forcé de s’asseoir pendant longtemps dans la prison de Jilin. En conséquence ses fesses sont devenues à vif et des croûtes se sont formées.


Des cicatrices sont encore visibles sur les chevilles de Lei Ming suite à la torture de la prison de Jilin

Pendant le premier mois de maltraitance physique, la police de la prison et les gardiens du 4ème bloc ont incessamment parlé avec M. Lei, lui demandant ce qu’il avait en tête. M. Lei Ming leur a dit qu’il avait été forcé d’écrire les « quatre déclarations » contre sa volonté et qu’il voulait les annuler. Les gardiens lui ont dit « Nous allions vous libérer, mais nous ne pouvons pas le faire maintenant à cause de vos pensées. » Ils ont continué à détenir M. Lei dans l’équipe disciplinaire strict mois après mois. Après plus de quatre mois, il a finalement été autorisé à partir.

Après que Lei Ming soit retourné au 4ème bloc, ils ont continué à le punir et il devait rester assis de 6 heures du matin à 19 heures 30 sauf lors du repas et pour aller aux toilettes. A cause de cette punition à long terme, les muscles des jambes de Lei Ming se sont affaiblis. Ses jambes étaient endolories et incapables de fonctionner correctement. Il trouvait aussi très difficile de transporter la bassine pour se laver le visage le matin. Les persécuteurs ont continué à le maltraiter physiquement. Un jour lorsque la section d’éducation soumettait les pratiquants à un « examen psychologique » M. Lei Ming s’est soudain remémoré qu’il n’avait pas écrit sa déclaration solennelle (annulant les déclarations précédentes). Il l’a ainsi écrite sur le dos des papiers de l’examen et l’a rendue. Le jour suivant les gardiens du 4ème bloc ont parlé avec M. Lei. Lei leur a dit pourquoi il avait écrit cette déclaration solennelle et les policiers sont restés sans voix.

A différentes occasions, Lei Ming et d’autres pratiquants ont été forcés de s’asseoir pendant longtemps. Un détenu a découvert qu’ils parlaient lors de leur punition physique et les a chacun frappé une fois. Lorsque les pratiquants ont demandé au détenu pourquoi il les avait frappé deux autres détenus sont venu soulever Lei Ming pendant qu’un autre détenu l’a frappé plusieurs fois au visage. Suite à cet incident son visage a beaucoup enflé.

Lei Ming a été puni physiquement pendant près de trois mois et un jour son coeur a soudainement commencé à battre très vite et il a refusé de s’asseoir. Les détenus l’ont dénoncé au gardien et le gardien a emmené M. Lei chez le docteur. Le docteur a vérifié le nombre de battements par minute pour constater qu’ils étaient à 100. Le gardien a ramené Lei Ming dans sa cellule et a dit aux deux détenus de le surveiller « C’est votre problème si vous ne faites pas en sorte qu’il s’assied, mais si Lei refuse de s’asseoir alors s’est son problème. » A l’évidence la police voulait que les détenus forcent Lei Ming à s’asseoir. Lei Ming a toutefois refusé d’obéir. Les deux détenus ont discuté de la situation et ont essayer de le forcer mais Lei Ming était très ferme. Les deux détenus n’avaient d’autres choix que de le laisser seul. M. Lei est finalement parvenu a partir de l’environnement pervers. Il a souffert dans l’équipe disciplinaire stricte pendant près de sept mois. Suite à cette persécution il est devenu extrêmement faible et émacié et il est resté dans sa cellule.

Au mois de septembre 2003, Lei Ming et d’autres pratiquants se sont éveillés à une compréhension qu’ils devraient résister à la persécution avec des pensées droites et quitter l’antre pervers.

Le 1er octobre, le jour de la fête nationale en Chine, les prisonniers qui surveillaient les pratiquants ont eu une pause pour s’ammuser au second et au troisième étage du bâtiment de la prison où des divertissements se trouvaient à leur disposition. Les prisonniers ont eu le droit de prendre librement part aux activités mais les pratiquants n’ont même pas été autorisés d’aller y faire un tour. Lei Ming a utilisé cette opportunité et s’est rendu au deuxième étage pour trouver le pratiquant Liu Chengjun (qui a plus tard été persécuté à mort). Il a partagé avec M. Liu l’idée de faire en sorte que tous les pratiquants entament une grève de la faim ensemble pour résister à la persécution à l’intérieur de la prison de Jilin. Liu Chengjun a été d’accord.

Environ dix jours plus tard, lorsque des pratiquants ont entendu que Liu Chengjun maintenaient une grève de la faim depuis plusieurs jours déjà, tous les pratiquants de la prison ont aussi graduellement commencé une grève de la faim et refusé d’accomplir du travail forcé. Cette action droite a choqué les gardiens de la prison et ils ont immédiatement organisé une réunion pour décider comment ils allaient traiter les pratiquants. Après la réunion les gardiens ont fermé tout les étages du bâtiment et n’ont autorisé personne à entrer et à sortir de la prison craignant que les pratiquants aient des contacts entre eux. Ils ont aussi utilisé les détenus pour propager des rumeurs qui disaient que « les pratiquants dans d’autres parties de la prison avaient recommencé à manger » ou que « certains pratiquants avaient été emmenés à l’équipe disciplinaire pour être gavés de force. » Certains pratiquants ont arrêté la grève de la faim à cause des tortures brutales et du blocus de l’information dans la prison.

Un jour du mois de février 2004, deux gardiens de prison et un autre prisonnier sont soudainement apparu dans le bâtiment de la prison et ont dit à tous de se mettre en rang pour être fouillés. Ils ont trouvé le chapitre 1 et 3 du Zhuan Falun sur Lei Ming et un autre pratiquant. Lorsque les gardiens ont demandé à qui appartenaient les conférences M. Lei a répondu que c’était à lui. Les gardiens de prison ont alors questionné Lei Ming mais il a maintenu des pensées droites et ils a refusé de répondre à leurs questions. Ils ont ainsi abandonné.

Après avoir mené leur fouilles corporelles les gardiens ont alors ordonné aux pratiquants de se rendre dans la cour pendant qu’ils fouillaient chaque cellule. Ils ont trouvé une copie des « Hong yin » écrit à la main dans la boîte à outils du pratiquant Wang Hongge. Les deux gardiens ont discuté entre eux et ont cherché quatre prisonniers pour emmener Lei Ming à l’équipe disciplinaire stricte et ont enfermé Wang Hongge dans une petite pièce isolée. L’équipe qui s’occupait de la division stricte a physiquement torturé Lei Ming. M. Wang a été enfermé dans la petite pièce pendant une semaine et puis a été transféré à la prison de Siping.

Dans l’équipe de gestion stricte, les gardiens Li Yonghseng, Tan Fuhua et Wang Yuanchun de la division d’éducation ont demandé un grand nombre de fois à Lei Ming de leur « parler » et leur dire où il avait obtenu les conférences. Avec des pensées droites, M. Lei ne leur a rien dit. Un gardien du 4ème bloc a aussi parlé avec Lei Ming à de nombreuses reprises et lui a dit qu’ils allaient le relâcher de l’équipe disciplinaire une fois qu’il aurait signé une déclaration de ne plus jamais lire ou passer des documents de Falun Gong. M. Lei a rejeté l’offre et a reçu une notification stipulant qu’il continuerait à être détenu dans l’équipe disciplinaire stricte.

Quand sa peine s’est terminée le gardien de la prison a demandé à Lei Ming de signer une fois de plus la notification mais il a encore refusé. Le gardien a alors ordonné que M. Lei soit enfermé dans l’équipe disciplinaire stricte pour deux mois supplémentaire. Pendant cette période la santé de M. Lei s’est rapidement détériorée. Les tortures physiques endurées cette fois-ci ont agravé son état de santé et les blessures de ses jambes des tortures précédentes n’avaient pas tout a fait guéri. Il avait besoin de s’appuyer contre les murs pour marcher jusqu’aux toilettes. Un gardien de la prison du 4ème bloc a emmené M. Lei à l’hôpital pour un examen qui a démontré que son coeur battait à 150 pulsations par minutes et qu’il souffrait d’une pression sanguine élevée (180mmHg) et d’anémie. Toutefois les gardiens de prison n’ont pas relâché Lei Ming pour raison de santé.

Dix jours avant la fin de sa peine dans l’équipe disciplinaire stricte, son poids a diminué de façon spectaculaire, passant de 45 kilos à 30 kilos. Les prisonniers dans l’équipe craignaient d’être tenus responsables pour sa mort et ont appelé les gardiens du 4ème bloc pour vérifier l’état de M. Lei. Un gardien est venu et a interrogé Lei Ming. Voyant que Lei Ming ne pouvait rester debout droit pendant l’interrogatoire le gardien lui a donné une chaise pour s’asseoir. Le gardien a continué de parler hypocritement à M. Lei en lui disant « Que pensez-vous de ceci ? Je vais demander à ce prisonnier d’écrire une déclaration pour vous. Je promets que cette déclaration ne contiendra aucun mot lié au Falun Dafa. Ce sera simplement utilisé pour la montrer au chef et ainsi nous aurons une raison de vous relâcher. » Lei Ming a pensé qu’il n’y aurait pas de problèmes à écrire cette déclaration puisqu’elle ne contiendrait pas de mention au Falun Dafa. L’après-midi même, Lei Ming a été relâché de l’équipe disciplinaire stricte et a été transporté à nouveau dans le bâtiment par un prisonnier, car il ne pouvait plus marcher sur une telle distance.

Une fois de retour dans le bâtiment de la prison, Lei Ming a réalisé qu’il n’aurait pas dû signer de déclaration, car cela signifiait qu’il avait fait un compromis avec la perversité. C’était au mois de juillet lorsque M. Lei a été relâché de l’équipe disciplinaire stricte et il était très faible. Il avait besoin d’aide pour utiliser les toilettes et ne pouvait pas prendre soin de lui-même pour les besoins quotidiens. Les pratiquants qui n’avaient pas besoin de sortir pour travailler ont pris soin de M. Lei.

M. Lei Ming a entendu que le bureau 610 provincial maintenait une classe de lavage de cerveau dans la prison de Jilin et que les gardiens du 4ème bloc avaient donné son nom au bureau 610. Le bureau 610 lavait le cerveau aux pratiquants en les forçant à travailler durement de 6 heures du matin à minuit chaque jour jusqu’à ce que leurs cerveaux soient « nettoyés. » Après que le bureau 610 soit parti de la prison de Jilin, la division d’éducation de la prison a commencé sa propre cession de lavage de cerveau en constituant deux groupes. Un groupe était mené par le gardien Li Yongheng et trois prisonniers. Le premier groupe essayait de forcer les pratiquants à écrire les « cinq déclarations. » Si les pratiquants refusaient ils étaient alors envoyés dans l’équipe disciplinaire stricte, attachés sur un lit et torturés physiquement. Plusieurs pratiquants dont Wang Jian et Liu Gequn ont été forcés de cette manière à écrire les « cinq déclarations. »

Le gardien de prison Wang Yuanchun du 2ème groupe s’est rendu pendant six mois à Changchun pour acquérir précisément « l’expérience de transformation des pratiquants. » Wang a amené le personnel du bureau 610 provincial et plusieurs collaborateurs à enfermer des pratiquants dans un bureau dans le but de leur laver le cerveau. Les autorités craignaient que les pratiquants ne renforcent leurs consciences et ne s’éveillent à la droiture et ainsi ils forçaient parfois les pratiquants à chanter des karaokés pour affaiblir leur volonté.

Au mois d’octobre, Lei Ming a été persécuté au point qu’il commençait à souffrir de diarrhées et de vomissements constants. Cela a duré un mois et ne s’est pas amélioré. Une nuit du mois de novembre, M. Lei Ming s’est rendu aux toilettes avec le soutien de deux prisonniers. Avant de retourner à sa cellule, il a eu de la peine à respirer et il a eu besoin de se reposer. Avant d’atteindre la porte de sa cellule il a eu l’impression de suffoquer à nouveau. Le jour suivant les gardiens du 4ème bloc ont emmené Lei Ming à l’hôpital. On a constaté qu’il souffrait d’une grave tuberculose pulmonaire. M. Lei a dû rester pendant deux jours à l’hôpital avant d’être encore une fois transféré à l’hôpital ferroviaire de Jilin. Quinze jours plus tard Lei Ming est tombé si malade que la prison l’a relâché afin qu’il puisse suivre un traitement médical.

Une personne de la prison a dû transporter Lei Ming chez lui car ses jambes étaient invalides et les muscles s’étaient atrophiés suite à la longue torture qu’il avait subie. Agé de seulement 30 ans, Lei Ming ne pouvait plus marcher ou prendre soin de lui-même.

Des cas de persécutions contre les pratiquants de Dafa de la prison de Jilin sont trop nombreux pour être listés. Les tortures brutales que Lei Ming a subies dans la prison de Jilin ne permettent pas de décrire complètement la perversité de la persécution du PCC contre les pratiquants de Falun Gong. Actuellement la prison de Jilin manipule encore les prisonniers pour persécuter les pratiquants diligents utilisant différents moyens pour les torturer physiquement et mentalement. La prison essaie au maximum de garder ses crimes cachés du monde extérieur.

Dans ce moment historique, le ciel punira le PCC pour ce qu’il a fait et le PCC se désintégrera. Nous conseillons une fois de plus aux officiers de police, aux gardiens de la prison et aux prisonniers de cesser immédiatement de suivre la PCC dans la persécution des pratiquants de Dafa.

Ci-dessous se trouvent des informations sur des employés impliqués dans la persécution

Faites le code du pays avant tous les numéro plus les codes des régions avant les autres numéros. Le code du pays et 0086 ou +86 et pour les codes régionaux veuillez vous référez aux informations qui suivent.

La prison de Jilin située dans la province de Jilin (code régional : 432)

Nom

Position

Numéro du bureau

Numéro du domicile

Numéro du portable

Li Qiang

Directeur

4881551 ext. 3001

13843218517

Liu Changjiang

Directeur adjoint

4881551 ext. 3003

13904429905

Wang Yufan

Directeur adjoint

4881551 ext. 3006

4883619

13804411837

Zhao Xinchao

Directeur adjoint

4881551 ext. 3008

4882313

Bureau de principal

4881551ext. 3009;

4882313

Divison politique de la prison

4881551ext 3666

Les gens qui ont activement pris part à la prsécition du Falun Gong dans la prison de Jilin sont :

Li Yongsheng, assistant de la divisons éducative
Li Zhuang, directeur de la division éducative
Liu Changjiang, en charge du travail politique
Li Qiang, Directeur de la prison de Jilin
Liu Wei, directeur adjoint de la prison
Guo Dongbiao, assistant du 5ème bloc
Wang Shijie, directeur de la division criminelle
Wang Yanqing, assistant de la division éducative
Tan Fuhua, chef de la division politique de la prison
Yang Xiaotian, capitaine de l’équipe des gardiens
Wang Zhiqing, capitaine du 11ème bloc
Wei Xianghui, assistant du capitaine du 10ème bloc
Hu Zhongxue, assistant du 10ème bloc
Yue Gang et Cui Yunbiao, capitaines du 9ème bloc
Zhao Yingbiao, éducateur du 8ème bloc
Yue Yanming, ancien capitaine du 2ème bloc
Zhang Jian, éducateur du 2ème bloc
Li Yujiao, capitaine du 2ème bloc
Liu Xianzhang, assistant capitaine de la division politique de la prison
Wu Dongfeng, capitaine du 11ème bloc
Lin Zhibin, capitaine du 5ème bloc
Tang Guozhong, assistant du 11ème bloc
Cui Jun, capitaine du 7ème bloc
Zhang Baozhi, assistant
Zhang Jianhua, éducateur du 5ème bloc
Meng Haibo, éducateur du 2ème bloc
Ville de Changchun (Zip code: 431)
Poste de police de rue de la ville de Changchun: 8932168
Le tribunal intermédiaire de la ville de Changchun: No. 1, Jingyang Square. Zip code: 130062 Ligne générale: 7685400-5408, 7685410, 7600123, 7681381, 7631202, 7631205, 7650973 2627516
Le tribunal populaire suprême de la province de Jilin : No. 1399, Jingyang Blvd. Zip code: 130062
Ligne générale: 8556000; Fax: 8556825; Centre pour les réclamations: 7617802, 7697055
Le bureau de sécurtié publique de la ville de Changchun: No. 67, Renmin Blvd. Zip code: 130000
Lignes principales: 8986842, 8986830, 8908000
1ère division: 8924896, 8926066, 8946127, 8925530, 8927592.
2ème division: 8926031, 8923327, 8946397, 8965939
3ème division: 8926167, 8924207, 8926474, 8924387, 8926254, 8925471, 8985133, 8921542, 8924262, 8922078
4ème division: 8966703, 8966705, 8924336, 8961645, 8926065, 8924290, 8922840
5ème division: 8921597
Le centre de détention de Tiebei: 7092404; 2ème division: 8923132; 3ème division: 8927864; 4ème division: 8940224 et 4592666; 5ème division: 8927719; 6ème division: 8928269; 7ème division: 8927568 et 8923360.
Le bureau de sécurité publique de la ville de Changchun, centre de détention de Tiebei: No. 2412, Yatai Blvd., Changchun City. Zip code: 130000. Numéro de téléphone: 2690931
Centre de détention de la province de Jilin: No. 3516, Yatai Blvd., Changchun City. Zip code: 130000. Numéro de téléphonne: 2692299 2692255, 2692266, 2673105



Traduit en Suisse de l’anglais le 19 novembre 2005

Glossaire: http://fr.minghui.org/glossaire/glossaire.htm