(Minghui.org)
Le camp de travaux forcés no.3 de la
ville de Xuchang, province de Henan persécute les pratiquants de Falun Dafa.
Le directeur en chef est Yan Zhenye. Le directeur-adjoint était Qu Shuangcai, qui a été transféré pour être le
directeur en chef du camp de travaux forcés pour femmes 'ShiBaili He', où il
a mit en place une industrie de fabrication de perruques, forçant les
pratiquantes là-bas à faire un travail encore plus atroce.
Le siège social de la
Corporation de Production de Cheveux « Rui Beika » est en Amérique.
Qu Shuangcai a changé son nom pour prendre celui de Qu Hongcai à son arrivée
au camp de travaux forcés pour femmes de 'ShiBaili He'. Peu de temps après
son arrivée, trois pratiquantes ont été persécutées à mort. Quand Qu est
parti, le régime de Jiang Zemin a désigné le directeur adjoint du camp de
travaux forcés pour femmes de 'ShiBaili He' pour le remplacer et pour
maintenir la persécution. M. Liu, directeur du bureau des camps de travaux
forcés de la province de Henan, s’est souvent rendu à ‘ShiBaili He’ pour diriger
la persécution.
Ren Gaoqinag, chef du
secteur éducatif ; Dong Jianchao et Li Xingjie, directeur et directeur
adjoint de l'éducation et du Bureau de transformation ; Shi Baolong, chef de
la troisième brigade ; le chef –adjoint de la troisième brigade ; Tan
Junming, capitaine en chef ; Zhao Zhiming et Jia Zhigang, capitaines ; et
Shen Jianwei, directeur politique sont tous très féroces dans leur conduite
de la persécution.
Les pratiquantes Yao Sanzhong et
Li Jian ont été torturées à mort. Wang Yukun a été battue et a eu la jambe
cassée et Pang Liang a été torturée jusqu’à ce que son bras soit estropié.
Torture: Cuire le mouton au complet
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Les autorités de camp ont laissé
torturer les pratiquantes lorsque la tromperie et la persuasion se sont
avérées inefficaces dans la « transformation ». Beaucoup de
pratiquantes immuables ont été torturées jusqu’au seuil de la mort en août
2002, mai 2003 et mars 2004. Il y a eu entre autres Wang Lei, une pratiquante
de la ville de Zhoukou ; Zhao Yongzhong de la ville de Mengzhou ; Li Jingke
de la ville de Tanghe ; Pang Liang de la ville de Jinzhou ; Yu Caiyun et Pen
Hongyan du comté de Yuchen dans la ville de Shangqiu. Souvent, après avoir
été gravement battues, leurs corps étaient meurtris et leurs yeux remplis de
sang. Elles ont été à plusieurs reprises aspergées d'eau froide pour les
obliger à rester éveillées et elles ont été soumises à l’humiliation des
insultes verbales.
Torture: chaise de servitude
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Torture : Des pratiquantes ont été
privées de sommeil et de la possibilité de se soulager. Pendant sept jours
consécutifs, leurs chaises sont restées abondamment salies d'urine et
d'excréments. Elles ont été frappées à coups d’aiguilles quand elles
dormaient, giflées au visage, elles ont reçu des électrochocs, elles ont été
piétinées, et on les a forcées à porter des écouteurs qui émettaient à un
volume très élevé des programmes diffamant le Falun Dafa.
Torture : corde de massacre
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Les policiers Shi Baolong, Ma
Huating, Tan Junming, Zhao Zhiming et Shen Jianwei exécutaient les tortures.
Ils se servaient d’une fine corde de nylon pour attacher leur victime, tandis
qu’un fonctionnaire lui saisissait les cheveux et l'a tenait par la gorge alors
que les autres lui donnaient des coups de pied brutaux et la piétinait.
Beaucoup de pratiquantes ne pouvaient pas se tenir debout après avoir été
battues et ne pouvaient pas marcher pendant plusieurs mois. La fine corde de
nylon pénétrait dans la chair. Les policiers brutaux marchaient sur leurs
corps et serraient la corde à l’extrême limite. Après avoir attaché ainsi leurs
victimes d’une demi-heure à une heure, ils relâchaient la corde puis la resserrait
à nouveau, répétant ainsi leur manège des dizaines de fois. Ils frappaient
également les pratiquantes à coups d’aiguilles, leur donnaient des
électrochocs, les giflaient au visage et les aspergeaient d'eau froide toutes
les fois qu'elles s’évanouissent. Les blessures de bien des pratiquantes n’arrêtaient
pas de suppurer et elles ne pouvaient pas marcher normalement même après six
mois.
Torture: Enfoncer la brosse à dents dans l’anus
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Lorsqu’un pratiquant était
torturé, comme humiliation finale, on lui forçait la tête contre le mur et on
lui enfonçait une brosse à dents dans l’anus jusqu'à ce qu'il saigne. On lui
mettait également de force ses chaussettes sales dans la bouche, on le
frappait à coups d’aiguilles, on lui donnait des chocs électriques, et on le battait
cruellement.
La Corporation de Production de Cheveux « Rui Beika » Ltd. de la
province de Henan travaille avec les camps de travaux forcés pour exploiter
le travail d’esclave des pratiquantes.
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La Corporation de Production de Cheveux
« Rui Beika » Ltd. de la province de Henan était débordée de
commandes de production de cheveux pour perruques. De connivence avec les
autorités du camp de travail, la société exploite les pratiquantes du camp de
travaux forcés pour femmes de 'ShiBaili He' et les pratiquants du camp de travaux
forcés no. 3 de la ville de Xuchang.
Quand la charge de travail est élevée,
on oblige les pratiquants à travailler jour et nuit. Les camps de travaux
forcés établissent des buts excessifs de production de sorte que les
pratiquants doivent travailler environ 20 heures par jour. Ils forcent les
pratiquants qui croient fermement en la
« Vérité-Bienveillance-Tolérance » à travailler jour et nuit sinon
ils les torturent. Si un pratiquant ne peut pas finir la tâche à l'heure, son
séjour dans le camp est prolongé. Pour ceux qui ne sont pas « transformées »
leur séjour est également prolongé. Le gouvernement a attribué à ce camp le
titre de « camp civilisé de travaux forcés » et lors des discours
de félicitations, trois pratiquants surchargés se sont évanouis sur place.
Quand la question a été étudiée, les autorités du camp de travail ont menacé
les détenus criminels pour les obliger à mentir à l'équipe qui faisait l’enquête.
On leur a dit de dire que les autorités du camp « ne battaient pas, ne juraient
pas, et payaient huit dollars par mois » Des pratiquants ont reçu
l’ordre de mentir ou autrement ils pouvaient s’attendre à être férocement
battus.
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